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Norme d’homologation WLTP

La norme d’homologation relative à la mesure des émissions de polluants et de CO2 des véhicules a évolué le 1er septembre 2018.

Principe du nouveau cycle d’homologation WLTP :

Cette norme adoptée au niveau mondial, anciennement appelée norme NEDC (New European Driving Cycle) a été remplacée par la norme WLTP (Worldwide harmonized Light vehicules Test Procedures). Elle permet d’évaluer les émissions de polluants et de CO2 des véhicules neufs, selon un cycle plus représentatif des conditions de conduite. Avec cette nouvelle procédure, les tests et essais réalisés permettent de connaître de façon plus précise les émissions des véhicules, par un nouveau mode de calcul.

 

L’entrée en vigueur de cette nouvelle procédure réglementaire s’est faite en 2 temps :

  • Depuis le 1er septembre 2017, les constructeurs doivent solliciter une homologation WLTP pour les nouveaux types de véhicules (catégories M1 et M2 et véhicules de la classe I de la catégorie N1). Depuis cette date, il n’est donc plus délivré de réceptions CE par type et de réceptions nationales par type pour les nouveaux types de voiture sous la norme NEDC.

 

  • Depuis le 1er septembre 2018, la procédure d’homologation WLTP est obligatoire pour toutes les voitures neuves. Depuis cette date, dans le cas de véhicules mis pour la 1ere fois en circulation, les certificats de conformité délivrés sous couvert de l’ancienne norme ne sont plus valables et les autorités en interdisent l’immatriculation, la vente ou la mise en service.

 

De manière globale, il faut être conscient que le contrôle des émissions se renforce drastiquement dans la filière automobile. Il est indéniable que nous nous dirigeons sur le plan mondial et européen vers des véhicules plus propres. La FNA est en lien avec les pouvoirs publics et les ministères concernés, notamment le ministère de la transition écologique et solidaire et le ministère de l’économie et des finances.

 

Quelle conséquence pour l’immatriculation d’un véhicule en France ?

Véhicule neuf jamais immatriculé

Acquis à l’étranger ou en France

Véhicule d’occasion déjà immatriculé

Acquis à l’étranger ou en France

(même 0 km)

Véhicule homologué sous la norme NEDC Le véhicule ne peut plus être immatriculé à partir du  1er septembre 2018.

*sauf dérogation obtenue

par le constructeur

Pas de changement, le véhicule étant déjà immatriculé, la règlementation WLTP ne le concerne pas.
Véhicule homologué sous la norme WLTP Première immatriculation possible avant ou après le 1er septembre 2018 Pas de changement, le véhicule est déjà soumis à la nouvelle norme WLTP.

 

Qu’en est-il des véhicules neufs sous la norme NEDC ?

Depuis le 1er septembre 2018, les véhicules neufs homologués sous l’ancienne norme NEDC encore en stock ne peuvent plus être immatriculés. Les véhicules qui ne sont plus couverts pas une réception valide se devaient d’être immatriculés avant le 1er septembre 2018.

 

Les constructeurs pouvaient toutefois demander une dérogation pour les véhicules de fin de série uniquement: les constructeurs devaient alors en faire la demande expresse auprès du ministère de la transition écologique et solidaire. Si la demande était acceptée, les véhicules listés pouvaient continuer à être immatriculés après le 1er septembre pour une période de douze mois, soit jusqu’au 31 août 2019.

En conséquence, depuis le 1er septembre 2019, toutes les voitures particulières neuves mises sur le marché de l’Union doivent être soumises à la procédure WLTP.

 

Qu’en est-il du barème de malus écologique ?

Depuis le 1er janvier 2021, tous les véhicules mis en circulation (1ère immatriculation) à compter du 1er mars 2020 se voient appliquer le malus écologique sur la base de leur taux de CO2 WLTP combiné.

 

Pour les autres (véhicules mis en circulation avant le 1er mars 2020), c’est le taux de CO2 NEDC combiné qui est indiqué sur le certificat d’immatriculation et qui sert de calcul pour le malus écologique. C’est notamment le cas pour les véhicules d’occasion importés. Il faut alors se référer à la grille de malus qui était en vigueur à la date de mise en circulation du véhicule.

 

Attention également à la prime à la conversion, en effet le plafond du taux de CO2 n’est pas le même en fonction de la norme d’homologation du véhicule.

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Chartes et fiches pratiques réparateurs / experts

Les règles interprofessionnelles sur les relations experts en automobile (FFEA – Fédération Française de l’Expertise Automobile) et réparateurs (FNA, FFC et MOBILIANS) et l’Accord de relations professionnelles avec les experts du BCA Expertise (annexés au présent document) ont été signés avec la FNA pour la première fois respectivement le 3 juillet 2008 et le 11 juin 2008.

Après 7 ans d’existence et malgré leurs différentes révisions, force est de constater que ni la Charte ANEA ni l’Accord BCA Expertise sont appliqués efficacement sur le terrain.

C’est pour cela que l’accord BCA a été réactualisé le 10 février 2022 et les règles FFEA (anciennement ANEA) actualisées en septembre 2024 pour un application au 1er janvier 2025.

Dans un contexte de suprématie économique des assurances sur le marché de la réparation collision et sur les experts, les réparateurs se trouvent confrontés à des procédures d’expertise longues et contraignantes mettant constamment en péril la qualité du service rendu au client final.

L’objectif est de régulariser les procédures d’expertise et de pérenniser les relations entre réparateurs et experts dans l’intérêt commun d’une réparation du véhicule dans les règles de l’art (sécurité, qualité et satisfaction du client).

Afin de rééquilibrer les relations entre les experts et les réparateurs, ce document contient des fiches pratiques synthétiques et opérationnelles permettant à chaque étape de l’expertise du véhicule d’attirer l’attention du réparateur sur des points précis pour mener à bien, en concertation avec l’expert, la mise en réparation du véhicule.

Ces fiches pratiques sont conçues pour contraindre l’expert à respecter des points précis ou le mettre à défaut dans certains cas vis-à-vis des accords professionnels qu’il n’est pas censé ignorer ou interpréter à sa guise.

Elles offrent des conseils, points de vigilance et références documentaires pour aider le réparateur lors de litiges ponctuels ou persistants avec des experts.

Des outils clefs-en-main tels que des correspondances-types (courriels, courriers, etc.) ou des pense-bêtes pour accompagner le réparateur dans la bonne application des textes.

Chaque fiche contient des annexes d’outils clés-en-main ou de documents réglementaires. Ce recueil contient 6 fiches à utiliser sans modération !

 

Nouveauté au 16 septembre 2024 : La FNA avec les autres organisations professionnelles de réparateurs ont signé les nouvelles règles interprofessionnelles avec la FFEA. Ces dernières remplacent l’ancienne charte de bonnes pratiques existante avec l’ANEA. 

Ce nouvel accord entre officiellement en application au 1er janvier 2025 mais vous pouvez dores-et-déjà le télécharger dans les documents complémentaires et prendre connaissance des fiches pratiques qui intègrent toutes ses évolutions. 

 

Bonne lecture (les fiches pratiques sont à télécharger dans l’onglet « document complémentaire » en bas de cette page) :

Cliquez ici pour télécharger le sommaire

FICHE 1 – Le principe du contradictoire

ANNEXES FICHES 1 :

Annexe 1        Courriel informant que la première expertise faite en l’absence du réparateur n’est pas valable

Annexe 2        Courriel de demande de transmission de l’évaluation détaillée

Annexe 3        Courrier-type de formalisation du désaccord du réparateur  sur l’évaluation détaillée

Annexe 4        Courrier-type de saisine de l’expert dans le cas de travaux complémentaires

FICHE 2 – Procédure « véhicule endommagé » (VGE/VEI) et respect du contradictoire (avec annexes)

A savoir : Nouveauté au 27 mai 2024 : Les annexes de l’arrêté relatif aux véhicules endommagés (VGE et VEI) ont été mises à jour pour prendre en compte l’évolution des véhicules ainsi que celle des professions d’experts et de réparateurs (voir annexes 1 à 3). 

Annexe 1       Conditions de l’examen initial et déficiences permettant d’établir que le véhicule accidenté ne peut pas                                    circuler dans des conditions normales de sécurité.

Annexe 2        Critères d’irréparabilité technique

Annexe 3        Méthodologie du suivi et du contrôle des réparations

Annexe 4        Instructions FRANCE ASSUREURS (facturation des frais connexes)

Annexe 5        Notice de la FFEA (Fédération Française de l’Expertise Automobile) relative à la procédure VE

FICHE 3 – Expertise à distance (EAD) et expertise accompagnée (BCA) avec annexe

Annexe 1        Recommandations DSCR/FFSA-GEMA/CFEA/UPEAS du 21 septembre 2001 et relative à l’expertise à                                  distance.

 

Cliquez ici pour télécharger l’affiche « Photo expertise : un travail de professionnel ! »

FICHE 4 – Pièces issues de l’économie circulaire (PIEC)

Annexe 1       Modèle d’attestation Client – Montage de pièces de réemploi sur le véhicule

Annexe 2       Courrier-type de contestation auprès de l’expert sur l’imposition de PRE

FICHE 5 – Sous-traitance avec annexe

Annexe 1        Modèle de contrat de sous-traitance pour le débosselage sans peinture

FICHE 6 – Facturation et liberté des prix (avec annexes)

Annexe 1        Note FNA sur les critères d’appréciation objective du coût de la réparation par un expert

Annexe 2        Références jurisprudentielles sur les critères d’appréciation objective par l’expert

 

Les fiches pratiques sont à télécharger dans l’onglet « document complémentaire » en bas de cette page ↓↓↓

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Accords de relations professionnelles avec BCA expertise

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Le recours direct

La cession de créance

Libre choix du réparateur

Procédure de rappel de 2500 véhicules potentiellement dangereux

Négociation des conventions d’agrément avec les sociétés d’assurance

Charte relation réparateur / Assureur note explicative

Gestion des sinistres suite à un épisode de grêle

Norme afnor nf x 50-845 dediée à l’activité de carrosserie

Obligation de proposer une Pièce Issue de l’Economie Circulaire (PIEC) (anciennement appelées pièces de réemploi)

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Restriction de l’eclairage nocturne des commerces

Pour limiter les nuisances lumineuses, l’éclairage nocturne a d’abord été restreint, en 2012, dans les agglomérations de moins de 800 000 habitants : les enseignes et publicités lumineuses devaient être éteintes entre 1h et 6 h du matin.

Depuis le 1er juillet 2013[1], l’éclairage des bureaux et des enseignes est d’avantage restreint. Désormais :

  • les vitrines des magasins de commerce ou d’exposition doivent être éteintes entre 1h et 7h du matin. Elles peuvent néanmoins être éteintes une heure après la fermeture lorsque l’activité se poursuit après 1h du matin et allumées une heure avant le début de l’activité si celle-ci s’exerce avant 7h du matin ;
  • les éclairages intérieurs des locaux à usage professionnel devront être éteints une heure après la fin de l’occupation des locaux ;

 les façades des bâtiments devront seulement être éclairées à compter du coucher du soleil et au plus tard jusqu’à 1h du matin.

Pour les façades et les vitrines des magasins, des dérogations pourront être accordées par le préfet les veilles de jours fériés chômés, pendant la période de Noël, ainsi que lors de manifestations locales définies par arrêté préfectoral et dans les zones touristiques d’affluence exceptionnelle ou d’animation culturelle permanente[2] définies par le Code du travail.

L’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) estime que ces mesures permettent de réduire les émissions de CO2 de 250 000 tonnes par an, de réduire la consommation d’énergie environ équivalente à celle de 750 000 ménages sur une année et de réaliser une économie de 200 000 000 d’euros.

Le non-respect des obligations en matière d’éclairage lumineux est constaté visuellement, généralement par le maire. En revanche, le préfet est compétent concernant l’éclairage des bâtiments communaux.

Au terme d’une procédure administrative, le maire ou le préfet peut suspendre, par arrêté, le fonctionnement des sources lumineuses du commerce qui ne s’est pas conforté à la législation. Celui-ci encourt également une amende de 750 euros.

Pour plus d’information, n’hésitez pas à vous rendre sur :

 la page dédiée du site du Ministère de l’Environnement : http://www.ecologique-solidaire.gouv.fr/pollution-lumineuse

  • le site de l’Association nationale pour la protection du ciel et de l’environnement nocturnes (ANPCEN) : https://www.anpcen.fr

 [1] Arrêté du 25 janvier 2013 relatif à l’éclairage nocturne des bâtiments non résidentiels afin de limiter les nuisances lumineuses et   les consommations d’énergie.

[2] Définies par le Code du travail aux articles L. 3132-25, R. 3132-19 et R. 3132-20.

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Conditions d’utilisation du w garage et démarches pour l’obtenir

Les professionnels de l’automobile qui font circuler les véhicules qu’ils réparent  ou qu’ils destinent à la vente sur les voies ouvertes à la circulation publique, afin notamment de procéder à des essais techniques liés à la réparation ou de les présenter à d’éventuels clients, doivent utiliser des certificats d’immatriculations et numéros W garage.

Il est indispensable de maîtriser la réglementation du W garage pour ne pas s’exposer à des sanctions administratives et pénales.

Cette note vous présente les conditions de circulation spécifiques au W garage et la démarche pour l’obtenir.

Attention, le W garage doit être renouvelé chaque année, à partir du 1er novembre et avant le 31 décembre.

Qui peut bénéficier d’un certificat W Garage ?

Les certificats W Garage peuvent être demandés par les professionnels qui justifient :

  • d’un extrait du registre du commerce et des sociétés ou du répertoire des métiers
  • d’une justification fiscale de son activité de construction, importation, transport, réparation ou de commerce de véhicules automobiles ou remorqués.

Durée de validité du W Garage

Les immatriculations W garage ne sont valables que l’année civile pour laquelle ils sont délivrés et comportent la date de fin de validité.

Le certificat ainsi délivré porte le millésime de l’année de sa délivrance et est adressé au professionnel ayant effectué la demande.

Les demandes de renouvellement peuvent ensuite être introduites, pour l’année suivante, à partir du 1er novembre jusqu’au 31 décembre de l’année en cours.

Le professionnel conserve son ancien certificat jusqu’au 31 décembre de l’année en cours.

Il détruit le certificat W garage à l’issue de cette période, qu’il ait effectué ou non une demande de renouvellement de son certificat.

Composition du dossier de demande de w garage

La demande d’un certificat W garage doit être faite à l’aide de l’imprimé cerfa W GARAGE. Ce formulaire doit être complété, signé et revêtu du cachet de votre entreprise.

Les pièces à fournir sont :

  • Un extrait du RCS (Registre du Commerce et des Sociétés) ou du répertoire des métiers en cours de validité
  • Un justificatif fiscal de l’activité professionnelle liée à la réparation ou au commerce de véhicules automobiles ou remorqués (exemple : avis d’assujettissement à la cotisation foncière des entreprises).

Conditions d’utilisation d’un w garage

Les véhicules utilisés par les professionnels du commerce de l’automobile à des fins professionnelles circulent, à titre provisoire, sous couvert d’un certificat d’immatriculation W  garage, dans les cas suivants :

Pour les véhicules d’occasion : les véhicules déjà immatriculés dont la mise en circulation a strictement pour objet :

  • les essais techniques avant ou après réparation ou modification : Vous ne pouvez pas essayer le véhicule d’un client sans être couvert par votre W Garage
  • les essais techniques après réparation d’un véhicule endommagé (VEI / VGE) afin de vérifier, sous le contrôle et la conduite du garagiste, que le véhicule peut circuler dans des conditions normales de sécurité : Un expert en automobile ne peut pas conduire un véhicule endommagé sous votre W garage. Il conduit le véhicule sous ses plaques d’origine.
  • le transport entre un atelier de réparation et un atelier spécialisé ou un centre de contrôle technique : Vous ne pouvez pas circuler avec le véhicule d’un client sans être couvert par votre W Garage
  • la revente du véhicule recouvrant la présentation à un acheteur potentiel, l’acheminement du véhicule à un lieu d’exposition à la clientèle ou à l’adresse de l’acquéreur ;
  • le remorquage entre le lieu de l’accident et un atelier de réparation de véhicules endommagés dans un accident de la circulation et dont la plaque arrière n’existe plus ou n’est plus lisible ;
  • véhicules démunis de certificat d’immatriculation lorsqu’il s’agit des opérations visées aux cas ci-dessus ;
  • déplacement pour présentation aux acquéreurs éventuels ou à leurs représentants de véhicules de plus de 3,5 tonnes affectés à la démonstration.

 

Pour les véhicules neufs :

  • les prototypes en cours d’étude ou d’essai technique, les véhicules dont la déclaration de mise en circulation n’est pas encore possible dans les cas suivants :
  • essais techniques et mises au point dès l’achèvement de la construction ;
  • déplacements dans un lieu où le véhicule doit être complété ou adapté ;
  • déplacement pour présentation à un acheteur potentiel d’un véhicule non affecté à la démonstration ;
  • déplacement pour présentation aux acquéreurs éventuels ou à leurs représentants des véhicules de démonstration de PTAC > 3,5 tonnes ;
  • présentation à la presse ;
  • prêt pour essais, par les constructeurs ou leurs filiales et les importateurs, de véhicules à des directeurs de journaux ou journalistes spécialisés des questions automobiles et à toute personne dont la profession le justifie.

 

En dehors de ces hypothèses, l’utilisation du W Garage est interdite sous peine de sanctions administratives et pénales.

Conditions de circulation d’un W Garage

Le code de la route (art. R. 317-8) dispose « Tout véhicule circulant sous couvert du certificat d’immatriculation provisoire W garage, prévu au I de l’article R. 322-3, porte des plaques d’immatriculation réglementaires amovibles W garage ».

 

  • Obligation de circuler sur le territoire national

La circulation de véhicules en W est autorisée sur tout le territoire métropolitain et dans les DOM. Cette circulation est donc permise même en dehors du Département d’implantation de l’entreprise.

 

  • Obligation de ne faire circuler qu’un seul véhicule sous W garage

Il est interdit de faire circuler simultanément plusieurs véhicules avec un même numéro W garage. Les éléments constitutifs d’un véhicule articulé ou d’un ensemble de véhicules ne peuvent pas non plus être couverts par le même numéro W garage. (Exemple : Si vous êtes amené à circuler sous W Garage avec un véhicule et sa remorque, vous devez avoir un certificat W Garage pour le véhicule et un certificat W Garage pour la remorque).

Bon à savoir : vous pouvez demander plusieurs certificats W Garage pour une même entreprise (chaque certificat comportera un numéro d’immatriculation différent).
  • L’original du certificat W Garage doit être à bord du véhicule. Le véhicule doit être muni de plaques d’immatriculation reproduisant le numéro du certificat et masquant totalement les plaques d’origine.

 

  • Le titulaire du certificat ou son préposé muni d’une attestation d’appartenance à l’entreprise signée par le chef d’entreprise doit être à bord du véhicule. Des dérogations à cette règle sont admises, notamment :

lors du prêt d’un véhicule démonstration de plus de 3,5 tonnes de PTAC. Le bénéficiaire du prêt peut être seul à bord du véhicule. Il doit détenir une attestation de mise à disposition du véhicule établie par le titulaire du certificat W Garage. La durée de validité de cette attestation est limitée à 10 jours.

lors du prêt pour essai, par un constructeur, à ses collaborateurs et à leur famille, d’un véhicule de catégorie M1 et de genre VP en phase finale d’homologation européenne grande série qui sera délivrée par l’autorité de réception française, et dont les essais d’homologation partielles réalisés par l’UTAC sont satisfaisants pour répondre aux exigences des réglementations européennes liées à la sécurité. Pour cela, le constructeur devra être en possession d’une attestation visée par l’autorité de réception française.

 

  • Le propriétaire d’un véhicule déjà immatriculé peut participer aux essais techniques avant ou après réparation.

 

  • Cas des véhicules de transport des marchandises : Sous couvert d’une immatriculation en série W, un véhicule neuf ou d’occasion de transport de marchandises ne peut circuler qu’à vide ou lesté à l’exception notamment de l’essai par un client éventuel d’un véhicule dans les conditions attachées à son exploitation.

 

W garage et contrôle technique

Pour circuler sous couvert d’un numéro W garage, les véhicules dont l’âge, le genre et ou la catégorie les soumettent au contrôle technique doivent être en règle sauf dans le cas des essais après réparation.

Les conditions de circulation, sous couvert d’un numéro W garage, des véhicules soumis à visite technique, en reprise, en dépôt-vente ou en réparation sont définies ci-après :

  • Le véhicule a été acheté par un commerçant réparateur en vue de sa revente : la circulation du véhicule sous certificat W garage peut être autorisée à vide après la date limite de validité de la visite technique figurant sur le certificat d’immatriculation de l’ancien propriétaire. Ce certificat d’immatriculation, la déclaration d’achat, le carnet d’entretien et le dernier procès-verbal de visite devront accompagner le véhicule dans tous ses déplacements. Ce procès-verbal devra obligatoirement porter comme résultat la mention accepté.

 

  • Le véhicule a été confié à un commerçant réparateur en dépôt-vente : la circulation du véhicule sous couvert du certificat W garage n’est autorisée que lorsque la date limite de validité de la visite technique n’est pas dépassée.

 

  • Le véhicule a été confié à un garagiste pour réparations après avoir été refusé avec interdiction de circuler : la circulation sous couvert du certificat W garage après réparations pour essais est autorisée. Le certificat d’immatriculation du véhicule, l’ordre de réparation signé par le propriétaire, le carnet d’entretien et le dernier procès-verbal de visite technique portant la mention refusé avec interdiction de circuler devront accompagner le véhicule lors des essais.

Attention aux véhicules en déclaration d’achat : les véhicules acquis par le professionnel, en vue de leur revente, et bénéficiant d’une Déclaration d’Achat (DA) ne sont pas autorisés à circuler sous cette simple DA. Une DA ne constitue pas une immatriculation. Il est nécessaire d’utiliser un certificat W garage, et d’en respecter les conditions d’utilisation, pour faire circuler un véhicule en DA (Essai, transfert au contrôle technique …).

Les véhicules en Déclaration d’Achat ne peuvent pas être utilisés comme véhicules de remplacements. Ils ne peuvent pas être prêtés que ce soit à un client ou à un salarié.

Pour en savoir plus sur les véhicules en DA, nous vous invitons à cliquer sur ce lien.

Comment faire une première demande ou un renouvellement de certificat W Garage ?

Depuis le 6 novembre 2017, toutes les opérations d’immatriculations doivent être réalisées depuis le site de l’ANTS.

Pour réaliser une première demande de certificat W Garage, cliquez ici pour accéder au guide FNA. La 1ère demande de w garage peut être déposée à tout moment de l’année, pour l’année en cours.

Pour réaliser le renouvellement de votre W Garage, cliquez ici pour accéder au guide du ministère.

Attention, si vous n’avez pas renouvelé votre certificat l’année précédente, vous devez faire une première demande. (Exemple : Votre certificat était valable en 2021, vous ne l’avez pas renouvelé en 2022, vous devrez alors réaliser une première demande pour 2023 et non un renouvellement).

Bien que le site de l’ANTS ait changé récemment, la manière de procéder est relativement la même. 

Pour renouveler votre certificat, vous devez cliquer ici directement après avoir cliquer sur « nouvelle demande » :

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Contravention pour non designation du conducteur : seules les personnes morales sont concernees

Un arrêt récent de la Cour de Cassation remet partiellement en cause l’obligation de désignation du conducteur par le chef d’entreprise en cas d’infraction routière constatée par radar automatique.

Pour rappel, depuis le 1er janvier 2017, lorsqu’une infraction routière est commise avec un véhicule dont la carte grise est établie au nom d’une personne morale, le chef d’entreprise doit communiquer aux autorités, dans les 45 jours suivant l’envoi ou la remise de la contravention, les coordonnées du conducteur du véhicule. S’il ne le fait pas, il doit payer une contravention de 675 € pour non-désignation du conducteur, minorée à 450 euros et majorée à 1875 euros.

De nombreux chefs d’entreprise ont été verbalisés, notamment des artisans et professions indépendantes telles que des écoles de conduite, au motif que le chef d’entreprise avait réglé – de bonne foi – le montant de la contravention sans au préalable désigner le conducteur ou s’auto-désigner !

Dans un arrêt du 21 avril 2020, la Cour de cassation précise le cadre juridique de l’application de cette obligation de désignation en la limitant aux seules entreprises dotées d’une personnalité morale, à savoir les sociétés commerciales (SA, SARL, SAS, EURL, …).

Par conséquent, toujours selon la Cour de cassation, « l’immatriculation d’un véhicule avec le numéro de Siret de l’entrepreneur ne confère pas, pour ce seul motif, à son propriétaire ou détenteur la qualité de personne morale, de sorte que son dirigeant ne peut être poursuivi ».

Autrement dit, dès lors que le dirigeant de l’entreprise est en nom propre, auto-entrepreneur ou profession libérale, il n’a pas à être sanctionné pour non-désignation du conducteur. La contravention pourra être réglée directement par le chef d’entreprise sans que lui soit reprochée cette non-désignation.

Par contre, si la société est constituée sous forme de société commerciale, le représentant légal doit continuer de désigner la personne responsable de cette infraction (salarié, client, lui-même), sous peine de recevoir un avis de contravention pour non-désignation.

Cet arrêt a donc apporté une précision très utile pour les indépendants mais ne remet pas en cause le principe même de l’obligation de désignation pour les sociétés commerciales.

Quelles conséquences pratiques ?

 

L’Etat a du modifier les avis de contravention, afin de tenir compte de cet arrêt. Il est nécessaire en effet de préciser les conditions de désignation, en faisant la différence entre une entreprise individuelle et une société commerciale.

 

https://www.antai.gouv.fr/professionnel/reglementation/

Vous êtes dirigeant d’une entreprise individuelle, auto-entrepreneur, profession libérale et vous recevez un avis de contravention pour une infraction commise par radar automatisé. Comment réagir ?

Conformément à l’arrêt de la Cour de cassation, vous pouvez payer directement la contravention, à condition que le véhicule soit directement immatriculé à votre nom, ce qui entrainera un retrait de points sur votre permis de conduire. Si vous contestez la réalité de l’infraction pour une raison légale (vol ou vente du véhicule, erreur de forme, …), il vous est toujours possible de la contester en envoyant une requête en exonération dans les 45 jours de l’émission de l’avis, sans désigner le conducteur ni s’auto-désigner.

Si vous recevez par la suite un avis de contravention pour non-désignation, nous vous conseillons de formuler une requête en exonération en faisant expressément référence à l’arrêt de la Cour de cassation du 21 avril 2020, et en fournissant tout justificatif permettant de démontrer le statut de votre entreprise (ex : extrait K-bis pour les commerçants, extrait D1 pour les artisans). Vous justifierez ainsi ne pas être dans l’obligation de désigner le conducteur.

Attention ! Il faut bien distinguer l’avis de contravention pour une infraction constatée par radar automatique et l’avis de contravention pour non-désignation du conducteur !

La Cour de cassation ne s’est prononcée que sur cette seconde contravention. Par conséquent, si en tant qu’artisan ou profession libérale vous n’avez pas l’obligation de désigner le conducteur responsable de l’infraction, pour autant vous devrez payer la contravention faisant suite à une infraction constatée par radar automatique.

Enfin, la jurisprudence n’est pas rétroactive ; il n’est pas possible de demander un remboursement des contraventions déjà réglées pour non-désignation.

Cour de cassation, chambre criminelle, 21 avril 2020 – arrêt n° 19-86.467

 

 

 

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Equipement obligatoire d’un ethylotest

Depuis le 1er juillet 2012, tout conducteur d’un véhicule terrestre à moteur, à l’exclusion des 2 ou 3 roues ne dépassant pas les 50 cm3, doit posséder un éthylotest dans son véhicule[1].

Les conducteurs d’un véhicule déjà équipé d’un éthylotest anti-démarrage sont dispensés de cette obligation.

OBLIGATION D’EQUIPEMENT DU VEHICULE D’UN ETHYLOTEST

L’éthylotest doit être disponible immédiatement[2], à la demande d’un représentant des forces de l’ordre.

L’éthylotest peut être chimique (à usage unique, non utilisé) ou électronique. Il doit être certifié Norme Française « NF » (NF X 20 702 pour les éthylotests chimiques et NF X 20 704 pour les éthylotests électroniques).

Les éthylotests sont vendus dans les établissements spécialisés dans l’entretien et la réparation automobile et les stations-services, les pharmacies, bureaux tabac, certaines grandes surfaces, auprès d’une compagnie d’assurance.

Il devra satisfaire aux conditions de validité prévues par le fabricant comme par exemple sa date de péremption, et être revêtu d’une marque de certification ou d’un marquage du fabricant déclarant sa conformité à un modèle bénéficiant d’une attestation de conformité aux normes dont les références sont publiées au Journal Officiel.

Les conditions d’utilisation sont indiquées sur la notice délivrée par le fabricant. En général, le conducteur doit attendre au minimum une heure après avoir absorbé une boisson alcoolisée, pour vérifier s’il est apte à conduire.

Si le véhicule est équipé d’un éthylotest chimique, le conducteur ne doit pas conduire si les cristaux jaunes contenus dans le tube passent au vert.

Si le véhicule est équipé d’un éthylotest électronique, le conducteur doit souffler dans l’embout en une seule fois jusqu’à l’arrêt du signal sonore ou visuel. La mesure du taux d’alcool dans le sang s’affichera en mg/l.

DOCUMENTS ET JUSTIFICATIFS A PRESENTER EN CAS DE CONTROLE ROUTIER

Dans le cadre de contrôles routiers et autoroutiers, tout conducteur sera tenu de présenter :

■ Un éthylotest

■ Les documents attestant de l’équipement du véhicule d’un dispositif homologué d’antidémarrage par éthylotest électronique et de la vérification de son fonctionnement, lorsque le conducteur :

– a été condamné à une peine d’interdiction de conduire un véhicule qui ne soit pas équipé par un professionnel agréé ou par construction d’un tel dispositif ;

– ou s’il doit suivre un programme de réhabilitation et de sensibilisation comportant l’installation à ses frais d’un éthylotest anti-démarreur sur son véhicule, pour une période minimale de six mois et maximale de trois ans.

– Fait l’objet d’une décision de restriction d’usage du permis de conduire par l’autorité administrative.

Pour des informations complémentaires au sujet de l’éthylotest, une foire aux questions est accessible sur le site Internet de la Sécurité routière, via le lien suivant : http://www.securite-routiere.gouv.fr/connaitre-les-regles/questions-frequentes/questions-frequentes-sur-l-ethylotest

[1] Article R.234-7 du code de la route.

[2] Il doit être placé à portée de main du conducteur : boite à gants, espace de rangement dans la portière conducteur.

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Fichier des Véhicules Assurés (FVA) : Quels véhicules doivent-être déclarés par les professionnels de l’automobile ?

Infractions au Code de la route : Le chef d’entreprise doit désigner le conducteur auteur de l’infraction commise avec un véhicule de l’entreprise

Le véhicule de démonstration

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LE RGPD Règlement Européen sur la Protection des Données Personnelles

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Durée de conservation des documents d’entreprise

Confidentialité des comptes des micro-entreprises et des petites entreprises

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Les aides pour l’entreprise

Le nantissement du fonds de commerce

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Mise en garde contre les registres, annuaires et sites de référencement professionnels

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Fichier des Véhicules Assurés (FVA) : Quels véhicules doivent-être déclarés par les professionnels de l’automobile ?

Le décret n° 2018-644 du 20 juillet 2018 relatif au dispositif de lutte contre le défaut d’assurance de responsabilité civile automobile prévoit l’obligation pour les organismes d’assurance d’alimenter un Fichier des Véhicules Assurés (FVA) pour les pouvoirs publics à compter du 1er janvier 2019.

Beaucoup de professionnels de l’automobile se sont récemment interrogés sur les véhicules qu’ils doivent déclarer à leur assurance en fonction de leur spécificité (véhicules de remplacements, véhicules sous déclaration d’achat, W Garage…). La FNA fait le point :

  • Ce que dit le texte :

Tout véhicule dont la plaque d’immatriculation apparaît dans le Système d’Immatriculation des Véhicules (SIV) de la préfecture et non recensée au FVA sera présumé non assuré et son propriétaire passible d’une amende.

Pour un particulier 

  • La conduite sans assurance est un délit puni d’une amende de 3.750€ pouvant être assortie de peines complémentaires comme la suspension ou l’annulation du permis, avec interdiction de le repasser pendant 3 ans au plus et la confiscation du véhicule. Cette amende et les peines complémentaires sont prononcées par le tribunal correctionnel.
  • La Loi du 18 novembre 2016 prévoit que la conduite sans assurance peut être sanctionnée par une amende forfaitaire de 500€ (minorée à 400€ pour paiement dans les 15 jours, majorée à 1.000€ dés 45 jours).
  • La récidive peut aller jusqu’à 7500€.

Pour une personne morale

  • L’amende forfaitaire est quintuplée.

 Les forces de l’ordre peuvent effectuer des contrôles de bord de route et des contrôles automatisés dès le 1er janvier 2019.

  • Quels véhicules doivent être déclarés par les professionnels de l’automobile ?

 Les véhicules immatriculés au nom de l’entreprise :

Tous les véhicules immatriculés au nom de votre entreprise étant utilisés pour le compte de l’entreprise ou servant de véhicules de remplacements doivent être déclarés à votre assurance selon les modalités prévues par cette dernière.

Si vous avez un contrat de flotte automobile, chaque véhicule doit être répertorié et chaque évolution du parc doit être renseignée. L’entreprise doit donc effectuer des déclarations d’entrée et de sortie en temps réel à son assurance (ou son courtier).

N’hésitez pas à prendre conseil auprès de votre assurance.

  1. Les W garages[1]:

En tant que professionnel de l’automobile, vous êtes amenés à circuler sous couvert de W Garage. Vous devez donc déclarer les numéros de plaques W garage à votre assurance selon les modalités prévues par cette dernière.

Il n’est pas nécessaire de déclarer chaque véhicule avec lequel un professionnel circule sous W garage.

Pour rappel, les véhicules qui peuvent circuler sous couvert d’un W Garage sont :

  • Les véhicules neufs : prototypes à l’essai, véhicules en attente de mise en circulation (démonstration devant un acheteur potentiel, présentation à la presse, prêt pour essai) ;
  • Les véhicules d’occasion : uniquement ceux dont la mise en circulation porte sur des essais techniques liés à une réparation, le transport entre ateliers ou vers un centre de contrôle technique, la revente du véhicule, le remorquage après accident notamment ;

Le certificat W garage est rattaché au professionnel, titulaire du certificat d’immatriculation ou son préposé, muni de sa carte de vendeur ou justifiant par tout document signé du titulaire du certificat d’immatriculation de son appartenance à l’entreprise de ce dernier. Le certificat W garage n’est pas rattaché à un véhicule en particulier.

Æ Il est interdit de faire circuler simultanément plusieurs véhicules avec le même numéro W

  • Et les véhicules en stock et sous déclaration d’achat (DA) ?

 Æ Il est interdit de circuler sur la voie publique avec un véhicule en DA

Attention : les véhicules destinés à la vente (figurant aux stocks et/ou en « déclaration d’achat ») ne peuvent pas être utilisés comme véhicules de prêt. Ces véhicules ne peuvent être mis en circulation que dans des cas précis et sous couvert d’une carte et de plaques d’immatriculation « W garage ». Dans ce cas, seul le W Garage doit être déclaré à votre assurance comme vu plus haut.

Pour toutes ces raisons, les véhicules en stock sous DA n’ont pas à être déclarés individuellement dans le FVA.

 

Rappel des conditions d’utilisation d’un véhicule en DA : dans le cadre de son activité de négoce, le professionnel n’est pas obligé de procéder à l’immatriculation définitive d’un véhicule (article 11 de l’arrêté du 9 février 2009).  En d’autres termes, lorsque le véhicule est acheté par un professionnel en vue de sa future revente, celui-ci n’est pas obligé d’établir un certificat d’immatriculation dans l’attente de trouver un acquéreur. Il peut conserver le véhicule avec cette « déclaration d’achat » inscrite dans le SIV (Système d’Immatriculation des Véhicules). Il faut considérer qu’un véhicule en déclaration d’achat est dans une situation intermédiaire (entre achat et revente) : c’est un peu comme s’il ne disposait plus de plaques d’immatriculation. Ce véhicule ne peut donc pas être utilisé sur route, sauf à disposer d’un W garage pour les essais (par exemple pour un client venant essayer le véhicule avant l’achat).

Il en va de même pour les véhicules achetés à l’étranger (import neuf ou occasion) pour lesquels une DA n’est pas faisable. Ces derniers ne peuvent circuler que sous couvert d’un W garage dans des conditions bien précises.

  

[1] Voir la note W garage dans la base documentaire www.fna.fr

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LE RGPD Règlement Européen sur la Protection des Données Personnelles

Obligation de déclarer les bénéficiaires effectifs des sociétés

Obligation d’utiliser un logiciel de caisse conforme

Durée de conservation des documents d’entreprise

Confidentialité des comptes des micro-entreprises et des petites entreprises

Alerte sur les e-mail frauduleux

Les aides pour l’entreprise

Le nantissement du fonds de commerce

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Infractions au Code de la route : Le chef d’entreprise doit désigner le conducteur auteur de l’infraction commise avec un véhicule de l’entreprise

Depuis le 1er janvier 2017, lorsqu’une infraction routière est commise avec un véhicule dont la carte grise est établie au nom d’une personne morale, le chef d’entreprise doit communiquer aux autorités, dans les 45 jours suivant l’envoi ou la remise de la contravention, les coordonnées du conducteur du véhicule

S’il ne le fait pas, il doit payer une contravention de 675 € pour non-désignation du conducteur, minorée à 450 euros et majorée à 1875 euros. 

Article 34 de la loi n° 2016-1547 du 18 novembre 2016 publiée au Journal Officiel du 19 novembre

Depuis le 20 novembre 2016, les amendes infligées à une société (carte grise établie au nom d’une personne morale) sont cinq fois plus élevées que celles visant une personne physique, pour des infractions identiques. Ceci concerne non seulement les amendes pour infraction au code de la route, mais également de nombreuses contraventions, notamment en matière de transport, d’environnement et autres (défaut de chronotachygraphe, non-présentation des documents justifiant de la FIMO ou FCO, abandon d’ordures, de déchets, de matériaux et autres objets, contraventions en matière de bruit, etc).

Le montant des amendes forfaitaires dépend d’une part de la gravité de l’infraction, d’autre part de sa date de paiement. On distingue ainsi trois montants :

  • le montant minoré, qui s’applique aux infractions des 2e, 3e et 4e classes, à condition qu’elles soient payées sous moins de 15 jours ;
  • le montant normal, qui s’applique lorsque les délais de paiement de la contravention à montant minoré sont dépassés ou qu’il n’y a pas de montant minoré ;
  • le montant majoré, qui est dû en l’absence de paiement ou de contestation dans un délai de45 jours.
Contraventions Montant minoré Montant normal Montant majoré
1ère classe  11 €  (x 5 = ) 55 €  33 € (x 5 = ) 165 €
2e classe 22 € (x 5 = ) 110 €  35 € (x 5 = ) 175 €  75 € (x 5 = ) 375 €
3e classe 45 € (x 5 = ) 225 €  68 € (x 5 = ) 340 € 180 € (x 5 = ) 900 €
4e classe 90 € (x 5 = ) 450 € 135 € (x 5 = ) 675 € 375 € (x 5 = )1.875 €

La règlementation oblige les entreprises à fournir le nom du conducteur en cas d’infraction commise par un salarié ou un client au volant d’un véhicule de société. Le chef d’entreprise devra fournir les coordonnées du conducteur responsable de l’infraction dans un délai de 45 jours à compter de la date d’envoi ou de remise de la contravention. S’il refuse, il s’exposera à régler une amende multipliée par cinq. En outre s’ajoutera une amende de 4ème classe (675 euros), à moins de prouver un vol ou une usurpation des plaques d’immatriculation du véhicule.

Consultez la note FNA : Contravention pour non désignation du conducteur : seules les personnes morales sont concernées.

Salarié responsable de l’infraction

Ø En cas de «dénonciation» par l’employeur du salarié utilisant un véhicule mis à sa disposition par l’entreprise, c’est le salarié qui paiera l’amende et perdra les éventuels points sur son permis de conduire.

Ø Si l’employeur choisit de ne pas dénoncer le salarié et de payer lui-même la contravention, il verra le montant de l’amende multipliée par 5 et devra payer la contravention de 675 €.

C’est à l’entreprise de payer l’amende : elle n’est pas autorisée à effectuer une retenue sur salaire. La Cour de Cassation considère qu’une telle pratique est illicite, même lorsqu’elle est prévue dans le contrat de travail.

Le salarié conducteur ne subira pas de retrait de points sur son permis.

Client responsable de l’infraction

En cas de prêt ou de location de véhicule, n’oubliez pas de prendre une photocopie du permis de conduire du client, car la même règle s’applique : si le chef d’entreprise choisit de ne pas dénoncer le conducteur et de payer lui-même la contravention, il verra le montant de la contravention multiplié par 5 et devra payer l’amende de 675 €.

 Si c’est le chef d’entreprise qui conduisait le véhicule de société lorsque l’infraction au code de la route a été constatée, il doit se dénoncer lui-même et ne pas payer l’amende. Lorsqu’il recevra un nouvel avis de contravention qui lui sera personnellement adressé, il règlera l’amende pour infraction et échappera à la contravention de 675 € pour non-dénonciation.

Transmission des informations concernant l’auteur de l’infraction

Le chef d’entreprise doit communiquer aux autorités, dans les 45 jours suivant l’envoi ou la remise de la contravention, les coordonnées du conducteur du véhicule.

Doivent ainsi être communiquées : l’identité et l’adresse du conducteur, ainsi que la référence du permis de conduire.

è En cas de transmission par lettre recommandée avec avis de réception, le chef d’entreprise doit utiliser le formulaire joint à la contravention.

è En cas de transmission par voie dématérialisée, le chef d’entreprise doit se rendre sur le site www.antai.fr , en utilisant les informations figurant sur la contravention, à l’aide du formulaire figurant sur le site.

Infraction routière : la prise en charge patronale de l’amende est soumise à cotisations

Selon un arrêt de la Cour de cassation, la prise en charge par l’employeur des amendes réprimant une contravention au Code de la route commise par un salarié de l’entreprise, est un avantage qui doit être réintégré dans l’assiette des cotisations de sécurité sociale, conformément à l’article L.242-1 du Code de la sécurité sociale. Si l’employeur ne désigne pas son salarié comme auteur de l’infraction et prend en charge le règlement de l’amende, il s’expose à un risque de redressement.

Cour de Cassation, chambre civile du 9 mars 2017, n° 15-27538

 

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