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Activité partielle de longue durée – APLD

L’activité partielle de longue durée a été instaurée pour faire face aux problématiques liés à la crise sanitaire par l’article 53 de la loi N° 2020-734 du 17 juin 2020. Le décret n° 2020-926 du 28 juillet 2020 relatif au dispositif spécifique d’activité partielle en cas de réduction d’activité durable est venu préciser ses modalités d’application, ainsi plusieurs décrets sont intervenus au cours des années 2020 et 2021.

Le dispositif APLD 

Pour mémoire, l’APLD est un dispositif temporaire alternatif à l’activité partielle, ayant pour but de soutenir les entreprises confrontées à une réduction d’activité durable qui n’est pas de nature à compromettre leur pérennité. Il permet à l’employeur, pour une période de 6 mois minimum à 36 mois consécutifs (vs 24 mois) ou non dans la limite de 48 mois (vs 36 mois), de diminuer le temps de travail des salariés et de recevoir, pour les heures « chômées », une allocation qui compensera l’indemnisation du salarié.

ATTENTION : la durée du bénéfice du dispositif est prolongée de 12 mois par le Décret n° 2022-508 du 8 avril 2022 : APLD

  • Quels sont les salariés qui peuvent être mis en APLD ?

Les salariés concernés sont les titulaires d’un contrat à durée indéterminé ou déterminé, à temps plein ou temps partiel ou en forfait en heures ou jours, en contrat d’apprentissage ou de professionnalisation. Jusqu’au 31 décembre 2021, les cadres dirigeants en cas d’absence totale d’activité, les salariés en portage salarial, les salariés en CDD d’usage d’insertion et les VRP.

  • Date limite de la demande et dépôt

Votre demande de validation ou d’homologation est désormais possible jusqu’au 31 décembre 2022 (vs. 30 juin 2022) date butoir, mais à ne pas confondre avec la date de fin de l’accord.

L’accord de branche conclu pour une durée déterminée s’appliquait jusqu’au 30 juin 2025, la durée a été modifiée par l’avenant N°1 à l’accord, signé le 12 mai 2022 et étendu au JO du 8 juillet 2022.

  • La demande d’homologation du document unilatéral doit être transmise à la Dreets où est implanté l’établissement concerné par l’accord ou le document unilatéral.

Attention : les délais de réponse sont de 15 jours pour la validation, 3 semaines pour l’homologation.

  • Après avoir obtenu la validation de l’homologation du document unilatéral (valant autorisation de placement en APLD), vous devrez effectuer une demande d’indemnisation au titre des heures chômées pour chacun des salariés.

La demande d’homologation devra être déposée auprès de la Dreets dont vous dépendez, par voie dématérialisée et dans les conditions prévues à l’article R.5122-26 du code du travail, sur le site internet dédié à l’activité partielle : www.activitepartielle.emploi.gouv.fr/aparts/, dans les 6 mois suivant l’obtention de l’homologation.

Il faudra cocher la case « activité partielle de longue durée », joindre le document unilatéral ainsi que l’avis du Comité social et économique si il existe.

POINTS POSITIFS – POINTS NEGATIFS DE L’APLD

L’intérêt de l’APLD ?

  • Une prise en charge plus élevée des activités d’indemnité partielles versées aux salariés ;
  • Une durée plus longue (6 mois minimum – 36 maximum).

Les inconvénients

  • Des contreparties d’engagements en matière de formation professionnelle ;
  • Une réduction de la durée du travail dans la limite de 40% de la durée légale.

Les questions à se poser avant toute décision de mise en place de l’APLD

Certes, le contexte économique et social de l’entreprise s’y prête, mais :

  • la réduction de l’activité est-elle durable ? Cela va durer moins de 6 mois, au moins 6 mois, plus de 6 mois, ou des perspectives meilleures pourraient se profiler ?
  • si oui, cette réduction durable compromet elle la pérennité de mon entreprise ?
  • si la réduction de l’activité de l’entreprise est durable mais que la pérennité de l’entreprise n’est pas compromise, excède-t-elle ou non 40 % de la durée légale (ou 50 % si l’entreprise peut justifier une circonstance exceptionnelle) ?

Les conditions de mise en œuvre 

  • Par voie d’accord collectif d’établissement, d’entreprise ou de groupe ;
  • Au travers d’un document unilatéral élaboré par l’employeur en application d’un accord de branche étendu.

Jusqu’à la parution au JO du 23 novembre 2021 de l’APN étendu relatif à l’APLD, il vous était impossible de recourir à l’APLD, hors le cadre d’un accord collectif.

L’accord de branche sur l’APLD signé en date du 14 octobre 2021, étendu au JO du 23 novembre 2021, complété par l’avenant N° 1 du 12 mai 2022 (JO du 8 juillet 2022), vous permet désormais de recourir à l’APLD dans le cadre d’un document unilatéral de l’employeur dans le respect des stipulations contenues dans l’accord de branche et des dispositions légales et réglementaires.

Si vous envisagez de mettre vos salariés en activité partielle de longue durée via un document unilatéral, prenez le temps de lire soigneusement l’accord de branche ainsi que l’avenant N° 1, et plus particulièrement le diagnostic, qui donne des éléments chiffrés sur la situation économique et les perspectives d’activité de la branche.

Cliquez ici pour prendre connaissance de l’accord, et ici pour  AVENANT N° 1 APLD – 12-05

Le contenu du document unilatéral de l’employeur (au regard de l’accord de branche et des dispositions réglementaires en vigueur)

L’APLD mise en place par accord collectif ou via le document unilatéral doit contenir les mentions obligatoires suivantes – renvoi article 4 et suivants de l’accord de branche sur le contenu du document unilatéral.

Un modèle de document unilatéral est disponible en cliquant ici

En préambule (voir modifications de l’avenant N°1) 

Vous devez faire un diagnostic (réalisé par l’employeur) sur la situation économique et les perspectives d’activité de l’établissement, de l’entreprise ou du groupe, ou de la branche.

A titre d’exemple, la situation économique peut être liée aux conséquences du Covid, livraison des semi conducteurs, de la guerre en Ukraine, ayant entrainé une baisse du chiffre d’affaires. Il peut également y avoir un contexte économique lié au ralentissement du marché mondial (cas de la distribution automobile) entrainant une baisse de chiffre d’affaires, provoqué par des prévisions de croissance non réalisées.

A défaut de problème purement économique, l’APLD peut être utilisée en tant qu’outil afin de faire face à la transformation profonde des métiers qui pour certains, seront en décroissance alors que d’autres non, (secteur automobile). Le dispositif permettrait à ceux dont les métiers sont impactés de pouvoir se former sur les heures chômées.

Selon le ministère du Travail, le diagnostic peut retracer les difficultés au niveau de la branche, les pertes de CA des entreprises du secteur, les baisses de commandes, les difficultés de trésorerie, les menaces sur l’emploi….

La rédaction du préambule ne doit pas être prise à la légère, car elle sera examinée par la Dreets avec la plus grande attention pour l’homologation de votre document. Il devra comporter des éléments objectifs, quantifiables…

Si un CSE existe, il faut informer et consulter le CSE avant la mise en place de l’APLD et lui présenter le diagnostic fait.

Date de début et la durée d’application du dispositif 

L’accord ou le document unilatéral doit fixer la date de début de recours à l’APLD et sa durée d’application, tout en sachant que la date de début ne peut être antérieure au 1er jour du mois civil au cours duquel la demande de validation de l’accord est transmise à l’administration. La date de départ est en général le 1er jour du mois suivant la date de conclusion du document.

ATTENTION : la durée d’application est désormais plus longue,  elle est de 36 mois maximum (vs 24 mois), consécutifs ou non, sur une période de 48 mois (vs 36 mois) consécutifs depuis la parution du décret du 8 avril 2022 – APLD. 

N’hésitez pas à modifier votre document unilatéral ou votre accord d’entreprise pour une mise en conformité avec le décret. 

Si nécessaire, vous pourrez renouveler votre demande d’APLD en l’accompagnant d’un bilan actualisé sur les engagements, d’un diagnostic actualisé et du PV de la dernière réunion du CSE si il existe.

Les activités et les salariés auxquels s’applique le dispositif

Il faut dans un premier temps identifier les activités impactées, puis pour chaque activité détailler le nombre de salariés concernés et en cas d’établissements multiples, détailler de la même manière. Tous les salariés de la branche sont éligibles (CDD, CDI, alternants, salariés en forfait jours annuel).

Attention : il est interdit de recourir de manière individualisée à l’APLD, c’est-à-dire de placer seulement une partie des salariés de l’entreprise relevant de la même catégorie professionnelle ou d’appliquer au salarié une répartition différente des heures travaillées et non travaillées.

Mais il est possible de prévoir que les salariés soient placés en APLD individuellement et alternativement par roulement au sein d’une même unité de travail : un atelier, services, unité de production, un atelier…

La réduction maximale de l’horaire de travail

Le principe est celui d’un taux légal maximal de 40 % de la durée légale.

Sous certaines conditions ce taux peut être porté à 50 %, dans des cas exceptionnels résultant de la situation particulière de l’entreprise, sur décision de l’administration. L’accord de branche ne donne pas plus d’indications.

La réduction du temps de travail s’apprécie pour chaque salarié concerné.

Par conséquent, le nombre d’heures chômées maximal pour un salarié, (temps plein ou à temps partiel), peut aller jusqu’à 14 heures par semaine (40 % de 35 heures). Pour un salarié avec un temps plein de 35 heures, le temps de travail sera donc de 21 heures (60 % de 35 heures).

C’est sur la durée totale de placement en APLD qu’il faut vérifier si la réduction de l’horaire n’excède pas 40 % de la durée légale. En conséquence, il est possible pour l’employeur de moduler du temps de travail pour chaque salarié concerné selon les périodes de basse ou de haute activité.

Attention, la suspension totale de l’activité est quant à elle impossible au regard de l’article 4.4 de l’accord de branche qui précise : « le salarié, placé en APLD, ne pourra pas travailler moins d’une journée par mois ».

Les engagements en matière d’emploi et de formation professionnelle

  • Les engagements en matière d’emploi portent au minimum sur les salariés concernés par l’APLD – article 4.6 de l’accord de branche

En général, on retrouve l’engagement de l’employeur de ne pas licencier pour motif économique.

Ces engagements s’appliqueront pendant une durée au minimum égale, pour chaque salarié concerné, à la durée d’application du dispositif.

  • Les engagements en matière de formation professionnelle

La branche souligne l’importance du développement de la formation professionnelle continue qui constitue une des conditions de l’amélioration des techniques et de relance de l’activité économique des entreprises.

Vous pouvez vous engager sur des axes prioritaires de formation qui permettraient de développer l’employabilité des salariés et par conséquent anticiper sur des nouveaux métiers de la branche au regard des métiers en tensions.

Vous pourriez mettre à profit les périodes chômées pour maintenir ou développer les compétences de vos salariés.

Pour information, il existe différents dispositifs de formation : FNE formation ; compétences emploi ; Pro – A ….

Rapprochez vous d’OPCO mobilités, de l’ANFA, et des organismes de formation de la branche, afin d’obtenir toutes les informations nécessaires sur ces dispositifs.

Les modalités d’informations des organisations syndicales et des institutions représentatives du personnel

Elles doivent être prévues dans l’accord ou le document – renvoi article 4.9 de l’accord de branche.

Notez-le : il faut informer et consulter le Comité social et économique avant la mise en place du document unilatéral et avant le renouvellement de la demande d’homologation.

Les dirigeants salariés, les mandataires sociaux et les actionnaires

Il vous est possible de prévoir les conditions dans lesquelles les dirigeants salariés qui exercent dans le périmètre de l’accord, ainsi que les mandataires sociaux et les actionnaires, dans le respect des compétences des organes d’administration et de surveillance, fourniront des efforts proportionnés à ceux demandés aux salariés placés en APLD.

A titre d’exemple, on peut trouver un engagement de modération salariale, de gels des dividendes…

En cas d’efforts appliqués, il faudra le mentionner dans le document unilatéral. – renvoi article 4.1 de l’accord de branche.

La rémunération des salariés placés en APLD

Indemnité du salarié 

Le salarié en APLD perçoit pour chaque heure non travaillée une indemnité horaire d’activité partielle égale à 70 % du salaire horaire brut calculé sur l’assiette des congés payés, ramenée à un montant horaire sur la base de la durée légale du travail applicable dans l’entreprise ou, si elle est inférieure, la durée collective du travail ou la durée stipulée au contrat de travail (D. n° 2020-926, 28 juill. 2020, art. 8).

Dans le cadre de l’activité partielle « classique », le taux est de 60 % alors qu’il est à 70 % dans le cadre de l’APLD.

La rémunération maximale prise en compte pour le calcul de l’indemnité versée au salarié est égale à 4,5 fois le Smic horaire fois le taux.

Pour les apprentis ou contrats de professionnalisation ayant un salaire inférieur au SMIC, l’indemnité d’activité partielle sera équivalente à sa rémunération horaire. Si le salaire est au moins égal au SMIC, l’indemnité sera équivalente à 70% de son taux de rémunération horaire.

L’assiette du taux d’indemnité

Les éléments de salaire à prendre en compte sont ceux de l’assiette de l’indemnité de congés payés (indemnité calculée selon les règles du maintien de salaire), soit le montant de la rémunération qui aurait été perçue pendant la période d’APLD si le salarié avait continué à travailler.

Par dérogation, les heures supplémentaires structurelles suivantes sont prises en compte jusqu’au 31 décembre 2021 (sauf nouveau décret) : les heures chômées correspondant aux heures supplémentaires structurelles issues d’un accord collectif ou d’une convention de forfait conclus avant le 23 avril 2020.

Le sort des primes

Sont prises en compte celles versées mensuellement qui sont calculées en fonction du temps de présence du salarié, et donc affectées par l’activité partielle. Leur montant est celui que le salarié aurait perçu s’il avait travaillé.

Le sort des éléments variables

Doivent être pris en compte les éléments de rémunération variables (commissions, pourboires…) ; les primes mensuelles qui connaissent une variation importante d’un mois sur l’autre ; les primes versées selon une périodicité non mensuelle, qui sont calculées en fonction du temps de présence du salarié, et donc affectées par l’activité partielle, comme par exemple une prime annuelle d’ancienneté ou d’assiduité calculée selon le temps de travail effectif.

Les éléments exclus de l’assiette de calcul de l’indemnité

Les heures supplémentaires et leur majoration, les frais professionnels qui ne sont pas des éléments de salaire ; les éléments de salaire annuels non affectés par l’activité partielle et sans lien avec le travail effectif ; la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat ; les primes d’intéressement et de participation ; lorsque la rémunération inclut une fraction de rémunération correspondant au paiement de l’indemnité de congés payés, cette fraction est également déduite pour la détermination de l’assiette permettant le calcul de l’indemnité et de l’allocation d’activité partielle, sans préjudice du paiement par l’employeur de l’indemnité de congés payés. Cette fraction de rémunération est de par sa nature exclue de l’assiette de calcul de l’indemnité de congés. Elle est expressément exclue jusqu’au 31 décembre 2020 par le décret n° 2020-435 du 16 avril 2020.

Le régime social et fiscal de l’indemnité

Les indemnités d’APLD sont soumises à la CSG sur les revenus de remplacement au taux de 6,20 % et à la CRDS au taux de 0,50 %.

Pour les salariés des départements du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et de la Moselle, ils demeurent redevables de la cotisation maladie au taux de 1,50 %, en plus de la CSG et de la CRDS sur les revenus de remplacement, sur l’intégralité de l’indemnité.

Mention APLD sur le bulletin de salaire

L’indemnité d’APLD, comme l’indemnité de l’activité partielle classique, est versée aux salariés concernés à la date normale du bulletin de paie. Les textes étant muet sur la présentation il est préférable d’indiquer les mentions suivantes :

  • le nombre d’heures chômées indemnisées au titre de l’activité partielle ;
  • le taux appliqué pour le calcul de l’indemnité mentionné à l’article R. 5122-18 du code du travail ;
  • le montant de l’indemnité correspondante versé au salarié.

L’allocation employeur 

Chaque mois, il faudra faire cette demande, pendant toute la durée de l’autorisation d’activité partielle, auprès de l’Agence de services et de paiement (ASP), par voie dématérialisée à l’adresse suivante : https://activitepartielle.emploi.gouv.fr/aparts/

Elle devra comporter : les informations relatives à l’identité de l’employeur ; la liste nominative des salariés concernés avec leur numéro de sécurité sociale ; les états nominatifs précisant le nombre d’heures chômées par salarié.

Attention, votre demande ne peut être faite qu’après le paiement de l’indemnité reçu par le salarié. Si vous payez vos salariés le dernier jour du mois, vous pourrez dès le lendemain procéder à votre demande d’indemnisation.

Votre demande d’APLD ne peut aller au-delà de 6 mois et est renouvelable par avenants par tranche de 6 mois maximum dans une limite totale de36 mois sur une période glissante de 48 mois.

Le taux horaire de l’allocation employeur dans les secteurs non protégés est égal, pour chaque salarié placé dans le dispositif d’activité partielle de longue durée, à 60% de la rémunération horaire brute, limitée à 4,5 fois le taux horaire du salaire minimum. Pour les secteurs protégés le taux est de 70%.

Incidence de l’APLD

Le placement en APLD s’impose au salarié qui en cas de refus pourrait se voir infliger une sanction disciplinaire.

L’APLD n’a pas d’incidence sur l’acquisition des congés payés.

Les périodes d’activité partielle effectuées depuis le 1er mars 2020 sont comptabilisées pour la retraite de base des salariés. Un contingent de 220 heures indemnisées est nécessaire pour valider un trimestre, dans la limite de 4 trimestres.

Les périodes d’activité partielle donnent également lieu à cotisations pour l’assurance veuvage, en plus des périodes habituellement prévues (toujours dans la limite de 4 trimestres).

Les périodes de chômage partiel ne donnant pas lieu à cotisations, elles ne devraient pas rapporter de points. Cependant, l’accord national interprofessionnel du 17 novembre 2017 prévoit l’attribution de points « gratuits » (sans paiement de cotisations) dans certaines situations, et notamment en cas de chômage partiel au-delà de la 60ème heure.

Attention, il est impossible de cumuler, sur une même période et pour un même salarié, APLD et la mise en activité partielle dans le cadre du dispositif de droit commun.

Pour des informations complémentaires cliquez ici Questions – réponses « Activité partielle de longue durée (APLD) » (travail-emploi.gouv.fr)

Malus sur les véhicules polluants 2022

L’acquisition d’un véhicule particulier neuf ou d’occasion polluant peut être sanctionnée d’une taxe sur les véhicules polluants et d’une taxe sur la masse en ordre de marche.

Attention, seuls les véhicules particuliers (y compris les pick-up 5 places et les véhicules transformés en véhicules de tourisme) sont assujettis au malus. Les camionnettes ne sont pas concernées.

 

Sous réserve de modifications par la loi de finances 2022, la loi de finances 2021 prévoyait d’ores et déjà le barème de malus écologique applicable au 1er janvier 2022.

Nouveautés au 1er janvier 2022 (sous réserve de modifications par la loi de finances 2022)

  • Le malus écologique sur les véhicules de tourisme, comprenant une taxe assise sur les émissions de CO2 (Y3), est complété par une taxe assise sur la masse en ordre de marche du véhicule (TMOM ou « malus au poids »).
  • Le malus écologique commence à partir de 128g de CO2 (= 50€)
  • Le montant du malus (CO2) ne pourra pas dépasser 50 % du prix TTC du véhicule.

 

MALUS SUR LA PREMIERE IMMATRICULATION EN FRANCE

 

1. Le malus sur les émissions polluantes :

 

Le malus est dû sur le premier certificat d’immatriculation délivré en France dès lors que le véhicule a fait l’objet d’une première immatriculation en France ou à l’étranger à compter du 1er janvier 2008. Il s’applique pour un véhicule particulier polluant acheté ou loué neuf en France, ou acheté à l’étranger et immatriculé pour la 1ère fois en France, ou ayant subi une transformation lui faisant répondre pour la première fois à la définition d’un véhicule de tourisme (voir ci-dessous « véhicule transformé en véhicule de tourisme »).

Qui est redevable du malus ?

  •  Les propriétaires ou locataires de voitures particulières et de pick-up 5 places ayant fait l’objet d’une réception communautaire, dont le taux de rejet de CO2 excède 132 grammes par kilomètre.
  • Les propriétaires ou locataires de voitures particulières et de pick-up 5 places n’ayant pas fait l’objet d’une réception communautaire, lorsque la puissance fiscale en chevaux-vapeur est supérieure à 4.

Quels sont les cas de minoration ou d’exonération du malus ?

  • Minoration pour les familles nombreuses

La minoration concerne les familles ayant au moins 3 enfants à charge (y compris les enfants placés en famille d’accueil), bénéficiaires des allocations familiales, qui acquièrent ou louent un véhicule de 5 places assises et plus. Elle consiste en une réduction de 20g de CO₂/km par enfant à charge, du taux d’émission pris en compte pour le calcul du malus ou d’un cheval administratif par enfant à charge.

Elle ne s’applique qu’à un seul véhicule d’au moins 5 places par foyer.

 

Comment obtenir la minoration ?

La taxe due doit tout d’abord être payée au moment de l’immatriculation du véhicule et le remboursement se fait ensuite sous la forme d’un remboursement d’impôt.

La demande de remboursement doit être faite avant le 31 décembre de la 2e année qui suit l’immatriculation à la trésorerie dont les coordonnées figurent sur l’avis d’imposition. Les documents à joindre sont :

  • Le document prouvant que le foyer est composé d’au moins 3 enfants (attestation de la Caf, livret de famille, attestation fiscale ….),
  • La demande de remboursement au moyen du formulaire de demande de remboursement de la taxe additionnelle,
  • La photocopie du (ou des) dernier(s) avis d’impôt sur le revenu,
  • La photocopie du certificat d’immatriculation délivré au nom du demandeur.

 

 

  • Minoration pour les entreprises

La minoration concerne les personnes morales qui acquièrent ou louent un véhicule d’au moins 8 places assises. Elle consiste en une réduction de 80g de CO₂/km ou de 4 chevaux administratifs.

Pour obtenir cette minoration, il faut immatriculer le véhicule par le biais de l’ANTS. 

 

  • Minoration pour les véhicules conçus pour circuler à l’E85

Les véhicules spécialement équipés pour fonctionner au moyen du superéthanol E85 bénéficient d’un abattement de 40% sur les taux d’émissions de dioxyde de carbone. Cet abattement ne s’applique pas aux véhicules dont les émissions de dioxydes de carbone sont supérieures à 250 g/km. Si le véhicule n’a pas fait l’objet d’une réception communautaire, le véhicule bénéficie d’un abattement de 2 chevaux administratifs sauf lorsque la puissance excède 12 chevaux administratifs.

 

  • Exonération pour les personnes à mobilité réduite

Le malus ne s’applique pas sur un véhicule :

  • Immatriculé voiture particulière carrosserie « handicap »,
  • Ou acquis par une personne titulaire de la carte mobilité inclusionportant la mention invalidité ;
  • Ou par une personne ayant un enfant mineur ou à charge dans son foyer fiscal qui est titulaire de cette carte.
  • Spécialement adaptés au transport de personnes handicapées (malus)

L’exonération ne peut concerner qu’un seul véhicule par bénéficiaire. Une photocopie de la carte d’invalidité doit être jointe à la demande de certificat d’immatriculation.

Pour obtenir cette exonération, il faut immatriculer le véhicule par le biais de l’ANTS. 

 

  • Exonération pour les véhicules électriques et hydrogène

Le malus ne s’applique pas sur les véhicules dont la source d’énergie est exclusivement l’électricité, ou l’hydrogène, ou une combinaison des deux.

Malus applicable à compter du 1er janvier 2022 :

Pour les voitures particulières ayant fait l’objet d’une réception communautaire (taux de CO2 WLTP) :

Le montant total du malus écologique (minorations inclues) ne peut pas dépasser 50% du prix d’acquisition du véhicule*.

 

Pour les voitures particulières n’ayant pas fait l’objet d’une réception communautaire (CV) :

Il s’agit des véhicules ayant fait l’objet d’une réception nationale ou à titre isolé.

Le montant total du malus écologique (minorations inclues) ne peut pas dépasser 50% du prix d’acquisition du véhicule*.

 

*Prix du véhicule :

  • quand la vente s’opère avec un acheteur final en France, le prix à  prendre en compte est celui effectivement versé par ce dernier, et figurant sur la facture. Il s’agit donc du prix du véhicule, après remise ;

 

  • en cas de location longue durée, le prix à indiquer est celui mentionné dans le contrat, ou à défaut, le prix catalogue ;

 

  • dans les autres cas (véhicules constructeurs, de démonstration, en transit temporaire), il s’agit du prix catalogue.

 

Dans tous les cas, les prix sont TTC et correspondent aux options et caractéristiques propres au-dit véhiculeLe prix indiqué dans l’interface SIV ne doit pas être porté à « 0 ».

 

Il est alors de la responsabilité du professionnel de conserver les justificatifs appropriés, notamment en cas d’atteinte du plafond, afin de permettre d’éventuels contrôles à postériori.

 

 

Véhicules introduits en France après immatriculation dans un autre pays :

 

Pour les véhicules introduits en France après avoir été acquis et immatriculés pour la première fois dans un autre pays à compter du 1er janvier 2008, le taux de la taxe est celui qui aurait été appliqué en France à la date de la première immatriculation si elle y avait été effectuée.

A noter que le propriétaire d’un tel véhicule bénéficie d’une réduction supplémentaire au moment de le faire immatriculer en France : Pour les véhicules ayant fait l’objet d’une immatriculation au moins 6 mois avant celle donnant lieu au malus, le montant du malus fait l’objet d’une réfaction de 10% pour chaque période de 12 mois entamée depuis la date de première immatriculation.

Le montant de cette réduction se calcule en fonction de la date de la première immatriculation hors de France du véhicule concerné. Les termes « 12 mois entamés » s’entendent du commencement de chaque période de 12 mois à compter de cette date d’immatriculation hors de France, jusqu’à la date de première immatriculation en France.

Pour connaître les grilles de malus de 2008 à 2022, veuillez consulter le document « Evolution des barèmes de malus écologique depuis 2008 » dans « documents complémentaires » ci-dessous. 

 

Barèmes applicables pour les véhicules importés :

 

Type de véhicule

(Nature du barème)

Date de première immatriculation du véhicule Barème applicable
Véhicules relevant du nouveau dispositif d’immatriculation (barème CO2 – WLTP) A compter du 1er janvier 2021 Barème WLTP en vigueur à la date de 1ère immatriculation

(-10% par année)

Du 1er mars au 31 décembre 2020 Barème WLTP 1er mars 2020

(-10% par année)

Véhicules réceptionnés UE et ne relevant pas du nouveau dispositif d’immatriculation (barème CO2 – NEDC) Du 1er janvier au 29 février 2020 Barème NEDC de Janvier/Février 2020 (-10% par année)
Jusqu’au 31 décembre 2019 Barème NEDC en vigueur à la date de 1ère immatriculation

(-10% par année)

Véhicules non réceptionnés UE et ne relevant pas du nouveau dispositif d’immatriculation (barème en puissant administrative) À compter du 1er janvier 2021 Barème en puissance fiscale (CV) en vigueur à la date de 1ère immatriculation (-10% par année)
Jusqu’au 31 décembre 2020

 

Concrètement :

  • Si le véhicule a été immatriculé pour la première fois à l’étranger entre le 1er janvier et le 31 décembre 2022, son taux de référence sera le taux de CO2 WLTP et le barème applicable sera le barème WLTP en vigueur au 1er janvier 2022.

 

  • Si le véhicule est homologué sous la norme WLTP et qu’il a été immatriculé pour la première fois à l’étranger entre le 1er janvier et le 31 décembre 2021, son taux de référence sera le taux de CO2 WLTP et le barème applicable sera le barème WLTP en vigueur au 1er janvier 2021.

 

  • Si le véhicule est homologué sous la norme WLTP et qu’il a été immatriculé pour la première fois à l’étranger entre le 1er mars et le 31 décembre 2020, son taux de référence sera le taux de CO2 WLTP et le barème applicable sera le barème WLTP en vigueur au 1er mars 2020.

 

  • Si le véhicule a été immatriculé pour la première fois à l’étranger avant le 1er mars 2020, (qu’il soit WLTP ou NEDC), son taux de référence sera le taux de CO2 NEDC et le barème applicable sera le barème NEDC en vigueur à sa date de 1ère immatriculation.

 

Comment immatriculer les véhicules importés dans le SIV ?

Précisions véhicules neufs / véhicules d’occasion :

D’un point de vue fiscal (pour le paiement de la TVA) et plus particulièrement d’un point de vue des échanges intra-communautaires, le Code général des Impôts indique que les véhicules automobiles et plus largement les véhicules terrestres à moteur sont considérés comme des biens d’occasion lorsque leur livraison est effectuée plus de six mois après la date de première mise en service ou s’ils ont parcouru plus de 6 000 kilomètres.

Mais pour le SIV (système d’immatriculation des véhicules) : si le véhicule est déjà immatriculé à l’étranger, il est d’occasion (même s’il a –6 000 kms et –6 mois). Si le véhicule n’est PAS déjà immatriculé à l’étranger, il est neuf.

 

Véhicules neufs JAMAIS immatriculés (importés) :

Pour les véhicules neufs (jamais immatriculés à l’étranger) en provenance d’un autre pays européen, le e-coc (certificat de conformité électronique) n’est pas renseigné automatiquement dans la base SIV. De ce fait un blocage peut survenir au moment dans son immatriculation dans votre interface SIV (clé web ou MISIV).

Dans ce cas, l’immatriculation peut se faire de deux manières :

  • Soit acheter le e-coc auprès du constructeur du véhicule afin que celui-ci le renseigne dans la base SIV et que vous puissiez immatriculer directement le véhicule dans votre interface.
    • La FNA se rapproche des constructeurs afin d’obtenir des renseignements concernant le cout du e-coc, le mode d’accès pour l’acheter et le délai pour l’obtenir (nous n’avons toujours pas obtenu d’informations à ce jour).
  • Soit saisir l’immatriculation du véhicule dans l’ANTS avec le COC papier et les justificatifs habituels. Cela engendre un délai de traitement du dossier plus long mais cela reste surement moins couteux que l’achat d’un e-coc auprès du constructeur (cout supplémentaire éventuel : W provisoire).

 

Véhicules d’occasion DEJA immatriculés à l’étranger :

Pour les véhicules d’occasion importés (déjà immatriculés à l’étranger), la base SIV n’est pour le moment pas capable de reconnaitre automatiquement les données WLTP du véhicule.

Si vous ne disposez pas de PIVO, vous réalisez les démarches dans l’ANTS (rien ne change).

Si vous disposez de PIVO (dispense de quitus fiscal) vous pouvez immatriculer les VO importés via votre interface :

  • Si le véhicule a été immatriculé pour la première fois avant le 1er mars 2020, vous indiquez le numéro de série du véhicule et pouvez l’immatriculer selon son taux de CO2 NEDC.
  • Si le véhicule a été immatriculé pour la première fois après le 1er mars 2020, vous devez impérativement indiquer manuellement son taux de CO2 WLTP COMBINÉ.

Attention : Afin de ne pas engager votre responsabilité et éviter de perdre votre habilitation et votre agrément, veillez à être rigoureux dans la saisine du taux de CO2.

 

 

2. La taxe sur la masse en ordre de marche (TMOM ou « malus au poids ») :

 

La taxe sur la masse en ordre de marche (TMOM) est dû sur le premier certificat d’immatriculation délivré en France dès lors que le véhicule a fait l’objet d’une première immatriculation en France ou à l’étranger à compter du 1er janvier 2022. Il s’applique pour un véhicule particulier lourd acheté ou loué neuf en France, ou acheté à l’étranger et immatriculé pour la 1ère fois en France, ou ayant subi une transformation lui faisant répondre pour la première fois à la définition d’un véhicule de tourisme (voir ci-dessous « véhicule transformé en véhicule de tourisme »).

 

La masse en ordre de marche, correspond à la « masse du véhicule en service avec carrosserie et dispositif d’attelage en cas de véhicule tracteur de catégorie autre que M1 (en kg) ». Elle se trouve au point G. du certificat d’immatriculation.

 

Cette taxe n’est pas applicable aux véhicules immatriculés pour la première fois (en France ou à l’étranger) avant le 1er janvier 2022.

Qui est redevable du malus au poids ?

Les propriétaires ou locataires de voitures particulières et de pick-up 5 places, dont la masse du véhicule en service avec carrosserie (G) est supérieure ou égale à 1800 kg.

Tarif applicable :

La TMOM (taxe sur la masse en ordre de marche), s’applique dès lors que la masse du véhicule excède le seuil de 1800 kg et le tarif applicable est de 10€/kg.

 

Exemple :

Si G = 1 900 kg alors l’écart entre 1 900 et 1 800 est de 100 kg. Donc la TMOM est de 100 x 10 € = 1 000 €.

 

Le montant total du malus sur le poids (minorations inclues) ne peut pas dépasser un montant égal à [tarif maximal figurant dans le barème de malus écologique montant du malus écologique applicable au véhicule].

 

Pour les véhicules ayant fait l’objet d’une immatriculation au moins six mois avant celle donnant lieu au malus, le montant du malus sur le poids fait l’objet d’une réfaction de 10 % pour chaque période de douze mois entamée depuis la date de première immatriculation.

 

Cette taxe n’est pas applicable aux véhicules immatriculés pour la première fois (en France ou à l’étranger) avant le 1er janvier 2022.

Quels sont les cas de minoration ou d’exonération du malus au poids ?

  • Minoration pour les familles nombreuses

La minoration concerne les familles ayant au moins 3 enfants à charge (y compris les enfants placés en famille d’accueil), bénéficiaires des allocations familiales, qui acquièrent ou louent un véhicule de 5 places assises et plus. Elle consiste en une réduction de 200 kg par enfant à charge.

Elle ne s’applique qu’à un seul véhicule d’au moins 5 places par foyer.

 

  • Minoration pour les entreprises

La minoration concerne les personnes morales qui acquièrent ou louent un véhicule d’au moins 8 places assises. Elle consiste en une réduction de 400 kg.

Pour obtenir cette minoration, il faut immatriculer le véhicule par le biais de l’ANTS. 

 

  • Exonération pour les personnes à mobilité réduite

Le malus ne s’applique pas sur un véhicule :

  • Immatriculé voiture particulière carrosserie « handicap »,
  • Ou acquis par une personne titulaire de la carte mobilité inclusion portant la mention invalidité ;
  • Ou par une personne ayant un enfant mineur ou à charge dans son foyer fiscal qui est titulaire de cette carte.
  • Spécialement adaptés au transport de personnes handicapées (malus)

L’exonération ne peut concerner qu’un seul véhicule par bénéficiaire.

Une photocopie de la carte d’invalidité doit être jointe à la demande de certificat d’immatriculation.

Pour obtenir cette exonération, il faut immatriculer le véhicule par le biais de l’ANTS. 

 

  • Exonération pour les véhicules électriques et hydrogène

Le malus ne s’applique pas sur les véhicules dont la source d’énergie est exclusivement l’électricité, ou l’hydrogène, ou une combinaison des deux.

 

  • Exonération pour les véhicules hybrides rechargeables

Le malus sur le poids ne s’applique pas aux véhicules hybride rechargeable de l’extérieur, dont l’autonomie en en mode tout électrique est supérieure à 50 km.

Dysfonctionnement SIV : Vigilance

Suite à des remontées d’adhérents concernant le calcul de la taxe malus écologique et la taxe sur la masse en ordre de marche (TMOM ou malus au poids) lors de l’immatriculation des véhicules, nous souhaitons vous alerter qu’une anomalie du SIV (système d’immatriculation des véhicules) a été identifiée par le ministère.

 

En effet, comme indiqué dans la note FNA concernant les taxes à l’immatriculation à partir du 1er janvier 2022 (cliquez ici pour la consulter), le malus au poids (ou taxe sur la masse en ordre de marche) ne s’applique qu’aux véhicules mis en circulation (donc immatriculés pour la première fois en France ou à l’étranger) à partir du 01/01/22

 

Par conséquent, les véhicules importés dont la date de première immatriculation est antérieure au 01/01/22 ne se voient pas appliquer le malus au poids (Article L421-75 du code des impositions sur les biens et services).

 

Cependant, le SIV ne tient pas compte de cette information et applique un malus au poids pour l’ensemble des véhicules dépassant 1800 kg (peu importe leur date de première mise en circulation). 

Le ministère nous a indiqué que “l’anomalie a bien été identifiée désormais et devrait être corrigée dans le SIV  d’ici le 4 mars 2022

Nous vous conseillons alors :

 

  • D’être vigilants avant de valider et payer une démarche sur l’ANTS (si les montants ne vous semblent pas correctes, reprenez la démarche en rédigeant un message à votre interlocuteur pour modifier les montants erronés).

 

Si vous avez déjà réglé les taxes et qu’une erreur a été commise lors du calcul, vous pouvez demander un remboursement depuis le site de l’ANTS (faire une autre demande → Demander un justificatif ou un remboursement).

Véhicule transformé en véhicule de tourisme (VASP-DERIVP)

 

Nouveauté applicable depuis le 1er juillet 2020 : Si, lorsqu’au moment de sa première immatriculation en France, un véhicule n’est pas un véhicule de tourisme (VASP-DERIV VP) ou est un véhicule de tourisme exonéré (accessible en fauteuil roulant), le malus( CO2 et au poids) s’applique lors de l’immatriculation consécutive à la première modification de ses caractéristiques techniques le faisant répondre à la définition d’un véhicule de tourisme ou lui faisant perdre le bénéfice de cette exonération.

 

Pour ces véhicules, deux situations sont à distinguer :

  • Soit le véhicule a été immatriculé pour la 1ère fois avant le 1er juillet 2020. Dans ce cas, sur son certificat d’immatriculation, ont été inscrites ses émissions NEDC ou NEDC corrélé. À l’occasion de sa transformation, il sera donc taxé au moyen du barème NEDC qui était en vigueur à sa date de 1ère mise en circulation.
  • Soit le véhicule a été immatriculé pour la 1ère fois à compter du 1er juillet 2020. Dans ce cas, sur son certificat d’immatriculation, ont été inscrites ses émissions WLTP. À l’occasion de leur transformation, ils seront donc taxés au moyen du barème WLTP

 

Dans tous les cas, la minoration de 10% par année entamée s’applique (dès lors que le véhicule a été immatriculé pour la première fois depuis plus de 6 mois).

Exemple : Un véhicule a été immatriculé pour la première fois en France en véhicule de société DERIV VP (sans siège à l’arrière). Aucun malus écologique n’a été appliqué sur son certificat d’immatriculation en France. Si des sièges lui sont ajoutés, lui faisant répondre à la définition d’un véhicule de tourisme (VP), le malus écologique sera appliqué dès la modification du certificat d’immatriculation du véhicule.

Pour rappel, lorsqu’il y a modification des caractéristiques du véhicule, le certificat d’immatriculation doit impérativement être modifié

 

Vigilance : Si vous achetez des véhicules de société (ou si vous en avez déjà en stock) dans le but de les transformer et de les revendre en tant que véhicule de tourisme, vos acheteurs devront s’acquitter du malus automobile au moment de l’immatriculation. Conformément à votre obligation de conseil, vous devez les informer de l’application de cette taxe.

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Contrat-type Permis B applicable jusqu’au 31 décembre 2024

La loi n°2019-1428 d’orientation des mobilités du 24 décembre 2019, dite LOM, a introduit l’obligation d’un contrat-type pour les auto-écoles. Le décret d’application publié le 21 février 2020 a défini le contenu de ce contrat-type. L’arrêté du 29 mai 2020 définit le modèle de contrat-type que les écoles de conduite doivent appliquer pour l’enseignement de la conduite pour la catégorie B du permis de conduire.

Ce modèle de contrat-type permis B est applicable jusqu’au 31 décembre 2024. A compter du 1er janvier 2025, il est obligatoire d’appliquer le nouveau contrat-type dont vous trouverez le modèle en cliquant sur ce lien.

Ce contrat-type est à l’origine une idée du rapport DUMAS de février 2019 pour « rendre les coûts plus transparents ». L’UNIC et la FNA s’y sont fortement opposés, mais la mesure a été retenue par le Premier Ministre qui l’a inscrite dans le projet de loi d’orientation des mobilités et a demandé au Conseil National de la Consommation de proposer le contenu et un modèle de contrat-type.
Concrètement, le code de la route prévoyait déjà que « les conditions et les modalités de l’enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules », faisait « l’objet d’un contrat écrit, qui pouvait être conclu dans l’établissement ou à distance, entre le candidat et l’établissement ».

La remise d’un contrat est OBLIGATOIRE (article L. 213-2 du code de la route), quelque soit le mode de conclusion du contrat (dans les locaux de l’auto-école ou à distance).

Contenu du contrat-type

L’annexe de l’arrêté du 29 mai 2020 définit le contenu du contrat-type en précisant ce qui doit être mis dans les articles :

– Désignation des parties
– Objet du contrat
– Date de prise d’effet et durée du contrat
– Tarifs des prestations et prix de la formation
– Programme et déroulement de la formation
– Obligations des parties (coté candidat, avec le détail des démarches administratives qui incombent au candidat et les explications sur le mandat)
– Modalités de paiement

– Conditions de rétractation ou de résiliation
– Garantie financière
– Règlement des litiges (médiateur de la consommation)
– Protections des données personnelles

Vous trouverez dans la rubrique ci-dessous « documents complémentaires » le contrat-type permis B tel que définit par l’arrêté.

Ce modèle de contrat-type permis B est applicable jusqu’au 31 décembre 2024. A compter du 1er janvier 2025, il est obligatoire d’appliquer le nouveau contrat-type dont vous trouverez le modèle en cliquant sur ce lien.

L’indemnité inflation

Le Premier ministre avait évoqué au cours d’une conférence de presse, la mise en place d’une indemnité inflation de 100 euros, afin de soutenir le pouvoir d’achat des Français.

La loi du 1er décembre 2021- N)2021-1549 de finances rectificative pour 2021, parue au JO du 2 décembre 2021, prévoit le principe et les contours de cette aide exceptionnelle. cliquez ici pour prendre connaissance de la loi https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000044394364

 Cette mesure s’applique dans les départements et régions d’Outre-mer de la Guyane, la Martinique, Mayotte, la Guadeloupe et la Réunion, ainsi qu’à Saint-Pierre-et-Miquelon. Elle n’est pas applicable en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie-Française ni à Wallis-et-Futuna.

Ses modalités ont été précisées par le Décret n° 2021-1623 du 11 décembre 2021 paru au JO du 12 décembre. Pour en prendre connaissance cliquez ici.

Dans cette attente, le site du Gouvernement a mis en ligne « un questions – réponses » sur l’indemnité inflation. https://www.gouvernement.fr/toutes-les-reponses-a-vos-questions-sur-l-indemnite-inflation

Les bénéficiaires

  • les salariés, y compris les apprentis et les bénéficiaires d’un contrat de professionnalisation ;
  • les agents publics ;
  • les bénéficiaires de préretraites ;
  • les travailleurs non-salariés ;
  • les demandeurs d’emploi ;
  • les personnes en situation d’invalidité ;
  • les retraités, y compris bénéficiaires du minimum vieillesse ;
  • les étudiants boursiers et ceux bénéficiaires des aides au logement ;
  • les jeunes dans un parcours d’accompagnement vers l’emploi ;
  • les bénéficiaires de minimas sociaux (RSA, ASS, AAH, RSO, PreParE à taux plein ; ASI), y compris les travailleurs handicapés en ESAT.

Elle sera versée dès l’âge de 16 ans pour les jeunes en activité ou inscrits dans une démarche de formation ou d’accompagnement vers l’insertion.

Son versement est unique, individualisé et non cumulable même si vous êtes éligible à plusieurs titres.

Elle s’adressera à tous, même ceux ne possédant pas de voiture.

Son montant

Elle s’élèvera à 100 euros pour les personnes dont les revenus d’activité ou de remplacement seront inférieurs à 2 000 € nets par mois. Elle sera accordée aux personnes bénéficiaires d’allocations et de prestations sociales, et ne sera soumise à aucun prélèvement fiscal ou social.

De quel revenu parle t’on ?

Pour les salariés et agents publics, la période de référence sera calculée du 1er janvier 2021 au 31 octobre 2021, ou depuis le début de la relation de travail avec l’employeur, si elle est postérieure. L’ensemble de la rémunération versée au titre des mois de janvier à octobre 2021 sera prise en compte, donc primes et treizièmes mois seront retenus dans la rémunération.

L’indemnité inflation sera versée à toute personne éligible au regard de sa situation sur le mois d’octobre 2021, dans des conditions définies par décret.

Notez le : l’indemnité sera versée si le salarié a exercé une activité au mois d’octobre 2021 (même de courte durée), et si sa rémunération moyenne perçue est inférieure à 2 000 € nets par mois (avant impôt sur le revenu) sur la période du 1er janvier 2021 au 31 octobre 2021, cela représente en moyenne 2 600 € bruts par mois sur la période.

La rémunération à prendre en compte est la rémunération brute soumise à cotisations sociales. Sont exclus les éléments de rémunération exonérés de cotisations et contributions : prime « Macron », indemnités d’activité partielle…

La condition de revenus de 2 000 € nets par mois sera identique, que l’on soit à temps partiel ou non, et ne sera pas réduite en cas d’absence ou de congés comme la maladie ou la maternité.

Pour les travailleurs indépendants (agricoles et non agricoles)

Ils pourront bénéficier du versement automatique de l’indemnité par les URSSAF et les caisses de la MSA s’ils sont ou ont été en activité au cours du mois d’octobre 2021, et s’ils ont déclaré un revenu inférieur à 2 000 € nets par mois pour l’année 2020 (dernier revenu connu). En cas de début d’activité en 2021, la condition n’est pas vérifiée.

Notez le : si le travailleur indépendant cumule par ailleurs une activité salariée, il lui appartient de signaler à son employeur qu’il bénéficiera de l’indemnité au titre de son activité non salariée.

Qui verse l’indemnité ?

L’aide sera versée automatiquement aux bénéficiaires en une seule fois, sans demande préalable. Par conséquent, en tant qu’employeur il vous reviendra de verser cette indemnité aux salariés éligibles et ce dès la paie de décembre, avec le libellé suivant sur le bulletin de paie « indemnité inflation de l’Etat ou indemnité inflation ».

L’indemnité inflation doit être déclarée sur la DSN et l’employeur  pourra la déduire des cotisations sociales dues au titre de l’échéance suivant immédiatement le versement de l’indemnité.

En DSN elle sera déclarée au bloc 81 pour les valeurs individuelles et au bloc 23 avec un CTP 390 pour la valeur agrégée.

L’indemnité n’est pas saisissable.

Pour les autres bénéficiaires, l’aide sera versée par un organisme partenaire de l’État selon leur situation (Pôle Emploi, Urssaf, caisse de retraite, CAF…), sans demande préalable.

Comment serez vous remboursé en tant qu’employeur ?

L’employeur sera intégralement remboursé par l’État du montant des indemnités versées.

Il faudra déclarer le versement des indemnités et  les déduire des cotisations sociales dues au titre de la même paie, dès le mois suivant pour les déclarations mensuelles, à l’organisme de recouvrement des cotisations sociales dont vous relevez (URSSAF, MSA, CGSS). En cas de montant d’indemnité excédant le montant des cotisations dues, l’URSSAF procèdera à un remboursement.

Le nouveau projet de loi de finances rectificative précise : l’aide sera déclarée par l’employeur dans la déclaration du mois suivant son versement, sous la forme d’un élément de rémunération exempté d’impôts et de cotisations sociales rattaché au mois de versement. Il faudra déduire les sommes versées des cotisations dues aux Urssaf de manière similaire à une aide au paiement, au titre de la même paie. Vous serez remboursé lorsque les cotisations dues sont inférieures aux aides versées.

Gestion des cas particuliers

  • Les salariés ayant plusieurs employeurs au cours du mois d’octobre recevront l’indemnité auprès de l’employeur principal, soit, celui avec lequel la relation de travail est toujours en cours, ou à défaut celui pour lequel ils ont effectué le plus d’heures durant le mois d’octobre.

Ces personnes sont tenues d’informer les autres employeurs qui seraient susceptibles de leur verser l’indemnité, afin ne pas recevoir de double versement.

  • Cas des contrats courts

CDD inférieurs à 1 mois par exemple, qui cumulent plusieurs contrats au cours d’un même mois. Dès lors, le déclenchement de l’indemnité inflation ne sera pas automatique si le temps de travail cumulé chez un même employeur est inférieur à 20h. Le bénéficiaire devra se signaler auprès d’un de ses employeurs, préférentiellement celui avec lequel la relation de travail est toujours en cours, ou à défaut celui pour lequel ils ont effectué le plus d’heures durant le mois d’octobre.

  • Cas du cumul emploi – retraite

Pour les retraités qui ont une activité professionnelle (cumul emploi-retraite, retraite progressive, cumul d’une pension de réversion avec une activité), le versement de l’indemnité inflation sera assuré directement par l’employeur ou les organismes chargés du versement aux indépendants.

 

 

 

 

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Convocation entretien préparatoire en vue d’une rupture conventionnelle

(En tête entreprise)

                                                                         Monsieur /Madame

                                                                         Adresse

A ……, le ……….. 202x

Objet : Convocation à un entretien préparatoire en vue d’une rupture conventionnelle

Lettre recommandée avec accusé de réception N° ………….. (ou) remise en main propre contre décharge.

Monsieur / Madame,

Suite à (précisez : votre demande/notre proposition/notre entretien téléphonique ou notre conversation/votre mail/notre mail, et en application de l’article L.1237-12 du Code du travail, nous vous convoquons par la présente à un entretien au cours duquel nous aborderons d’un commun accord la possibilité d’une rupture conventionnelle de votre contrat de travail, ainsi que les modalités la concernant.

Cet entretien aura lieu avec (représentant légal), le ………… 202X à …………. heures (pendant heures de travail) au (adresse habituelle du lieu de travail).

Nous vous rappelons que vous avez la possibilité de vous faire assister lors de cet entretien par une personne de votre choix appartenant au personnel de l’entreprise.

Ou (si pas de représentant du personnel)

Nous vous rappelons que vous avez la possibilité de vous faire assister lors de cet entretien par une personne de votre choix appartenant au personnel de l’entreprise, ou par un conseiller du salarié figurant sur la liste départementale des personnes agréées pour remplir cette mission.

Cette liste est tenue à votre disposition aux adresses suivantes :

– section d’Inspection du travail dont dépend l’entreprise : …… (préciser l’adresse) ;

– mairie du lieu de domicile du salarié s’il demeure dans le département où est situé l’établissement : …… (préciser l’adresse) ; (ou) mairie du lieu de travail, si le salarié réside en dehors du département : …… (préciser l’adresse).

Si vous décidiez de vous faire assister, nous vous remercions de nous en informer dès que possible et, au plus tard, l’avant-veille de l’entretien, par tout moyen à votre convenance.

Dans ce cas, nous vous informerons de notre souhait éventuel de nous faire assister par une personne de notre choix, cette personne étant choisie parmi l’effectif de notre entreprise.

Sachez par ailleurs, que vous  avez la possibilité de contacter le service public de l’emploi, qui pourra vous aider à prendre votre décision en pleine connaissance de vos droits et vous renseigner sur les possibilités qui s’offrent à vous pour la suite de votre parcours professionnel et sur vos droits à indemnisation du chômage.

Nous vous rappelons également qu’une fois la convention de rupture signée, chaque partie à la convention dispose d’un délai de 15 jours calendaires pour se rétracter.

Nous vous prions de croire, Monsieur/Madame, en l’expression de nos salutations distinguées.

                                                Signature du représentant légal

*********************************************************

A la différence d’un entretien pour un éventuel licenciement, pas de délai entre envoi du courrier et date de l’entretien, mais afin que le salarié puisse se défendre un délai raisonnable est judicieux

Notez le : la convention de rupture doit être homologuée par la DREETS. A compter du 1er avril 2022, la demande d’homologation devra être effectuée obligatoirement en utilisant le téléservice prévu à cet effet, https://www.telerc.travail.gouv.fr/accueil ,sauf impossibilité d’utiliser le téléservice.

Par conséquent, la version papier ne sera plus acceptée. Cette obligation est issue du décret, publié au JO du 15 décembre 2021https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000044488101

 

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SMIC au 1er janvier 2016

Salaires minima au 1er janvier 2016

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RGPD Note d’information aux salariés

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Le contrat d’apprentissage

Contrat d’apprentissage ou de professionnalisation

Affichage égalité de rémunération hommes femmes

retour à l’accueil de la base documentaire

Le pouvoir disciplinaire de l’employeur

Un de vos salariés, ne respecte pas ses horaires de travail, a un comportement inapproprié, ne respecte pas les consignes de travail……

A plusieurs reprises vous l’avez interpelé oralement sur votre mécontentement en lui demandant de se reprendre, mais rien n’y fait.

Vous décidez de le sanctionner, mais vous ne savez pas comment procéder.

Qu’est-ce qu’une faute?

Selon le code du travail « constitue une sanction toute mesure, autre que les observations verbales, prise par l’employeur à la suite d’un agissement du salarié considéré par lui comme fautif, que cette mesure soit de nature à affecter immédiatement ou non la présence du salarié dans l’entreprise, sa fonction, sa carrière ou sa rémunération ». Art. L.1331-1 CT.

Il faudra identifier l’agissement considéré comme fautif et appliquer la sanction adéquate.

Comme il n’existe pas de définition légale de la faute, on va considérer qu’il s’agit d’un comportement du salarié qui ne correspond pas à l’exécution normale de la relation contractuelle, qui se manifeste par un acte positif ou une abstention volontaire.

Notez-le : certains comportements ne sont pas sanctionnables :

  • L’exercice du droit de grève n’est pas une faute, ni un motif de sanction ;
  • La participation à une manifestation publique en dehors du temps de travail sauf si elle cause un trouble dans l’entreprise compte tenu de la fonction du salarié et de la nature de l’activité de l’entreprise ;
  • Les opinions émises par les salariés dans le cadre de leur droit d’expression ;
  • L’exercice du droit de retrait du poste de travail en cas de situation de danger grave et imminent ;
  • Le refus pour un salarié à temps plein de travailler à temps partiel ;
  • Respect du principe de non-discrimination, L.1132-1 et L 1132-4 CT : aucun salarié ne peut être sanctionné en raison de son origine, de son sexe, de sa situation de famille, de sa grossesse, de son apparence physique…

Attention : un fait imputé à un salarié, dès lors qu’il relève de sa vie personnelle, ne peut constituer une faute. Cass. Soc ; 16déc. 1997, n° 95-41.326, n° 4955 P. A titre d’exemple, vous ne pouvez pas prononcer une sanction disciplinaire fondée sur le contenu d’une correspondance privée adressée au salarié sur son lieu de travail, ou le cas d’un salarié qui se fait adresser sur son lieu de travail une revue destinée à des couples échangistes. Le trouble objectif survenu dans l’entreprise suite à la lecture du contenu de ce courrier ne peut donner lieu, à lui seul, à une sanction disciplinaire. Cass. ch. mixte, 18 mai 2007, n° 05-40.803,

Par conséquent, seul un trouble caractérisé apporté au bon fonctionnement de l’entreprise et découlant directement du comportement du salarié vous autoriserait à d’utiliser votre pouvoir disciplinaire.

Le cas de la suspension ou du retrait du permis de conduire du salarié

  • L’infraction a été commise hors temps de travail 

Au cours du Week end, votre salarié a : pris le volant sous l’emprise de l’alcool ou de stupéfiant, a commis un infraction au code la route, et suite à un contrôle, se retrouve avec un permis de conduire suspendu ou retiré. Comment gérer cette situation ?

L’infraction ayant eu lieu hors du temps de travail, il est impossible de licencier le salarié pour faute, le caractère disciplinaire ne peut être retenu, mais rien ne vous empêchera de le licencier pour cause réelle et sérieuse (pas de notion de faute) au regard du poste occupé par celui-ci.

En effet, si la fonction de votre salarié nécessite l’usage d’un véhicule (commercial sur le terrain) et que la perte de son permis ne lui permet plus d’exécuter ses fonctions, vous pourrez le licencier pour cause réelle et sérieuse pour trouble causé au service ou à l’entreprise. 

A contrario, si la suspension ou le retrait du permis permet au salarié d’exécuter son travail car certaines tâches ne nécessitent pas la conduite d’un véhicule, pas de licenciement possible car vous ne pouvez pas justifier d’un trouble causé au service ou à l’entreprise. Il faudra dans ce cas réaménager le poste du salarié, en lui interdisant toute conduite de véhicule. Il est toujours opportun de formaliser a minima par écrit le fait que la poste est « aménagé » du fait de la perte ou de la suspension du permis qui débute à telle date et se finit à telle autre. A titre d’exemple un mécanicien ne pourra plus faire d’essai sur les voitures mais pourra toujours en effectuer la maintenance et les réparations.

  • L’infraction a été commise pendant le temps de travail 

Si les faits privent temporairement ou définitivement de son permis le salarié et qu’ils ont été commis dans l’exercice de ses fonctions, le licenciement disciplinaire est possible dans la mesure où un manquement aux obligations contractuelles doit être démontré.

Vous pourriez être tenté d’insérer une clause prévoyant le rupture du contrat de travail en cas de retrait ou de suspension du permis. Attention, la jurisprudence de la Cour de cassation rappelle « qu’aucune clause du contrat ne peut valablement décider qu’une circonstance quelconque constituera en elle-même une cause de licenciement ». Le licenciement ne peut être exclusivement motivé sur ce cas.

A défaut, n’hésitez pas à indiquer que vous êtes en droit de demander au salarié de pouvoir présenter à votre demande l’original de son permis.

La connaissance des faits fautifs

Vous disposez d’un délai de 2 mois pour engager une procédure disciplinaire à compter du jour où vous avez pris connaissance du ou des agissements fautifs de votre salarié, sauf si des poursuites pénales sont engagées dans le même délai (art. L. 1332-4 – CT). Passé ce délai, il y a prescription, vous ne pouvez plus rien faire.

ATTENTION : le code du travail indique « à compter du jour où l’employeur en a connaissance… ».

Quel sens recouvre le mot employeur ? Vous en tant que représentant de l’entreprise et donc titulaire du pouvoir de direction ou le responsable de l’atelier qui est le supérieur direct du salarié ?

La Cour de cassation en sa chambre sociale du 23 juin 2021, n° 20-13.762, précise les contours du terme « employeur », suite à une procédure de licenciement le 7 juin 2012. Le salarié avait tenu des propos dénigrants et portant atteinte à l’entreprise devant des clients lors d’une réunion le 6 avril 2012. Les faits se sont déroulés devant son supérieur hiérarchique qui a établi un rapport, transmis à l’employeur le 17 mai 2012 pour des faits datant du 6 avril. Le salarié a été convoqué le 7 juin à un entretien préalable pour des faits survenus le 6 avril soit plus de 2 mois après, et licencié le 13 juillet.

Pour la Cour de cassation, le mot employeur s’entend non seulement du titulaire du pouvoir disciplinaire mais également du supérieur hiérarchique du salarié, même s’il n’est pas titulaire de ce pouvoir.

Le délai de prescription court donc à compter du jour où le supérieur hiérarchique a connaissance des faits.

Qu’est-ce qu’une sanction ?

A la lecture de l’article L 1331-1 du Code du travail, « constitue une sanction toute mesure, autre que les observations verbales, prise par l’employeur à la suite d’un agissement du salarié considéré par l’employeur comme fautif, que cette mesure soit de nature à affecter immédiatement ou non la présence du salarié dans l’entreprise, sa fonction, sa carrière ou sa rémunération ».

Attention, il peut être difficile de distinguer si les observations faites à l’encontre d’un salarié constituent une sanction disciplinaire ou non. L’enjeu est important car en droit français le principe est : « une faute, une sanction », car il est interdit de sanctionner deux fois les mêmes faits. En effet, à défaut de grief nouveau, des faits déjà sanctionnés ne peuvent faire l’objet d’une seconde sanction, car l’employeur a alors épuisé son pouvoir disciplinaire à l’égard des faits déjà sanctionnés. Cass. soc., 25 mai 2004, n° 02-44.272 Cass. soc., 3 févr. 2004, n° 01-45.989.

Exemple : des avertissements constituent une sanction et les faits déjà sanctionnés par un avertissement ne peuvent faire l’objet d’une deuxième sanction (licenciement …) en l’absence d’élément nouveau, c’est la persistance du comportement fautif qui permet de justifier une nouvelle sanction. 

A été considéré comme étant une sanction, un message électronique de l’employeur adressant divers reproches à un salarié et l’invitant de façon impérative à un changement radical, avec mise au point ultérieure le mois suivant.

N’ont pas été considérés comme étant une sanction : des lettres de l’employeur se bornant à demander à un salarié de se ressaisir et contenant des propositions à cette fin ; des courriers adressés au salarié lui demandant de modifier son comportement. Cela a été considéré comme un simple rappel à l’ordre. Le salarié ne peut dès lors pas en demander l’annulation.

Vous êtes libre du choix de la sanction sous réserve :

  • D’appliquer une des sanctions prévues par le règlement intérieur obligatoire dans les entreprises d’au moins 50 salariés ;
  • De respecter les règles disciplinaires prévues par la convention collective (rien dans la CCN des services de l’automobile) ;
  • De ne pas sanctionner pour un motif discriminatoire ;
  • De ne pas infliger de sanction pécuniaire : des retenues sur salaires sanctionnant un comportement fautif sont interdites, le retrait d’une prime de rendement pour tout autre raison qu’une baisse de rendement. En cas de dommage causé au véhicule de l’entreprise, vous ne pouvez pas demander au salarié de rembourser les frais de réparation sauf si ce dernier a commis une faute lourde. Seul le cas de la mise à pied disciplinaire ou de la rétrogradation est autorisé ;
  • De veiller à prononcer une sanction proportionnelle à la faute commise.

Les sanctions les plus courantes sont : le blâme, l’avertissement, la mise à pied disciplinaire, la rétrogradation et le licenciement.

En droit français parlera de sanction mineure comme l’avertissement et de sanctions majeures comme la mise à pied disciplinaire, la rétrogradation, le licenciement. La différence étant que les sanctions mineures ne nécessitent pas la mise en place d’un entretien préalable alors que les sanctions majeures sont obligatoirement précédées d’un entretien préalable.

La procédure applicable aux sanctions mineures

Le choix d’un avertissement, sanction mineure ne nécessite pas la mise en place d’un entretien préalable. Mais si vous pensez qu’un entretien préalable serait utile pour une vraie prise de conscience du salarié de ses erreurs ou problème, vous pouvez décider de le convoquer, mais en respectant la procédure disciplinaire des sanctions plus graves (délais, courrier entretien …).

Si vous optez pour une sanction mineure sans entretien préalable, il faudra notifier par écrit la sanction retenue en indiquant explicitement et clairement les griefs retenus contre le salarié. Votre décision doit être motivée et écrite par courrier recommandé ou remis en main propre contre décharge. N’oubliez pas le délai de 2 mois pour sanctionner à compter de la date des faits fautifs.

La procédure applicable aux sanctions lourdes

Cela concerne une mise à pied disciplinaire, une rétrogradation, voire un licenciement. Il s’agit d’une sanction ayant une incidence immédiate ou non sur la présence dans l’entreprise, la fonction, la carrière ou la rémunération du salarié. Le délai de prescription de 2 mois s’applique également à la date des faits fautifs.

Vous désirez sanctionner votre salarié sans aller sur le terrain du licenciement, la procédure est la suivante :

  • Convocation du salarié à un entretien préalable à sanction disciplinaire (modèle sur le site) ;
  • Le salarié pourra se faire assister exclusivement par un salarié de l’entreprise ;
  • Pas d’obligation de respecter un délai légal entre l’envoi du courrier ou sa remise en main propre et la date de l’entretien, mais fortement conseillé de respecter au minimum 3 jours afin que le salarié puisse se faire assister ;
  • Il faut respecter obligatoirement un délai minimum de 2 jours ouvrables après l’entretien, pour l’envoi en recommandé ou remise en main propre au salarié du courrier de sanction (toujours très motivée), et respecter un délai maximum de 1 mois après le jour de l’entretien pour sanctionner.
  • Le fait d’avoir choisi l’option entretien préalable à sanction disciplinaire ne vous oblige pas à sanctionner lourdement, vous pouvez décider d’un simple avertissement.

Vous décidez d’aller sur le terrain du licenciement, il faut mettre en place la procédure suivante :

  • Convocation du salarié à un entretien préalable à sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement (modèle sur le site) ;
  • Le salarié pourra se faire assister par un salarié de l’entreprise ou par un conseiller du salarié extérieur si vous n’avez pas d’instance représentative du personnel ;
  • Il faut respecter un délai légal de 5 jours ouvrables entre l’envoi ou la remise du courrier et la date de l’entretien, il vaut mieux prévoir 8 jours par sécurité ;
  • Les délais minimum et maximum sont identiques ;
  • Le fait d’avoir choisi l’option entretien préalable à sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement, ne vous oblige pas à sanctionner lourdement, vous pouvez décider d’un simple avertissement, d’une mise à pied ou de licencier votre salarié.

La procédure vous est désormais familière, il va falloir vous préparer à mener au mieux l’entretien qu’il soit préalable à sanction ou pouvant aller jusqu’au licenciement.

Comment se comporter au cours de l’entretien ?

  • C’est vous en tant que représentant de l’employeur (ou votre représentant) qui menez l’entretien ;
  • Au début de l’entretien, vous expliquez au salarié pourquoi vous l’avez convoqué, vous lui indiquez les griefs qui lui sont reprochés et attentez en retour qu’il vous fournisse des explications. L’entretien est un lieu d’échange et de discussion, le but est d’éclaircir certains points. Il peut arriver qu’avant l’entretien vous vouliez licencier le salarié or, ses explications vous ont convaincu et vous décidez d’une sanction plus légère.
  • Attention surtout à la fin de l’entretien, ne jamais indiquer au salarié qu’il sera licencié ou mise à pied (souvent les salariés demandent ce qu’ils vont encourir), mais que vous avez entendu les explications fournies et que rien n’est décidé ;
  • Prenez des notes au cours de l’entretien, cela vous sera utile pour la rédaction du futur courrier, qui pour information doit être motivé, reprendre ce qui a été dit et évoqué, vous ne pouvez pas ajouter d’autres choses ;
  • Vous pouvez vous faire assister par le responsable direct du salarié si cela est nécessaire, mais jamais par un avocat ou une personne extérieure. Ne soyez jamais plus de deux, l’entretien n’est pas un procès mais un échange.
  • Si le salarié vient accompagné d’un conseiller du salarié, demandez lui sa carte. Il pourra intervenir au cours de la discussion, poser des questions, mais gardez à l’esprit que c’est vous qui menez l’entretien ;
  • N’imposez pas une durée minimale ou maximale pour l’entretien, cela doit durer le temps nécessaire.

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Les aides à l’embauche des apprentis reconduites mais réduites en 2025

L’aide exceptionnelle à l’embauche des apprentis prolongée en 2024

Le départ volontaire à la retraite à l’initiative du salarié

Jurisprudence : le licenciement du salarié qui n’a pas reçu sa convocation à l’entretien est il régulier ?

L’entretien d’évaluation

Charges sociales année 2025

Avenant contrat de travail

Convention collective des services de l’automobile – Janvier 2025

Fin de la tolérance « week end » pour les IJSS maladie

Mesures de soutien économique et social prises par le gouvernement en aide à Mayotte

Revalorisation des salaires minima au 1er avril 2024

Fin du régime de faveur au 31 décembre 2024, pour la mise à disposition gratuite d’une borne de recharge par l’employeur et d’un véhicule électrique

Régimes de protection sociale complémentaire : vous avez jusqu’au 31 décembre 2024 pour mettre à jour les catégories objectives

Les réductions tarifaires en faveur des salariés sur les biens et services vendus par l’entreprise

La préparation opérationnelle à l’emploi individuelle – POEI

SMIC au 1er novembre 2024

Les chèques vacances

La rupture conventionnelle individuelle – RCI

Modèle avertissement retards et ou absence injustifiée

La contre visite médicale

Convention collective des services de l’automobile – Juillet 2024

Risques chimiques : de nouvelles obligations pour les employeurs

Congés payés et maladie : conséquences de la loi DDADUE

Convention collective des services de l’automobile – Avril 2024

L’aide exceptionnelle pour l’embauche d’un salarié en contrat de professionnalisation disparaît à compter du 1er mai 2024 !

Modèle de notification de licenciement pour faute grave

L’engagement de la procédure de licenciement pour faute grave : jurisprudence du 20 mars 2024

Revalorisation des salaires minima au 1er janvier 2025

Subventions prévention pour les petites entreprises

Comment choisir le bon intitulé de poste

Le licenciement pour inaptitude professionnelle (AT ou maladie pro) – sans reclassement

Le forfait annuel en jours

Les aides à l’embauche

Compte personnel de formation (CPF)

Charges sociales année 2024

Convention collective des services de l’automobile – Janvier 2024

Tarification des accidents du travail / maladies professionnelles 2024

Le refus par un salarié d’une proposition de CDI à l’issue d’un CDD ou d’une mission d’intérim

SMIC au 1er Janvier 2024

La PPV et la loi partage de la valeur

Le licenciement pour inaptitude d’origine non professionnelle avec reclassement

Le registre unique du personnel

Activation du plan « catastrophes et intempéries » et du dispositif d’activité partielle pour les entreprises sinistrées

La déclaration préalable à l’embauche – DPAE

La fiche de données de sécurité

Le règlement intérieur (RI) dans l’entreprise

Convention collective des services de l’automobile – Août 2023

Jurisprudence : la forme de la preuve du paiement du salaire ?

La surveillance post exposition des salariés – soyez vigilants

Guide URSSAF du déclarant 2023

Tout savoir sur l’obligation de loyauté et de fidélité du salarié 

Renforcement de la protection des salariés ayant un enfant malade

Revalorisation des salaires minima au 1er août 2023

Embaucher un salarié étranger : quelles démarches ?

Convention collective des services de l’automobile – Juillet 2023

La réforme des lycées professionnels et l’entreprise

SMIC au 1er mai 2023

La présomption de démission en cas d’abandon de poste

Réforme des retraites au 1er septembre 2023

Revalorisation des salaires minima au 1er mai 2023

Revalorisation des salaires minima au 1er janvier 2022

Loi DDADUE : les mesures en droit social

Notification de licenciement absences répétées et désorganisation de l’entreprise

Le dispositif « emplois francs » prolongé jusqu’au 31 décembre 2024 n’est pas reconduit

Jurisprudence : informer oralement le salarié de l’envoi de la notification de licenciement : bonne ou mauvaise idée ?

Le passeport de prévention

Le bulletin de paie version 2024

Modèle mise à pied à titre disciplinaire

RGPD et recrutement – Guide CNIL

Tarification des accidents du travail / maladies professionnelles 2023

Charges sociales année 2023

Les titres restaurant

Convention collective des services de l’automobile – Janvier 2023

SMIC au 1er janvier 2023

Revalorisation des salaires minima au 1er janvier 2023

La démission du salarié

Organisez les fêtes de fin d’année en toute sérénité

Loi Rixain : depuis le 26 décembre 2022, interdiction de verser le salaire d’un salarié sur le compte d’un tiers

La majoration tarification de la cotisation accidents du travail abrogée par le décret du 28 décembre 2023

Protocole de rupture amiable d’un CDD

Jurisprudence : attention à la possible requalification de l’astreinte en temps de travail effectif

Le compte AT / MP : nouveau délai pour inscription jusqu’au 11/12/2023

Comment gérer les ponts en entreprise

Gérer le décès d’un salarié

Le service « suivi DSN »

Réponse suite démission

Jurisprudence : absence prolongée pour maladie et désorganisation de l’entreprise – Cassation 6 juillet 2022

La clause de dédit formation

Jurisprudence : la procédure de précision des motifs de licenciement est-elle obligatoire ?

Convention collective des services de l’automobile – 30 Août 2022

La prime de partage de la valeur (ex PEPA)

Le contrat de travail à durée déterminée – CDD

Le paquet législatif pouvoir d’achat

SMIC au 1er aout 2022

CCNSA Juillet 2022

L’ANFA lance Innovauto.org

Auto-entrepreneur : attention au risque de requalification en CDI

Le reçu pour solde de tout compte

Risques professionnels : découvrez les subventions de l’Assurance Maladie

Accords d’entreprise et / ou décision unilatérale employeur

La réforme du statut du conjoint collaborateur au 1er janvier 2022

Le calcul du salaire des vendeurs

La maternité

L’accès temporaire au capital de fin de carrière pour les salariés prenant une retraite anticipée pour carrière longue

La mise en conformité de l’acte de mise en place du régime de protection sociale complémentaire

Le certificat de travail

Contrat de travail à durée déterminée (à terme précis) – Temps partiel

SMIC au 1er mai 2022

La journée de solidarité

La période d’essai

Convocation entretien préalable à sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement, avec mise à pied conservatoire

Contribution unique à la formation professionnelle et à l’alternance

Contrat de travail à durée indéterminée – CDI

Synthèse des visites médicales

Fusion des documents Avis arrêt de travail, Certificat médical spécifique AT- MP

Convocation à entretien préalable à une éventuelle mesure pouvant aller jusqu’au licenciement

Nouvelle présentation du bulletin de paie version 2022

Tarification des accidents du travail / maladies professionnelles 2022

Mise en œuvre du titre mobilité à partir du 1er janvier 2022

Charges sociales année 2022

Revalorisation des salaires minima au 23 juillet 2022

SMIC au 1er janvier 2022

Déclaration du statut de conjoint collaborateur

Convocation entretien préalable à sanction

Egalité professionnelle – femmes – hommes

Chèques cadeaux – bons d’achat

La retraite progressive des salariés et des indépendants au 1er septembre 2023

La mise à la retraite du salarié et la mise à la retraite d’office

Départ à la retraite anticipée pour carrière longue

Guide pratique de l’aide à l’embauche des alternants – janvier 2024

Modèle document unilatéral – APLD

Activité partielle de longue durée – APLD

L’indemnité inflation

Convocation entretien préparatoire en vue d’une rupture conventionnelle

Le précis de l’apprentissage

Mise à disposition de cabinets d’aisance

Chauffage des locaux -ambiance thermique

Faut il installer des lavabos et des douches dans l’entreprise ?

Les lavabos en entreprise

Les vestiaires dans l’entreprise

Durée légale et durée maximale du travail

Le temps de trajet

Le temps d’habillage

La clause de non concurrence

Epargne salariale, intéressement, participation

Résiliation des contrats de complémentaires santé (mutuelle)

Avenant dans le cadre d’un temps partiel thérapeutique

Le licenciement pour inaptitude d’origine non professionnelle – sans obligation de reclassement

Le cumul emploi retraite (salariés – indépendants) au 1er septembre 2023

Le SMIC au 1er octobre 2021

Déclaration et reconnaissance d’un accident du travail – accident du travail mortel

Contribution à la formation professionnelle : acompte à régler avant le 15/09/2021

Le Capital de fin de carrière

Soyez prudent dans la gestion d’un abandon de poste

Le bulletin officiel de la sécurité sociale – BOSS

Le solde de tout compte

Temps partiel thérapeutique – reconnaissance – mise en place

Trame entretien professionnel

Trame entretien annuel d’évaluation

La modification du contrat de travail

Les conséquences de la sous – qualification d’un salarié

La visite médicale de reprise et de pré reprise, et le rendez vous de liaison depuis la loi santé au travail

Le compte épargne temps

Travaux interdits et réglementés pour l’emploi des jeunes de 15 à 18 ans

Procédure de licenciement pour inaptitude non professionnelle sans reclassement

Modèle notification de licenciement pour faute grave dans le cas d’un abandon de poste

Aide au financement du permis de conduire des apprentis

Gérer les addictions en entreprise

Charges sociales au 1er janvier 2021

Convention collective – janvier 2022

Conditions légales de départ à la retraite jusqu’au 1er septembre 2023

Le licenciement pour absences répétées et ou prolongées

Le dispositif de prime exceptionnelle de pouvoir d’achat – PEPA – « Prime Macron »

Les opérateurs de compétence (OPCO) – L’OPCO Mobilités

L’entretien professionnel – L’entretien d’état des lieux récapitulatif

Les heures supplémentaires relatives au travail des vendeurs

L’astreinte

Les heures supplémentaires

Réduction du temps de travail et contrat de travail

Repos quotidien et repos hebdomadaire

Indemnisation du salarié cadre suite indisponibilité maladie ordinaire ou professionnelle, accident du travail

Arrêt maladie, accident de travail – ouvriers – employés – agents de maîtrise

Usage d’entreprise – engagement unilatéral de l’employeur

La gestion sanitaire des vagues de chaleur

Congés payés et maladie

Congés payés synthèse

Minima garantis 2021

Le temps de pause et de restauration

Travail de nuit

Travail le dimanche

Modèle de mise en demeure de présomption de démission en cas d’abandon de poste

Modèle convocation entretien préalable à sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement

La médaille d’honneur du travail

Convention collective services de l’automobile – CCNSA – Avril 2021

L’interdiction de vapoter – Cigarette électronique

L’interdiction de fumer

Affichage consigne incendie

Tarification accidents du travail / maladie professionnelles 2021

Les nouveaux critères de prise en charge du FAFCEA pour 2021

Contributions à la formation professionnelle et la taxe d’apprentissage 2020-2021

Aide à l’embauche : l’opération « emploi franc+ » et le dispositif « emploi franc »

Les attestations Pôle Emploi évoluent

Le report des visites médicales et examens médicaux des salariés

Le congé de paternité et d’accueil de l’enfant

FNE formation

Offre de contrat de travail ou promesse de contrat de travail

La vidéosurveillance / la géolocalisation

SMIC AU 1ER JANVIER 2018

Salaires minima conventionnels 2018 au 1er Janvier 2018

Revalorisation du SMIC au 1er janvier 2021

Reçu pour solde de tout compte

Licenciement pour motif économique

Le licenciement pour inaptitude d’origine professionnelle (suite AT ou maladie pro) – avec reclassement

Les réunions à distance du CSE pendant l’état d’urgence sanitaire

Elections des représentants au CSE MAJ 2021

Calendrier électoral CSE

Les Sanctions disciplinaires

Discrimination sur l’apparence physique au travail

Questionnaire Accords d’entreprise et actions spécifiques

Lettre fédérale n° 10-19 Questionnaire accord d’entreprise et actions spécifiques

L’année 2020 et le casse-tête des entretiens professionnels

Jobs d’été

Embauche d’un salarié majeur : les formalités à effectuer

Modèle Accord annualisation du temps de travail

Voiture de service ou véhicule de fonction – Avantage en nature

Modèle convention forfait jours

Modèle compte-rendu entretien professionnel bilan 6 ans

Modèle de clause de confidentialité

Indemnité de congés payés

Fermeture de l’entreprise pour congés

Congé parental d’éducation

Congé Maternité et indemnités journalières pour les travailleuses indépendantes

RPCS dispenses d’affiliation

Modèle DUE frais santé

Rupture du contrat d’apprentissage

Rémunération du contrat de professionnalisation

Rémunération du contrat d’apprentissage

Rupture de la période d’essai de l’apprenti par l’employeur

Emploi des jeunes de 15 à moins de 18 ans

Congé pour examen accordé aux apprentis

Les registres obligatoires et conseillés en entreprise

Affichages ou diffusions obligatoires

Affichage obligatoire à l’attention du personnel

Affichage harcèlement

Affichage Egalité professionnelle hommes femmes

Les vêtements de travail et le temps d’habillage

Charges sociales janvier 2018

Bulletin de paie simplifié janv 2018

SMIC au 1er janvier 2017

Salaires minima au 1er janvier 2017

SMIC au 1er janvier 2016

Salaires minima au 1er janvier 2016

SMIC au 1er janvier 2015

Salaires minima au 1er janvier 2015

RGPD Note d’information aux salariés traitement des données personnelles

RGPD Note d’information aux salariés

RGPD Lettre confidentialité du salarié amené à manipuler des données à caractère personnel

La gestion des jours fériés

Le contrat d’apprentissage

Contrat d’apprentissage ou de professionnalisation

Affichage égalité de rémunération hommes femmes

retour à l’accueil de la base documentaire

Le précis de l’apprentissage

Le contrat d’apprentissage n’est pas toujours facile à comprendre et à mettre en place.

C’est la raison pour laquelle le Ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion à mis en ligne le précis de l’apprentissage, qui est le fruit des travaux de la DGEFP (délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle) et d’une consultation des acteurs institutionnels de l’apprentissage. Il répond à l’objectif d’harmoniser les pratiques des acteurs de l’apprentissage et vise à donner des repères juridiques et des clefs de compréhension autour de bases documentaires et méthodologiques communes.

Veuillez cliquer ici pour en prendre connaissance.

 

Mise à disposition de cabinets d’aisance

Le terme « cabinets d’aisance » est un terme utilisé dans le Code du travail pour désigner les toilettes en entreprise.

L’article R 4228-1 du Code du travail prévoit que « l’employeur met à la disposition des travailleurs les moyens d’assurer leur propreté individuelle, notamment des vestiaires, des lavabos, des cabinets d’aisance et, le cas échéant, des douches ».

Nombre de toilettes requis

Le nombre de toilettes à concevoir dépend de l’effectif de l’établissement, en prenant en compte le nombre maximal de travailleurs présents simultanément dans l’établissement, que ces derniers soient en contrat à durée déterminée ou indéterminée, à temps complet ou à temps partiel (article R 4228-10 du code du travail).

Les cabinets d’aisance ne doivent pas être mixtes. Le Code du travail prévoit l’installation d’au moins :

– 2 cabinets par tranche de 20 femmes ;

– 1 cabinet et 1 urinoir par tranche de 20 hommes.

Un cabinet au moins comporte un poste d’eau.

Si l’établissement occupe entre 1 et 19 femmes et/ou 1 à 19 hommes, il conviendra d’installer 1 cabinet pour femmes et/ou 1 cabinet pour hommes.

Le décompte se fait séparément pour les femmes et pour les hommes, par tranches de 20 personnes.

Ainsi, à titre d’exemple, il conviendra de prévoir au minimum :

– de 1 à 19 femmes : 1 cabinet d’aisance ;

– de 20 à 39 femmes : 2 cabinets d’aisance ;

– de 40 à 59 femmes : 4 cabinets d’aisance (etc.).

– de 1 à 19 hommes : 1 cabinet d’aisance ;

– de 20 à 39 hommes : 1 cabinet d’aisance + 1 urinoir ;

– de 40 à 59 hommes : 2 cabinets d’aisance + 2 urinoirs

(etc.).

Caractéristiques des cabinets d’aisance

Ces cabinets doivent être aménagés de manière à ce qu’aucune odeur ne s’en dégage. Ils doivent être convenablement chauffés (articles R 4228-11 et R 4228-12 du code du travail).

Ils doivent être nettoyés et désinfectés au moins 1 fois par jour (article R 4228-13 du code du travail). Les toilettes réservées aux femmes doivent être dotées d’un récipient pour garnitures périodiques.

Les portes de ces cabinets doivent être pleines et munies d’un dispositif de fermeture intérieur condamnable de l’extérieur (article R 4228-14 du code du travail).

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Rémunération du contrat d’apprentissage

Rupture de la période d’essai de l’apprenti par l’employeur

Emploi des jeunes de 15 à moins de 18 ans

Congé pour examen accordé aux apprentis

Les registres obligatoires et conseillés en entreprise

Affichages ou diffusions obligatoires

Affichage obligatoire à l’attention du personnel

Affichage harcèlement

Affichage Egalité professionnelle hommes femmes

Les vêtements de travail et le temps d’habillage

Charges sociales janvier 2018

Bulletin de paie simplifié janv 2018

SMIC au 1er janvier 2017

Salaires minima au 1er janvier 2017

SMIC au 1er janvier 2016

Salaires minima au 1er janvier 2016

SMIC au 1er janvier 2015

Salaires minima au 1er janvier 2015

RGPD Note d’information aux salariés traitement des données personnelles

RGPD Note d’information aux salariés

RGPD Lettre confidentialité du salarié amené à manipuler des données à caractère personnel

La gestion des jours fériés

Le contrat d’apprentissage

Contrat d’apprentissage ou de professionnalisation

Affichage égalité de rémunération hommes femmes

retour à l’accueil de la base documentaire

Chauffage des locaux -ambiance thermique

En principe, les locaux fermés affectés au travail sont chauffés pendant la saison froide à une température convenable. Les autres locaux (infirmerie, restauration, repos, etc.) sont chauffés conformément à leur destination. C. trav., art. R. 4223-13 et s.

Le Code du travail ne précise pas quelles sont les températures minimales ou maximales à respecter dans les locaux de travail, qu’ils soient ouverts ou fermés.

L’article R 4213-7 du Code du travail énonce que « Les équipements et caractéristiques des locaux de travail sont conçus de manière à permettre l’adaptation de la température à l’organisme humain pendant le temps de travail, compte tenu des méthodes de travail et des contraintes physiques supportées par les travailleurs. »

Il est recommandé de maintenir une température ambiante comprise entre 19 et 25 °C selon la saison, l’humidité relative de l’air et le type de travaux effectués dans les locaux .

Face à ces imprécisions, on peut se référer aux normes internationales et aux recommandations de l’INRS (Institut national de recherche et de sécurité).

La Norme internationale X35-203 préconise des échelles de températures à respecter:

  • Dans les bureaux à 20 à 22 °C ;
  • Dans les ateliers avec faible activité physique à 16 à 18 °C ;
  • Dans les ateliers avec forte activité physique à 14 à 16 °C.

Locaux fermés affectés au travail

« Les locaux fermés affectés au travail sont chauffés pendant la saison froide.

Le chauffage fonctionne de manière à maintenir une température convenable et à ne donner lieu à aucune émanation délétère » : article R 4223-13 du Code du travail.

Locaux annexes

L’article R 4223-14 du Code du travail prévoit que « La température des locaux annexes, tels que locaux de restauration, locaux de repos, locaux pour les travailleurs en service de permanence, locaux sanitaires et locaux de premiers secours, obéit à la destination spécifique de ces locaux ».

Ainsi, les cantines, salles de repos, vestiaires, toilettes, et toutes les annexes doivent être suffisamment chauffés (entre 20 et 22 ° selon la norme internationale).

Locaux ouverts ou travail en extérieur

L’article R 4223-15 du code du travail prévoit que « L’employeur prend, après avis du médecin du travail et du comité social et économique, toutes dispositions nécessaires pour assurer la protection des travailleurs contre le froid et les intempéries ».

Le Code du travail ne précise pas ce qu’est le « froid« .

De même, l’article R 4225-1 du Code du travail énonce que « Les postes de travail extérieurs sont aménagés de telle sorte que les travailleurs dans la mesure du possible soient protégés contre les conditions atmosphériques « .

Selon l’INRS, dès que la température ambiante (à l’abri du vent) est inférieure à 5 °C, la vigilance s’impose. Car à cette température, une exposition au froid, prolongée ou non, a des effets directs sur la santé.

Si les températures comprises entre 5°C et 15 °C présentent moins de risques directs, elles peuvent néanmoins être sources d’inconfort pour des travaux sédentaires ou de pénibilité légère. Elles peuvent générer alors frissons, engourdissements ou rhumes et par ailleurs provoquer des risques indirects : accidents dus à une pénibilité et une fatigue accrues, à une perte de dextérité, survenue de troubles musculo squelettiques (TMS).

Pour les travaux en extérieur, le risque est aggravé en cas d’exposition au vent. La sensation de refroidissement est causée par l’effet combiné de la température et du vent.

Par ailleurs, les DREETS (ex-Direccte) recommandent aux employeurs de prendre certaines dispositions en faveur de leurs salariés en cas de froid. Les mesures préconisées concernent l’organisation du travail (augmentation du temps de pause, répartition adaptée des activités exercées en extérieur…), l’aménagement des postes (chauffage adapté des locaux, distribution de boissons chaudes…), la mise à disposition de vêtements ou d’équipements de protection.

Les entreprises doivent appliquer le Plan Grand Froid lorsqu’il est mis en œuvre en période hivernale.

Droit de retrait du salarie

S’il estime que la température, trop basse, présente un danger grave ou imminent pour sa vie ou sa santé, un salarié peut exercer son droit de retrait (article L 4131-1 du Code du travail).

Contrôle et sanction

En cas de froid, l’inspection du travail peut effectuer des contrôles dans les entreprises afin de s’assurer que l’employeur respecte bien ses obligations et ne met pas en danger la santé de ses salariés.

Elle peut à ce titre le sanctionner en cas de manquements et une mise en demeure peut lui être adressée si l’inspection du travail constate que les locaux fermés ne sont pas chauffés.

N’oubliez pas de mettre à jour votre DUER sur le sujet, si d’avance le froid peut poser un problème, il doit être intégré dans la prévention des risques.

N’hésitez pas à contacter votre service de santé au travail pour vous accompagner sur la prévention et détection des risques potentiels au sein de votre entreprise.

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Modèle Accord annualisation du temps de travail

Voiture de service ou véhicule de fonction – Avantage en nature

Modèle convention forfait jours

Modèle compte-rendu entretien professionnel bilan 6 ans

Modèle de clause de confidentialité

Indemnité de congés payés

Fermeture de l’entreprise pour congés

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Faut il installer des lavabos et des douches dans l’entreprise ?

L’employeur met à la disposition des travailleurs les moyens d’assurer leur propreté individuelle, notamment des vestiaires, des lavabos, des cabinets d’aisances et, le cas échéant, des douches – C. trav., art. R. 4228-1.
Sachez que des installations sanitaires appropriées sont mises à la disposition des personnes handicapées physiques C. trav., art. R. 422

Les lavabos

  • Le nombre de lavabos est de 1 pour 10 travailleurs ;
  • Ils sont à eau potable ave une température réglable ;
  • Des moyens de nettoyage et de séchage ou d’essuyage appropriés sont mis à disposition des travailleurs et doivent être changés chaque fois que nécessaire.

Les douches

L’article R 4228-8 du code du travail prévoit que « dans les établissements où sont réalisés certains travaux insalubres et salissants, des douches sont mises à la disposition des travailleurs.

La liste de ces travaux ainsi que les conditions de mises à disposition des douches sont fixées par arrêté des ministres chargés du travail ou de l’agriculture et, en tant que de besoin, par le ministre chargé de la santé ».

Ainsi, l’obligation d’avoir des douches concerne les entreprises effectuant des travaux figurant sur un arrêté de 1947, qui ne concerne pas la réparation automobile.

Toutefois, en 1986 un arrêté a complété la liste en ajoutant les « travaux occasionnels et poussiéreux exposant à l’amiante ». Bien que sur le terrain on ne trouve quasiment plus d’amiante dans les véhicules, les textes demeurent et la prévention sur les risques liés à l’amiante a été en vedette dans la réparation automobile en 2004 et 2005, le chef d’entreprise ayant une obligation d’information et de formation des salariés sur ce risque.

L’installation de douches n’est pas obligatoire dans les petites entreprises de réparation automobile. Mais il y a des cas où l’inspection du travail insiste pour que l’entreprise en installe.

En effet, il faut savoir qu’un inspecteur ou contrôleur du travail peut l’imposer, après visite dans l’entreprise, ceci étant « dans le cadre de leur mission » (comme il peut imposer toutes sortes de travaux, modifications, etc…).

A contrario, l’inspecteur du travail peut en dispenser les entreprises qui en ont l’obligation règlementaire.

Par ailleurs, même lorsque les travailleurs ne sont pas spécifiquement affectés à des travaux insalubres et salissants, vous pouvez décider de prévoir l’installation de douches au sein de l’entreprise, que ce soit pour des raisons d’hygiène, ou pour améliorer la qualité de vie au travail.

Cas de dispense

Lorsque l’aménagement des vestiaires collectifs, lavabos et douches ne peut, pour des raisons tenant à la disposition des locaux de travail, être réalisé dans les conditions prévues par le code du travail ou être rendues accessibles aux travailleurs handicapés, l’employeur peut demander à l’inspecteur du travail de le dispenser de certaines de ces obligations.

La dispense pourra être accordée à condition que l’employeur ait pris les mesures nécessaires pour assurer aux travailleurs des conditions d’hygiène correspondant, dans la mesure du possible, aux obligations réglementaires.

L’agent de contrôle de l’inspection du travail prend sa décision après consultation du médecin du travail et du CSE s’il existe. Articles R 4228-16 à R 4228-18 du code du travail.

Evaluation des risques professionnels

L’employeur ayant pour obligation de mettre à la disposition des travailleurs les moyens d’assurer leur propreté individuelle, il se peut que l’évaluation des risques professionnels révèle le besoin pour certains travailleurs de disposer de douches. C’est le cas, notamment, si l’activité ou les procédés utilisés conduisent les travailleurs à :

  • Se salir (mécanique automobile, peinture et carrosserie) alors même que les travaux réalisés n’intègrent pas la liste de ceux considérés comme insalubres et salissants ;
  • Réaliser des efforts physiques importants ou réguliers (mécanique, carrosserie, dépannage,…).

Caractéristiques des douches

Selon l’article R 4228-9 du code du travail, « le sol et les parois du local affecté aux douches sont tels qu’ils permettent un nettoyage efficace.  Le local est tenu en état constant de propreté. La température de l’eau des douches est réglable ».

Les douches sont installées à raison d’une douche par tranche de 8 salariés. Elles sont accompagnées de 2 cellules d’habillage ou de déshabillage.

Les douches doivent être tenues dans un état constant de propreté et la température de l’eau doit être réglable.

Le temps passé à la douche est rémunéré au tarif normal des heures de travail, sans être décompté dans la durée du travail effectif. Ces locaux sont tenus en état constant de propreté. C. trav., art. R. 4228-7 à R. 4228-9 Arr. 23 juill. 1947 mod. : JO, 30 juill. D. n° 2023-310, 24 avr. 2023 : JO, 27 avr.

Température des locaux annexes

L’article R 4223-14 du Code du travail prévoit que « La température des locaux annexes, tels que locaux de restauration, locaux de repos, locaux pour les travailleurs en service de permanence, locaux sanitaires et locaux de premiers secours, obéit à la destination spécifique de ces locaux ».

Ainsi, les cantines, salles de repos, vestiaires, toilettes, et toutes les annexes doivent être suffisamment chauffés (entre 20 et 22 ° selon la norme internationale X35-203).

Voir la note d’information : chauffage des locaux.

Temps consacré à la douche

Le temps consacré à la douche est rémunéré au même titre que du temps de travail normal.

Avec une durée minimale d’un quart d’heure et au maximum d’une heure, cette durée prend en compte la douche, le déshabillage et l’habillage. L’ordre de passage des travailleurs à la douche, ainsi que le temps effectivement rémunéré pour chacun d’eux, sont fixés par un règlement intérieur.

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Charges sociales année 2023

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Convention collective des services de l’automobile – Janvier 2023

SMIC au 1er janvier 2023

Revalorisation des salaires minima au 1er janvier 2023

La démission du salarié

Organisez les fêtes de fin d’année en toute sérénité

Loi Rixain : depuis le 26 décembre 2022, interdiction de verser le salaire d’un salarié sur le compte d’un tiers

La majoration tarification de la cotisation accidents du travail abrogée par le décret du 28 décembre 2023

Protocole de rupture amiable d’un CDD

Jurisprudence : attention à la possible requalification de l’astreinte en temps de travail effectif

Le compte AT / MP : nouveau délai pour inscription jusqu’au 11/12/2023

Comment gérer les ponts en entreprise

Gérer le décès d’un salarié

Le service « suivi DSN »

Réponse suite démission

Jurisprudence : absence prolongée pour maladie et désorganisation de l’entreprise – Cassation 6 juillet 2022

La clause de dédit formation

Jurisprudence : la procédure de précision des motifs de licenciement est-elle obligatoire ?

Convention collective des services de l’automobile – 30 Août 2022

La prime de partage de la valeur (ex PEPA)

Le contrat de travail à durée déterminée – CDD

Le paquet législatif pouvoir d’achat

SMIC au 1er aout 2022

CCNSA Juillet 2022

L’ANFA lance Innovauto.org

Auto-entrepreneur : attention au risque de requalification en CDI

Le reçu pour solde de tout compte

Risques professionnels : découvrez les subventions de l’Assurance Maladie

Accords d’entreprise et / ou décision unilatérale employeur

La réforme du statut du conjoint collaborateur au 1er janvier 2022

Le calcul du salaire des vendeurs

La maternité

L’accès temporaire au capital de fin de carrière pour les salariés prenant une retraite anticipée pour carrière longue

La mise en conformité de l’acte de mise en place du régime de protection sociale complémentaire

Le certificat de travail

Contrat de travail à durée déterminée (à terme précis) – Temps partiel

SMIC au 1er mai 2022

La journée de solidarité

La période d’essai

Convocation entretien préalable à sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement, avec mise à pied conservatoire

Contribution unique à la formation professionnelle et à l’alternance

Contrat de travail à durée indéterminée – CDI

Synthèse des visites médicales

Fusion des documents Avis arrêt de travail, Certificat médical spécifique AT- MP

Convocation à entretien préalable à une éventuelle mesure pouvant aller jusqu’au licenciement

Nouvelle présentation du bulletin de paie version 2022

Tarification des accidents du travail / maladies professionnelles 2022

Mise en œuvre du titre mobilité à partir du 1er janvier 2022

Charges sociales année 2022

Revalorisation des salaires minima au 23 juillet 2022

SMIC au 1er janvier 2022

Déclaration du statut de conjoint collaborateur

Convocation entretien préalable à sanction

Egalité professionnelle – femmes – hommes

Chèques cadeaux – bons d’achat

La retraite progressive des salariés et des indépendants au 1er septembre 2023

La mise à la retraite du salarié et la mise à la retraite d’office

Départ à la retraite anticipée pour carrière longue

Guide pratique de l’aide à l’embauche des alternants – janvier 2024

Modèle document unilatéral – APLD

Activité partielle de longue durée – APLD

L’indemnité inflation

Convocation entretien préparatoire en vue d’une rupture conventionnelle

Le pouvoir disciplinaire de l’employeur

Le précis de l’apprentissage

Mise à disposition de cabinets d’aisance

Chauffage des locaux -ambiance thermique

Les lavabos en entreprise

Les vestiaires dans l’entreprise

Durée légale et durée maximale du travail

Le temps de trajet

Le temps d’habillage

La clause de non concurrence

Epargne salariale, intéressement, participation

Résiliation des contrats de complémentaires santé (mutuelle)

Avenant dans le cadre d’un temps partiel thérapeutique

Le licenciement pour inaptitude d’origine non professionnelle – sans obligation de reclassement

Le cumul emploi retraite (salariés – indépendants) au 1er septembre 2023

Le SMIC au 1er octobre 2021

Déclaration et reconnaissance d’un accident du travail – accident du travail mortel

Contribution à la formation professionnelle : acompte à régler avant le 15/09/2021

Le Capital de fin de carrière

Soyez prudent dans la gestion d’un abandon de poste

Le bulletin officiel de la sécurité sociale – BOSS

Le solde de tout compte

Temps partiel thérapeutique – reconnaissance – mise en place

Trame entretien professionnel

Trame entretien annuel d’évaluation

La modification du contrat de travail

Les conséquences de la sous – qualification d’un salarié

La visite médicale de reprise et de pré reprise, et le rendez vous de liaison depuis la loi santé au travail

Le compte épargne temps

Travaux interdits et réglementés pour l’emploi des jeunes de 15 à 18 ans

Procédure de licenciement pour inaptitude non professionnelle sans reclassement

Modèle notification de licenciement pour faute grave dans le cas d’un abandon de poste

Aide au financement du permis de conduire des apprentis

Gérer les addictions en entreprise

Charges sociales au 1er janvier 2021

Convention collective – janvier 2022

Conditions légales de départ à la retraite jusqu’au 1er septembre 2023

Le licenciement pour absences répétées et ou prolongées

Le dispositif de prime exceptionnelle de pouvoir d’achat – PEPA – « Prime Macron »

Les opérateurs de compétence (OPCO) – L’OPCO Mobilités

L’entretien professionnel – L’entretien d’état des lieux récapitulatif

Les heures supplémentaires relatives au travail des vendeurs

L’astreinte

Les heures supplémentaires

Réduction du temps de travail et contrat de travail

Repos quotidien et repos hebdomadaire

Indemnisation du salarié cadre suite indisponibilité maladie ordinaire ou professionnelle, accident du travail

Arrêt maladie, accident de travail – ouvriers – employés – agents de maîtrise

Usage d’entreprise – engagement unilatéral de l’employeur

La gestion sanitaire des vagues de chaleur

Congés payés et maladie

Congés payés synthèse

Minima garantis 2021

Le temps de pause et de restauration

Travail de nuit

Travail le dimanche

Modèle de mise en demeure de présomption de démission en cas d’abandon de poste

Modèle convocation entretien préalable à sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement

La médaille d’honneur du travail

Convention collective services de l’automobile – CCNSA – Avril 2021

L’interdiction de vapoter – Cigarette électronique

L’interdiction de fumer

Affichage consigne incendie

Tarification accidents du travail / maladie professionnelles 2021

Les nouveaux critères de prise en charge du FAFCEA pour 2021

Contributions à la formation professionnelle et la taxe d’apprentissage 2020-2021

Aide à l’embauche : l’opération « emploi franc+ » et le dispositif « emploi franc »

Les attestations Pôle Emploi évoluent

Le report des visites médicales et examens médicaux des salariés

Le congé de paternité et d’accueil de l’enfant

FNE formation

Offre de contrat de travail ou promesse de contrat de travail

La vidéosurveillance / la géolocalisation

SMIC AU 1ER JANVIER 2018

Salaires minima conventionnels 2018 au 1er Janvier 2018

Revalorisation du SMIC au 1er janvier 2021

Reçu pour solde de tout compte

Licenciement pour motif économique

Le licenciement pour inaptitude d’origine professionnelle (suite AT ou maladie pro) – avec reclassement

Les réunions à distance du CSE pendant l’état d’urgence sanitaire

Elections des représentants au CSE MAJ 2021

Calendrier électoral CSE

Les Sanctions disciplinaires

Discrimination sur l’apparence physique au travail

Questionnaire Accords d’entreprise et actions spécifiques

Lettre fédérale n° 10-19 Questionnaire accord d’entreprise et actions spécifiques

L’année 2020 et le casse-tête des entretiens professionnels

Jobs d’été

Embauche d’un salarié majeur : les formalités à effectuer

Modèle Accord annualisation du temps de travail

Voiture de service ou véhicule de fonction – Avantage en nature

Modèle convention forfait jours

Modèle compte-rendu entretien professionnel bilan 6 ans

Modèle de clause de confidentialité

Indemnité de congés payés

Fermeture de l’entreprise pour congés

Congé parental d’éducation

Congé Maternité et indemnités journalières pour les travailleuses indépendantes

RPCS dispenses d’affiliation

Modèle DUE frais santé

Rupture du contrat d’apprentissage

Rémunération du contrat de professionnalisation

Rémunération du contrat d’apprentissage

Rupture de la période d’essai de l’apprenti par l’employeur

Emploi des jeunes de 15 à moins de 18 ans

Congé pour examen accordé aux apprentis

Les registres obligatoires et conseillés en entreprise

Affichages ou diffusions obligatoires

Affichage obligatoire à l’attention du personnel

Affichage harcèlement

Affichage Egalité professionnelle hommes femmes

Les vêtements de travail et le temps d’habillage

Charges sociales janvier 2018

Bulletin de paie simplifié janv 2018

SMIC au 1er janvier 2017

Salaires minima au 1er janvier 2017

SMIC au 1er janvier 2016

Salaires minima au 1er janvier 2016

SMIC au 1er janvier 2015

Salaires minima au 1er janvier 2015

RGPD Note d’information aux salariés traitement des données personnelles

RGPD Note d’information aux salariés

RGPD Lettre confidentialité du salarié amené à manipuler des données à caractère personnel

La gestion des jours fériés

Le contrat d’apprentissage

Contrat d’apprentissage ou de professionnalisation

Affichage égalité de rémunération hommes femmes

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