Taxe sur les surfaces commerciales – TaSCom

Les entreprises qui exploitent une surface de vente de plus de 400 m2 et les entreprises liées à une même enseigne commerciale dont la surface dépasse 4000 m2 sont redevables de la Taxe sur les Surfaces Commerciales (TaSCom). La déclaration et le paiement doivent être réalisés avant le 15 juin 2023.

Cette note vous présente les grandes lignes de la TaSCom. Nous vous invitons à prendre connaissance du Bulletin Officiel des Finances Publiques BOI-TFP-TSC-27/10/2021 pour toute précision concernant la TaSCom (précision sur les établissements imposables / assiette de la taxe / fait générateur et exigibilité / taux et calcul de la TaSCom).

Entreprises redevables de la TaSCom

Sont imposables à la TaSCom, les magasins de commerce de détail quelle que soit la forme juridique de l’entreprise qui les exploite.

Il existe cependant des conditions tenant à leur surface, à leur date de création et à leur chiffre d’affaires, pour être effectivement soumis à la taxe.

– l’établissement a été ouvert après le 1er janvier 1960 ;

– la surface de vente au détail des espaces clos et couverts est supérieure à 400 m2 ou, quelle que soit sa surface, établissement contrôlé, directement ou indirectement, par une même personne et exploité sous une même enseigne commerciale appartenant à une tête de réseau dont la surface cumulée des établissements est supérieure à 4 000 m

-chiffre d’affaires hors taxes (HT) supérieur ou égal à 460 000 € par établissement

La TaSCom est applicable aux établissements situés en France métropolitaine ou dans les DOM.

La taxe est due par la personne qui exploite l’établissement au jour du fait générateur de la taxe.

Activité de commerce de détail

La TaSCom est due uniquement par les entreprises de commerce de détail quels que soient les produits vendus.

Le commerce de détail consiste à vendre des marchandises dans l’état où elles sont achetées (ou après transformations mineures ou manipulations usuelles tel que le reconditionnement) à des consommateurs finals, généralement des particuliers, quelles que soient les quantités vendues.

Cas du dépôt-vente : L’activité de dépôt-vente consistant à exposer dans un magasin de commerce de détail des marchandises dont le dépositaire n’acquiert pas la propriété mais qui lui sont remises par des particuliers déposants qui lui ont donné mandat de les vendre pour leur compte et de leur restituer le produit de cette vente minoré d’une commission doit être regardé comme une activité de vente au détail entrant dans le champ d’application de la TaSCom (CE, décision du 24 octobre 2018, n° 419362).

Ne sont pas soumis à la TaSCom :

– les établissements dont l’activité consiste à vendre des marchandises à des personnes dont la profession est la revente de ces mêmes produits et ce, quelles que soient les quantités vendues (ex : centrales d’achats, grossistes, intermédiaires) ;

– les établissements dont l’activité consiste en des prestations de service (ex : garages, salons de coiffure etc.) ;

– les locaux de l’établissement affectés à des ventes de produits transformés, y compris par découpe ou par cuisson dans la mesure où elles ne constituent pas des ventes de biens en l’état.

La vente de véhicules automobiles constitue une activité de vente de commerce de détail soumise à la taxe sur les surfaces commerciales, sans qu’aient d’incidence les circonstances que les biens vendus soient adaptés aux exigences des clients, que les véhicules soient pour partie précommandés sur internet ou qu’ils ne soient généralement ni exposés dans la surface de vente, ni en stock (CE, décision du 22 juin 2020, n° 414517).

Conditions tenant à la surface de vente

Seuls les magasins de commerce de détail dont la surface de vente dépasse 400 mètres carrés (m²) sont soumis à la taxe. La surface est appréciée au regard des seules surfaces de vente.

Exemple : Un établissement de vente de produits est composé d’une surface de vente de 300 m² et d’une surface de stockage de 150 m². Seuls les 300 m² de surface de vente inclus dans l’assiette de la taxe sont pris en compte pour apprécier le seuil de 400 m². Cet établissement n’est par conséquent pas soumis à la TaSCom.

Un établissement est imposable à la TaSCom dès lors que sa surface de vente au détail a dépassé 400 m² au dernier jour de la période de référence.

Cas des établissements exploités sous une même enseigne commerciale

Le seuil de superficie de 400 m² ne s’applique pas aux établissements contrôlés directement ou indirectement par une même personne et exploités sous une même enseigne commerciale lorsque la surface de vente cumulée de l’ensemble de ces établissements excède 4 000 m².

Le seuil de 4 000 m² est apprécié au regard de la somme des surfaces des établissements qui sont contrôlés directement ou indirectement par une même personne (tête de réseau) et sont exploités sous une même enseigne dans le cadre d’une même activité.

Pour l’appréciation du seuil de 4 000 m², tous les établissements de vente sont pris en compte à hauteur de leur surface de vente au détail, quels que soient leur date d’ouverture ou leur chiffre d’affaires.

Conditions tenant à la date d’ouverture

Les établissements ouverts avant le 1er janvier 1960 ne sont pas soumis à la TaSCom.

Le changement d’exploitant, notamment par transmission à titre onéreux ou gratuit ou par apport, même après fermeture pour travaux d’amélioration ou de transformation, n’est pas considéré comme étant une ouverture d’un nouvel établissement, à condition que l’activité professionnelle demeure une activité de vente au détail.

Dans ces conditions, une surface de vente ouverte avant le 1er janvier 1960, qui ferait l’objet d’une transmission en 2021, et fermerait 6 mois pour travaux, ne serait pas, lors de sa réouverture, considérée comme une surface commerciale nouvelle entrant dans le champ de la TaSCom.

En revanche, lorsqu’un établissement initialement ouvert avant 1960 est transféré à une autre adresse où aucune vente au détail n’était exercée antérieurement au 1er janvier 1960, la taxe est due (Cass. soc., décision du 25 mai 2000, n° 98-14510).

Condition tenant au chiffre d’affaires de l’établissement

La taxe ne s’applique pas aux établissements dont le chiffre d’affaires annuel des ventes au détail est inférieur à 460 000 €. Il s’agit du montant du chiffre d’affaires global des ventes au détail issu des ventes de l’établissement, calculé pour son montant hors taxes sur le chiffre d’affaires et taxes assimilées.

Lorsqu’une entreprise exerce une activité de dépôt-vente, le chiffre d’affaires à prendre en compte pour le calcul de la taxe est celui tiré des commissions rémunérant l’activité d’intermédiaire (CE, décision du 19 décembre 2019, n° 428945).

Calcul de la TaSCom

La TaSCom est assise sur la surface de vente de commerce de détail existante au dernier jour de la période de référence c’est-à-dire:

  • soit sur la surface de vente de commerce de détail existante au 31 décembre de l’année précédant l’année d’imposition (ainsi, la TaSCom 2023 pour les établissements existant au 1er janvier 2023 est calculée sur la base des éléments de l’année 2022) ;
  • soit sur la surface de vente existante au jour de la cessation définitive d’exploitation.

Surface retenue pour le calcul de la TaSCom

La surface de vente des magasins de commerce de détail, prise en compte pour le calcul de la taxe, s’entend :

  • des espaces affectés à la circulation de la clientèle pour effectuer ses achats,
  • des espaces affectés à l’exposition des marchandises proposées à la vente et à leur paiement,
  • des espaces affectés à la circulation du personnel pour présenter les marchandises à la vente,
  • Cette définition inclut aussi les espaces affectés au retrait des marchandises dès lors que le public peut y circuler librement.

La surface de vente des magasins de commerce de détail prise en compte pour le calcul de la taxe ne comprend que la partie close et couverte de ces magasins.

Par conséquent, les surfaces de vente situées à l’extérieur des locaux d’un établissement (ex : Showroom de véhicules, magasins d’outillage, de jardinage ou de matériaux de construction) ne sont pas comprises dans l’assiette de la TaSCom.

Les tribunaux ont eu à se prononcer concernant l’assujettissement à la TaSCom des établissement exploités dans le secteur automobile. En voici quelques exemples:

Hall d’exposition des véhicules et bureaux fermés par des cloisons et créés au sein de ces halls utilisés par les vendeurs pour réaliser les ventes avec les clients invités à s’y installer : TaSCom applicable (CAA Lyon 15 décembre 2016, n° 14LY01070 ; CE 21 décembre 2018, n° 419483 ; CE 30 janvier 2018, n° 412251 ; CE 14 octobre 2019, n° 414682)

⇒  Zone espace détente non réservée au personnel pour y prendre ses repas, mais ouverte sur le hall d’exposition et accessible aux clients, non isolée de la surface affectée à la vente : TaSCom applicable (CE 14 octobre 2019, n° 415623)

Zone d’exposition des véhicules proposés à la vente accessible au public et située à l’extérieur du bâtiment principal, présentant les caractéristiques d’un vaste préau (espace non couvert) : TaSCom non applicable (CAA Paris 21 septembre 2017, n° 16PA02063)

Éléments de structure empêchant l’exposition des marchandises et la libre circulation de la clientèle : TaSCom non applicable (CE 24 avril 2019, n° 420348)

Aire de livraison des véhicules accessible par la clientèle et séparée de l’espace de vente par des bornes amovibles : TaSCom applicable (CE 30 janvier 2018, n° 412251 ; CE 10 mars 2021, n° 435095)

Cumul des surfaces pour une entreprise exerçant son activité de vente et de réparation dans des bâtiments contigus situés à des adresses postales distinctes : TaSCom applicable (CE 11 juillet 2018, n° 415756 ; CE 14 octobre 2019, n° 415623)

⇒ Vente de véhicules par un concessionnaire automobile à des sociétés de crédit automobile (et non à des particuliers) : TaSCom applicable (CE 2 juin 2022, n° 456919)

Taux applicable pour le calcul de la TaSCom

Détermination du chiffre d’affaire par carré 

Le taux de la TaSCom applicable au cours d’une année (N) est fonction du chiffre d’affaires de la période de référence éventuellement annualisé rapporté à la surface de vente constituant l’assiette de la taxe (chiffre d’affaires par mètre carré). Pour connaître le taux applicable, il faut donc définir le chiffre d’affaires de l’établissement concerné, sachant que seul le chiffre d’affaires des ventes au détail de biens en l’état est pris en compte pour le calcul de la taxe.

Lorsqu’un établissement réalise à la fois des ventes au détail de marchandises et une autre activité (prestations de services, ventes de biens non revendus en l’état, vente en gros, etc), le chiffre d’affaires à prendre en considération au titre de la TaSCom est celui des seules ventes au détail, dès lors que les différentes activités font l’objet de comptes distincts.

Rescrit 

RES n° 2012/34 (IDL) du 15 mai 2012 : Taxe sur les surfaces commerciales – réduction de 30 % du taux de la taxe en faveur des professions dont l’exercice requiert des superficies de vente anormalement élevées – Détermination du chiffre d’affaires par mètre carré

Question : Les ventes d’accessoires et de pièces détachées par un concessionnaire de vente de véhicules automobiles doivent-elles être comprises dans la surface de vente taxable et dans le chiffre d’affaires au mètre carré pour la détermination du taux applicable ?

Réponse : Les ventes d’accessoires et de pièces détachées par un concessionnaire de vente de véhicules automobiles doivent être comprises dans la surface de vente taxable et dans le chiffre d’affaires au mètre carré pour la détermination du taux applicable. Toutefois, les ventes de pièces détachées effectuées dans le cadre d’une prestation de services (réparation, révision, service après-vente) ne sont pas à inclure dans le chiffre d’affaires au mètre carré dès lors qu’elles ne constituent pas des ventes au détail de biens en l’état conformément aux dispositions du troisième alinéa de l’article 1 du décret n° 95-85 du 26 janvier 1995 relatif à la taxe sur les surfaces commerciales.

Cas de l’exploitation incomplète d’un établissement

Il faut considérer qu’il y a exploitation incomplète d’un établissement de vente au détail en cours d’année dans les cas suivants :

– ouverture d’un établissement en cours d’année, par exemple création d’une nouvelle surface par l’exploitant ou reprise par un nouvel exploitant d’un établissement de vente au détail déjà existant ;

– fermeture provisoire sans changement d’exploitant quel qu’en soit le motif (travaux, fermeture administrative, etc.) ;

– cessation définitive de l’exploitation en cours d’année ;

– fusion d’entreprise ou absorption.

En cas de création d’établissement, de changement d’exploitant ou de fermeture temporaire dépendante ou non de la volonté du redevable au cours de l’année précédant celle de l’imposition, le chiffre d’affaires réalisé est annualisé pour apprécier si la taxe s’applique. Corrélativement, le montant de la taxe est calculé au prorata temporis de la durée d’exploitation effective. Ces deux corrections (annualisation du chiffre d’affaires et proratisation de la taxe) s’appliquent cumulativement.

Taux applicable 

CA annuel HT / m2 Etablissements ayant également une activité de vente au détail de carburants c.f 1/2/3 Autres établissements
Inférieur à 3000 € 8,32 € 5,74 €
De 3000 à 12000 € 8,32 + [0,00304 x(CA/S – 3000)] 5,74 + [0,00315 x(CA/S – 3000)]
Supérieur à 12000 € 35,70 € 34,12 €
CA = Chiffre d’affaires annuel hors taxe de l’établissement

S = Surface de vente au détail

1 A l’exception des établissements ayant pour activité principale la vente ou la réparation de véhicules, par exemple une concession ou un garage qui aurait quatre positions de distribution de carburant.

2 Les établissements concernés sont non seulement ceux qui exploitent une installation de vente au détail de carburant située sur le même site, mais aussi ceux qui contrôlent une telle installation ou qui sont placés avec celle-ci sous le contrôle de la même personne

3 La surface de vente à prendre en compte pour le calcul de la taxe est majorée de 70 m2 par position de ravitaillement, sauf si ces positions sont exploitées par un établissement distinct, y compris si ce dernier est contrôlé par l’établissement de vente au détail ou si les 2 établissements sont contrôlés par une même personne

Réduction de taux 

Il est prévu plusieurs situations permettant de bénéficier d’une réduction du taux de la TaSCom.

⇒ Réduction de 30 % pour les professions dont l’exercice requiert des superficies de vente anormalement élevées

La réduction est fixée à 30 % en ce qui concerne les établissements qui se livrent à titre principal, c’est-à-dire pour plus de la moitié de leur chiffre d’affaires total, à la vente des catégories de marchandises suivantes :

– meubles meublants, à savoir les biens meubles destinés à l’usage de l’habitation comme les biens d’ameublement et les appareils d’utilisation quotidienne.

– véhicules automobiles ;

– machinisme agricole ;

– matériaux de construction ;

– fleurs, plantes, graines, engrais, produits phytosanitaires, animaux de compagnie et aliments pour ces animaux.

Rescrit 

RES n° 2012/34 (IDL) du 15 mai 2012 : Taxe sur les surfaces commerciales – réduction de 30 % du taux de la taxe en faveur des professions dont l’exercice requiert des superficies de vente anormalement élevées – Détermination du chiffre d’affaires par mètre carré

Question : Les ventes d’accessoires et de pièces détachées effectuées par un concessionnaire de vente de véhicules automobiles remettent-elles en cause la réduction de 30 % du taux de la taxe dont il bénéficie en tant que profession qui requiert des superficies de vente anormalement élevées ?

Réponse : Les ventes d’accessoires et de pièces détachées ne remettent pas en cause la réduction de 30 % du taux de la taxe dont bénéficient ces concessionnaires en tant que profession mentionnée à larticle 3 du décret n° 95-85 du 26 janvier 1995 relatif à la taxe sur les surfaces commerciales qui requiert des superficies de vente anormalement élevées, dans la mesure où ces ventes sont liées à l’activité principale de vente de véhicules automobiles.

⇒ Réduction de 20 % pour les établissements dont la surface de vente est inférieure à 600 mètres carrés

La réduction de taux prévue en faveur des établissements dont la surface de vente est inférieure à 600 m2 est fixée à 20 % lorsque le chiffre d’affaires annuel par m2 est au plus égal à 3 800 euros.

Lorsqu’une activité de vente de carburant est exercée dans les conditions spécifiques (voir tableau dans la rubrique « Taux applicables »), la surface forfaitaire représentative de chaque position de ravitaillement, qui doit être ajoutée à l’assiette de la TaSCom pour le calcul du montant de la taxe due, n’est pas prise en compte pour l’appréciation du seuil de 600 m2.

⇒ Cumul des réductions de taux : lorsqu’un établissement relève à la fois des deux situations ci-dessus, les réductions de taux se cumulent.

Majoration de taux 

Des majorations de taux de la taxe sont prévues dans les cas suivants :

⇒ Majoration de 30 % pour les établissements dont la superficie est supérieure à 5000 m2 et dont le CA annuel HT est supérieur à 3000 € / m2

⇒ Majoration de 50 % pour les établissements dont la surface de vente est supérieure à 2500 m2.

Déclaration et paiement de la TaSCom

La TaSCom est déclarée et versée tous les ans par l’exploitant avant le 15 juin au moyen de la déclaration spécifique 3350-D (CERFA n° 14001). La taxe est payable auprès du centre des impôts du lieu où se situe l’établissement. Les déclarations souscrites par les personnes redevables de la TaSCom doivent mentionner le nom de « l’enseigne commerciale » sous laquelle les établissements sont exploités.

La déclaration spécifique 3350-D mentionne le montant du chiffre d’affaires hors taxes réalisé lors de la période de référence, le nombre de jours d’exploitation, la surface des locaux destinés à la vente au détail au dernier jour de cette période, la date à laquelle l’établissement a été ouvert, le nombre de positions de ravitaillement de carburant, le taux appliqué, le montant de la taxe due ainsi que, le cas échéant, celui de l’acompte déjà versé et celui de l’acompte de la taxe due.

La déclaration est accompagnée obligatoirement du paiement de la TaSCom. Les personnes redevables de la TaSCom due à raison de la cessation définitive d’activité doivent déposer la déclaration de « TaSCom » avant le 15 du sixième mois suivant la cessation d’activité.

En cas de cessation d’exploitation définitive en cours d’année, les personnes redevables de la TaSCom devront déposer la déclaration n° 3350-C-SD (CERFA n° 15697), accompagnée de son paiement avant le 15 du sixième mois suivant la cessation définitive d’exploitation.

Les formulaires n° 3350-SD et 3350-C-SD sont disponibles en ligne sur le site www.impots.gouv.fr.

L’Etat effectue un prélèvement de 1,5 % sur le montant de la taxe sur les surfaces commerciales pour les frais d’assiette et de recouvrement.

Comme en matière de TVA, le droit de reprise de l’administration s’exerce jusqu’à la fin de la troisième année suivant celle au cours de laquelle la taxe est devenue exigible.

Autres documents dans la même catégorie :

L’installation de bornes de recharge pour les professionnels de l’automobile

La taxe annuelle sur les véhicules de tourisme 2025 (ex-TVS)

Les aides de l’URSSAF pour les entreprises et les indépendants touchés par les intempéries

Alerte mails frauduleux : utilisation abusive de DEKRA et de la DGFiP

L’indemnité d’éviction

Les réseaux sociaux et la E-réputation de l’entreprise

Alerte sur les arnaques à la DGCCRF

Gestion financière de l’entreprise, des outils pédagogiques pour les jeunes apprentis et entrepreneurs

Cession du bail commercial en cas de départ à la retraite du locataire

Le droit de préférence du locataire commercial

Accompagnement gratuit « MonAideCyber »

Fraude aux KBIS : soyez vigilants

Véhicule en Déclaration d’Achat (DA) et assurance

Guide CNIL – Sécurité des données personnelles

Suppression de la carte verte d’assurance à compter du 1er avril 2024

Etat de catastrophe naturelle et assurance

Loi de finances pour 2024 : principales mesures pour les entreprises

La taxe annuelle sur les véhicules de tourisme 2024 (ex-TVS)

Arnaques concernant vos véhicules et ceux de vos clients : Soyez vigilants

Comment se termine un bail commercial

Emeutes de juillet 2023 : nouvelles mesures de soutien annoncées par le gouvernement au 17 juillet

Un nouveau Code de l’Artisanat pour les artisans

Accompagnement fiscal des PME

Loi d’adaptation au droit européen (loi DADUE) : dispositions intéressant les entreprises

Charge administrative des entreprises : répondez au sondage !

Vous vous demandez si votre entreprise est à jour de ses principales obligations? La FNA vous donne une check liste pour vous aider!

Taxe Foncière : Mécanisme de la revalorisation de la valeur locative des locaux professionnels

Loi de finances pour 2023 : principales mesures pour les entreprises

URGENT : Enquête hausse des prix de l’énergie

Recueil des besoins des TPE-PME sur des programmes de formation gratuits

Délestage électrique pour les entreprises : comment l’anticiper ?

La FNA propose à ses adhérents une protection juridique adaptée

Disparition des tickets de caisse : application reportée au 1er août 2023

Dépenses d’énergie : les questions à se poser sur son contrat

A qui incombent les dépenses de travaux ?

Hausse des prix de l’énergie : synthèse des aides disponibles

Limitation de la hausse des loyers commerciaux

La taxe annuelle sur les véhicules de tourisme 2023 (ex-TVS)

Règles de plafonnement et de déplafonnement du loyer

Arnaques et pratiques frauduleuses : Guide de prévention

Signalement des anomalies dans la formation des prix – DGCCRF

Guichet d’aide publique aux entreprises touchées par la hausse du prix du gaz et/ou de l’électricité

Dispositif d’accompagnement individualisé pour les indépendants

Aides au financement de la transition écologique des entreprises

Difficultés de paiement URSSAF liées à la crise Ukrainienne

Impact de la guerre en Ukraine sur les contrats publics

Causes de révision du loyer d’un bail commercial

Négocier son bail commercial

Renouvellement du bail commercial

Déclaration Européenne de Services (DES)

Enquête sur les impacts économiques de la guerre en Ukraine

Loi en faveur de l’activité professionnelle indépendante

Crise ukrainienne : impact sur les activités économiques et points de contacts

Que faire en cas de cyberattaque ?

Crédit d’impôt pour la formation des chefs d’entreprise

Simplification des démarches des entreprises

La taxe annuelle à l’essieu pour les véhicules de plus de 12 tonnes

Tutoriel pour partager des articles sur les reseaux sociaux facebook / twitter / linkedin

Tutoriel pour s’inscrire les reseaux sociaux facebook / twitter / linkedin

Restriction de l’eclairage nocturne des commerces

Conditions d’utilisation du w garage et démarches pour l’obtenir

Contravention pour non designation du conducteur : seules les personnes morales sont concernees

Equipement obligatoire d’un ethylotest

Fichier des Véhicules Assurés (FVA) : Quels véhicules doivent-être déclarés par les professionnels de l’automobile ?

Infractions au Code de la route : Le chef d’entreprise doit désigner le conducteur auteur de l’infraction commise avec un véhicule de l’entreprise

Le véhicule de démonstration

Contribution sociale de solidarite

Cotisation fonciere des entreprises

Cotisation sur la valeur ajoutee des entreprises

Droit a l’erreur Loi pour un Etat au Service d’une Société de Confiance

Loi de finances pour 2019

Prestations de services hors de France : quelle TVA appliquer ?

Taxe sur les véhicules de société (TVS 2021)

Protection des données personnelles (RGPD) : le registre des traitements des données

Alerte vigilance arnaque RGPD

LE RGPD Règlement Européen sur la Protection des Données Personnelles

Obligation de déclarer les bénéficiaires effectifs des sociétés

Obligation d’utiliser un logiciel de caisse conforme

Durée de conservation des documents d’entreprise

Confidentialité des comptes des micro-entreprises et des petites entreprises

Alerte sur les e-mail frauduleux

Les aides pour l’entreprise

Le nantissement du fonds de commerce

La caution personnelle du chef d’entreprise

Tableau comparatif des entreprises individuelles

Mise en garde contre les registres, annuaires et sites de référencement professionnels

Accessibilité, Démarchage ABUSIF

COVID 19 : Plan de règlement des dettes fiscales

Chômage partiel du dirigeant de société

Assurance chômage du dirigeant de société

Les différents statuts du conjoint du chef d’entreprise

Obligation de déclarer le statut du conjoint

Le statut du chef d’entreprise

Retraite des travailleurs non-salariés

Régime fiscal des travailleurs non-salariés

Protection sociale des travailleurs non-salariés

Cumul emploi-retraite des travailleurs non-salariés

Assurance chômage du chef d’entreprise

Tableau comparatif des différentes formes de sociétés

EIRL-Entrepreneur individuel à responsabilité limitée

retour à l’accueil de la base documentaire