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Les aides à l’embauche des apprentis reconduites mais réduites en 2025

Le décret du 22 février 2025, paru au JO du 24 février 2025, revoit à la baisse le montant des aides accordées aux entreprises pour l’embauche d’apprentis. Décret n° 2025-174 du 22 février 2025 relatif à l’aide unique aux employeurs d’apprentis et à l’aide exceptionnelle aux employeurs d’apprentis

L’aide unique à l’embauche des apprentis

Créée par la Loi Avenir professionnel du 5 septembre 2018 pour les contrats conclus depuis le janvier 2019, elle concerne les entreprises de moins de 250 salariés.

 

1) Montant de l’aide 

  • Son montant était de 6 000 € exclusivement au titre de la 1er année du contrat depuis le 1er janvier 2023.
  • Pour les contrats d’apprentissage conclus à compter du 24 février 2025, le montant de l’aide passe à 5 000 € – Art. D. 6243-2 modifié du Code du travail.
  • Notez que pour les contrats conclus avec un apprenti reconnu travailleur handicapé, le montant de l’aide est de 6 000 €.

 

2) Diplômes préparés

Diplôme ou à un titre à finalité professionnelle équivalant au plus au baccalauréat (jusqu’à bac + 2 dans les départements d’outre-mer).

 

3) Versement de l’aide

L’aide est versée mensuellement par l’Agence de service et de paiement (ASP) à compter du début d’exécution du contrat.

L’aide n’est pas due pour les périodes d’absence du salarié qui n’ont pas donné lieu au maintien de la rémunération par l’employeur, ni pour les périodes au cours desquelles le salarié est placé en position d’activité partielle.

Elle ne se cumule pas avec une autre aide de l’Etat à l’insertion, à l’accès ou au retour à l’emploi versée au titre du salarié concerné.

Le décret précise que l’ASP peut désormais demander à l’employeur et à l’opérateur de compétences (OPCO) toute information complémentaire nécessaire au contrôle du respect des conditions d’attribution de l’aide, y compris la transmission des bulletins de paie des salariés concernés – Art. D. 6243-4 modifié du code du travail.

L’aide exceptionnelle pour les apprentis

L’aide exceptionnelle a été créée pendant la crise sanitaire, puis a été prolongée jusqu’au 31 décembre 2024.

 

1) Pour rappel 

  • Pour les entreprises de moins de 250 salariés

Son montant était de 6 000 € pour la 1er année année du contrat, et concernait les contrats préparant à un diplôme ou à un titre à finalité professionnelle équivalant de niveau bac + 2 à bac + 5 ( bac + 3 à bac + 5 dans les départements d’outre-mer) ;

  • Pour les entreprises de plus de 250 salariés

Le montant est le même et concerne les contrats visant un diplôme ou un titre équivalant au plus à bac + 5.

La seule condition étant de respecter un quota d’alternants : avoir atteint au moins 5 % de contrats ou au moins 3 % d’alternants (contrat d’apprentissage ou de professionnalisation) sous condition de progression de 10 % d’alternants.

 

2) A compter du 24 février 2025

Pour les contrats conclus à partir du 24 février 2025 et jusqu’au 31 décembre 2025, l’aide est réduite selon la taille de l’entreprise.

  • Elle est désormais de 5 000 € pour les entreprises de moins de 250 salariés au lieu de 6 000 € et de 2 000 € pour les entreprises de 250 salariés et plus au lieu de 6 000 €, avec la même condition de quota.
  • Notez que pour les contrats conclus avec un apprenti reconnu travailleur handicapé, le montant de l’aide reste de 6 000 €.

Cumul des aides interdit

L’aide exceptionnelle n’est pas cumulable avec l’aide unique.

Par ailleurs, le décret apporte une nouveauté en subordonnant le bénéfice de l’aide unique et de l’aide exceptionnelle à l’absence de bénéfice d’une aide à l’embauche d’apprenti au titre d’un contrat d’apprentissage précédemment conclu entre un même employeur et un même apprenti, pour la même certification professionnelle. Concrètement, si vous avez déjà perçu une aide unique ou une aide exceptionnelle pour l’embauche d’un apprenti, vous ne pouvez pas demander une nouvelle aide, si vous avez conclu un nouveau contrat d’apprentissage avec le même apprenti et si c’est pour la même certification professionnelle.

Transmission des contrats à l’OPCO Mobilités

Pour les contrats conclus à compter du 24 février 2025, pour pouvoir bénéficier de l’une des deux aides, il faut transmettre le contrat dans un certain délai :

  • Transmission du contrat à l’OPCO au plus tard 6 mois après sa conclusion ;
  • Dépôt du contrat par l’OPCO auprès du ministre chargé de la formation professionnelle.

Sort des contrats conclus entre le 1er janvier et le 23 février 2025

L’employeur continue à bénéficier de l’ancienne aide unique de 6 000 € pour les contrats conclus le 1er janvier 2025, sous condition de transmettre le contrat à l’OPCO dans les 6 mois de sa signature. Il en est de même pour les contrats conclus en 2023 et 2024, pour lesquels l’employeur doit avoir transmis les contrats avant le 30 juin 2025, date butoir. A défaut il perd le bénéfice de l’aide.

 

Résiliation d’assurance : répondez à notre sondage !

Nous constatons actuellement que de nombreuses entreprises du secteur de l’automobile se trouvent confrontées à la résiliation unilatérale de leurs contrats d’assurance par les compagnies, les laissant sans alternative viable.

Dans de nombreux cas également, les assurances augmentent considérablement leurs tarifs, que les professionnels ne peuvent qu’accepter.

Cette situation s’est accentuée en 2023 et 2024, et nous souhaitons recueillir vos témoignages et avis sur ce problème.

Ce sondage de 10 questions est destiné à mieux comprendre l’ampleur de cette problématique et à identifier des solutions pour vous soutenir face à ces défis. 

Votre participation est essentielle pour nous aider à défendre vos intérêts et à prendre les mesures appropriées.

 

Accédez au sondage en cliquant sur ce lien 

 

Nous vous remercions de votre participation !

 

 

 

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L’aide exceptionnelle à l’embauche des apprentis prolongée en 2024

Le gouvernement dans le cadre de son plan de soutien massif à l’emploi des jeunes, poursuit son engagement en prolongeant en 2024, les aides à l’embauche des alternants : Décret n° 2023-1354 du 29 décembre 2023 portant prolongation de l’aide aux employeurs d’apprentis et de salariés en contrat de professionnalisation

Attention, pour les contrats de professionnalisation l’aide a pris fin le 30 avril 2024.

Quelles entreprises ?

  • Pour les entreprises de moins de 250 salariés : sans condition
  • Pour les entreprises de plus de 250 salariés : elles doivent respecter un quota d’alternants 
  • Avoir atteint au moins 5 % de contrats favorisant l’insertion professionnelle dans leur effectif, au 31 décembre de l’année de celle de conclusion du contrat d’apprentissage ou de professionnalisation, soit au 31 décembre 2025 pour les contrats conclus en  2024 ;
  • Ou atteindre au moins 3 % d’alternants (même conditions ci-avant) et avoir connu une progression de 10 % d’alternants au 31 décembre de l’année suivant celle de conclusion du contrat d’apprentissage ou de professionnalisation.

Le seuil devra être atteint au 31 décembre 2024, pour les contrats conclus entre le 1er janvier et le 31 décembre 2023, et au 31 décembre 2025 pour les contrats conclus entre le 1er janvier et le 31 décembre 2024.

L’entreprise n’ayant pas atteint le seuil devra rembourser les sommes indues.

Montant de l’aide et contrats éligibles

Pour rappel, avant le 1er janvier 2023, l’aide était de 5 000 € pour un mineur et de 8 000 € pour un majeur (29 ans révolus pour un contrat de professionnalisation).

Du 1er janvier 2023 au 31 décembre 2024, le montant de l’aide est de :

  • 6 000 € pour l’embauche d’un apprenti au titre de la seule première année du contrat pour les entreprises de moins de 250 salariés ; sans condition d’âge pour un apprenti, et jusqu’à 29 ans révolus pour un salarié en contrat de professionnalisation ; 
  • 2 000 € pour les autres entreprises ;
  • 3 000 € pour l’embauche d’apprentis en situation de handicap.

Pour prétendre à l’aide, les certifications visées sont les suivantes en 2024.

  • Pour les apprentis

L’aide concerne les contrats d’apprentissage conclus entre le 1er janvier 2023 et le 31 décembre 2024, préparant à un diplôme ou un titre équivalent au plus à un Bac + 5 – niveau 7, soit un master ;

  • Pour les contrats de professionnalisation 

ATTENTION : fin de l’aide financière à l’embauche pour les contrats de professionnalisation depuis le 1er mai 2024

L’aide concerne les contrats de professionnalisation conclus entre le 1er janvier 2023 et le 30 avril 2024, préparant à :

  • Un diplôme ou titre à finalité professionnelle équivalent au plus à un Bac + 5 – niveau 7, (master, diplôme d’ingénieur…) ;
  • Un certificat de qualification professionnelle (CQP) ;
  • Pour les contrats de professionnalisation qui associent des actions dans le cadre de la « VAE inversée ».

Versement de l’aide

L’aide est gérée par l’Agence de services et de paiement (ASP). Elle est versée mensuellement et automatiquement, avant le versement du salaire à l’alternant.

Il n’y a aucune démarche particulière à faire pour bénéficier de cette prime, excepté l’envoi du ou des contrats à l’OPCO Mobilités, qui ensuite déposera le ou les contrats auprès des services du ministère en charge de la formation professionnelle (DECA) qui transmettra les contrats à l’ASP.

Une fois l’enregistrement du contrat et l’envoi de la DSN mensuelle faits, il faut signaler la présence ou non du salarié concerné sur la plateforme SYLAé. Chaque mois l’ASP vous envoie un avis de paiement, consultable sur Sylaé.

Pour les entreprises de moins de 250 salariés la transmission du contrat par le ministère à l’ASP vaut décision d’attribution, l’employeur reçoit une notification.

Pour les entreprises de 250 salariés et plus, le versement de l’aide est conditionné à l’acte d’engagement de l’entreprise soit :

  • L’ASP accuse réception du dossier auprès de l’entreprise qui doit compléter un formulaire d’engagement Site ASP et le renvoyer à l’ASP dans un délai de 8 mois à compter de la date de conclusion du contrat. La réception du formulaire permet à l’ASP de déclencher les paiements.

Notez le : les contrats d’apprentissage ou de professionnalisation concernés par les précédents dispositifs d’aide exceptionnelle successifs doivent être transmis à l’OPCO au plus tard le 31 mars 2024. Soit les contrats conclus entre le 1er juillet 2020 et le 31 décembre 2022 qui n’auraient pas encore été déposés et qui souhaiteraient bénéficier du dispositif d’aide exceptionnelle.

Cette aide est différente de l’aide unique à l’embauche qui ne s’adresse qu’aux entreprises de moins de 250 salariés et ne vise pas les mêmes apprentis, elle ne se cumule pas avec l’aide unique à l’embauche mise en place entre le 1er juillet 2020 et le 31 décembre 2022.

Mais elle se cumule avec l’aide spécifiques aux apprentis en situation de handicap.

Pour rappel : cette aide concerne l’embauche en contrat d’apprentissage d’une personne handicapée proposée par l’Agefiph. Son montant est de 3 000 euros du 1er aout au 31 décembre 2024.

Suspension de l’aide 

L’aide n’est pas due en cas de (décret 2022-1714 du 29 décembre 2022, art. 4, VII) :

  • Suspension du contrat sans rémunération, pour chaque mois considéré ;
  • Rupture anticipée du contrat, à compter du mois suivant la date de fin du contrat.

Les sommes indûment perçues devront être remboursées à l’ASP (décret 2022-1714 du 29 décembre 2022, art. 4, VIII).

 

Pour en savoir plus FAQ alternants –  Guide employeur alternants

Crit’Air : Possibilités d’exemptions locales de l’obligation pour les véhicules de dépannage

Les véhicules de dépannage, en raison de leur fonction essentielle dans la gestion des situations d’urgence et la sécurité routière, peuvent bénéficier d’une exemption de la vignette Crit’Air dans certaines agglomérations. Cette dérogation s’inscrit dans une logique de maintien de la fluidité du trafic et de réponse rapide aux incidents sur la route.

 

Pour rappel, la vignette Crit’Air est un autocollant obligatoire apposé sur le pare-brise des véhicules, permettant d’identifier leur niveau d’émission de polluants. Elle classe les véhicules en fonction de leur impact environnemental, allant de la classe 0 (zéro émission) à la classe 5 (forte pollution). En cas d’absence de vignette pollution dans les zones à faibles émissions (ZFE), les conducteurs peuvent avoir des amendes.

Cette classification des véhicules est définie par l’arrêté du 21 juin 2016 (ci-dessous dans la rubrique « Documents complémentaires ») établissant la nomenclature des véhicules classés en fonction de leur niveau d’émission de polluants atmosphériques en application de l’article R. 318-2 du code de la route.

 

L’exemption de la vignette Crit’Air pour ces véhicules peut être accordée par les autorités administratives, car leur intervention est souvent urgente et nécessaire dans des zones à forte densité de circulation, y compris celles soumises à des restrictions de pollution.

Dans ces situations, il est primordial que ces véhicules puissent circuler sans contrainte supplémentaire, indépendamment du niveau d’émissions de leurs moteurs. A titre d’exemples, les Métropoles Clermont Auvergne, Aix Marseille Provence, Angers Loire appliquent ces exemptions pour les véhicules de dépannage remorquage.

 

Attention toutefois, ce n’est pas systématique, nous vous invitons à vérifier si une telle dérogation existe dans votre métropole en cliquant sur ce lien : https://mieuxrespirerenville.gouv.fr/fiches-thematique/derogations/derogations-locales?profil=Entreprises (sélectionnez le profil « entreprise »).

 

Vous pouvez demander votre dérogation locale pour les ZFE d’Annecy, Annemasse, Nancy et Pau sur l’outil commun de demande de dérogation locale, en cliquant sur ce lien : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/demande-de-derogation-locale-pour-une-zone-a-faibl.

 

Pour toute question, n’hésitez pas à nous contacter.

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Contrôle technique des véhicules légers poids inférieur ou égal à 3,5 tonnes : Commentaires sur les procès-verbaux

Un arrêté du 24 janvier 2025 portant modifications de l’arrêté du 18 juin 1991 relatif à la mise en place et à l’organisation du contrôle technique des véhicules dont le poids n’excède pas 3,5 tonnes a été publié.

Entré en vigueur le 31 janvier 2025, il actualise certaines dispositions du texte initial du 18 juin 1991, avec des ajustements concernant les commentaires sur les procès-verbaux de contrôle technique.

Désormais, lorsque des commentaires spécifiques sont validés lors d’un contrôle technique, ces derniers devront être imprimés sur le procès-verbal à la suite des défaillances et niveaux de gravité. Ces commentaires seront définis conformément aux instructions techniques publiées sur le site de l’organisme technique central.

Cet arrêté est attaché à la présente note, dans la rubrique « Documents complémentaires » ci-dessous.

Pour toute question, n’hésitez pas à nous contacter.

Obligation de mesure du niveau sonore des deux-roues applicable depuis le 1er juillet 2025

Depuis le 1ᵉ ʳ juillet 2025, il est obligatoire pour les centres de contrôle technique d’être équipés d’un appareil pour mesurer le niveau sonore des deux-roues (arrêté publié le 18 février).

L’arrêté prolonge la validité des extensions d’agrément pendant la période d’instruction pour les dossiers de demande d’agrément des contrôleurs et des centres déposés avant le 14 avril 2025.

L’administration indique qu’il pourrait y avoir une tolérance concernant la possibilité pour des centres de continuer à faire des contrôles techniques de la catégorie L sans disposer d’un sonomètre installé, uniquement pour les territoires qui auraient un maillage insuffisant de centres équipés d’un sonomètre et pour lesquels des difficultés pour l’usager se poseraient. Ces exceptions seront limitées.

Il est à noter, que depuis le 1er juillet, les centres non équipés d’un sonomètre ne peuvent plus faire de contrôle technique des véhicules de catégorie L, lorsque le sonomètre est nécessaire pour le contrôle de ces véhicule, et ce, dans l’attente de l’installation de cet équipement.

A titre d’exemple, le contrôle technique de véhicules électriques de la catégorie L reste possible, car ce dernier ne nécessite pas de sonomètre.

Cet arrêté est attaché à la présente note, dans la rubrique « Documents complémentaires » ci-dessous.

Pour toute question, n’hésitez pas à nous contacter.

Le départ volontaire à la retraite à l’initiative du salarié

Il s’agit d’un mode de rupture distinct de la mise à la retraite. Dans le cas de la mise à la retraite, c’est l’employeur qui est décisionnaire, alors que le départ volontaire à la retraite découle de la volonté du salarié de rompre son contrat de travail pour bénéficier de sa pension de vieillesse.

Pour qu’il y ait départ volontaire à la retraite plusieurs conditions cumulative doivent être réunies.

Concernant l’âge légal de droit commun

  • Le salarié doit avoir l’âge légal pour une retraite à taux plein ou non

Pour rappel, l’âge de liquidation de la retraite du régime général de sécurité sociale qui était de 62 ans pour les générations nées avant le 1er septembre 1961 a été relevé progressivement par la loi du 14 avril 2023 de 3 mois par an pour les générations nées à compter du 1er septembre 1961 jusqu’à atteindre l’âge de 64 ans pour les générations nées à compter de 1968. CSS, art. L. 161-17-2.

Si la condition d’âge légal de liquidation de la pension de retraite n’est pas remplie, sous réserve des cas particuliers de départ anticipé (carrière longue, handicap…), le départ à l’initiative du salarié constitue une démission et n’ouvre pas droit à l’indemnité de départ volontaire à la retraite.

La demande de liquidation de la retraite auprès de la caisse

Préalablement, le salarié doit avoir pris contact auprès de sa caisse de retraite pour demander la liquidation de sa retraite. Lorsque le salarié demande à bénéficier de sa retraite, on dit qu’il liquide ses droits à retraite.

C’est important car, pour bénéficier de l’indemnité de départ à la retraite, le salarié qui quitte l’entreprise doit prouver qu’il a effectivement fait valoir ses droits à pension. A défaut, l’employeur n’est pas tenu de verser l’indemnité de départ volontaire à la retraite. Cass. soc., 23 sept. 2009, n° 08-41.397, n° 1800 FS – P + B

La liquidation de la retraite ne se fait pas automatiquement. C’est à compter de la demande qu’un dossier est constitué. En général il vaut mieux entamer les démarches environ 6 mois avant le départ en retraite. C’est à ce moment que le salarié est susceptible de prévenir son employeur de son intention de partir à la retraite.

Après avoir déposer sa demande, le salarié recevra un document intitulé « notification » qui atteste de la qualité de retraité du régime général du salarié, il  indique notamment la date exacte de départ en retraite. Le salarié doit également demander la liquidation de sa retraite complémentaire.

L’Agirc-Arrco recommande de déposer la demande de liquidation simultanément auprès du régime de base et des régimes de retraite complémentaire dans les 4 à 6 mois (avant l’âge légal) précédant la date souhaitée du départ à la retraite et de ne pas liquider les pensions de retraite complémentaire sans avoir eu, au préalable, confirmation de l’obtention du taux plein de la pension de base.

Pour faire la demande, soit utiliser le formulaire à se procurer auprès de sa caisse d’assurance retraite et de santé au travail (CNAV pour l’Île-de-France) ou directement sur le site : www.lassuranceretraite.fr (Espace salariés, Mes démarches, Mes documents à télécharger ).

Une fois déposée, la demande est définitive et irrévocable.

L’information par écrit auprès de l’employeur 

Le code du travail ne précise rien quant au formalisme du départ à la retraite à respecter. Il est important de formaliser par écrit le départ à la retraite du salarié pour pouvoir prouver qu’il a pris l’initiative de la rupture du contrat d’une volonté claire et non équivoque. En effet, en cas de litige, c’est à l’employeur de prouver que le salarié a pris l’initiative du départ à la retraite. Cass. soc., 16 juin 1998, n° 96-43.013.

Le salarié a déjà accompli les démarches auprès de la caisse de retraite pour faire liquider sa retraite. Dès lors, il peut prévenir l’employeur de la date prochaine de son départ. Si d’avance il vous prévenait oralement, demandez lui un écrit.

Au niveau de la CCNSA, le départ à la retraite est considéré comme étant une démission : ARTICLE 1.23 – EMPLOI DES SALARIÉS AGÉS – 4 – Départ à la retraite

« Le départ à la retraite s’effectue soit à l’initiative du salarié, soit sur décision de l’employeur, à l’âge et dans les conditions déterminés par la législation en vigueur. Chacun est tenu de respecter les délais de préavis fixés par les articles 2-12 ou 4-10 de la présente convention collective, pour l’application desquels le départ volontaire à la retraite est assimilé à une démission, et la mise à la retraite à un licenciement.
Le salarié âgé d’au moins 60 ans et ayant au moins dix ans d’ancienneté dans l’entreprise peut conclure avec son employeur une convention en vue de rechercher, pendant la durée d’un congé rémunéré à cet effet, une personne susceptible d’être embauchée ans l’entreprise après son départ. La durée de ce congé, qui doit être pris dans les six mois qui précèdent le départ à la retraite, ce délai incluant la période de préavis visée au 1er alinéa, est égale à une semaine par tranche de 10 ans d’ancienneté dans l’entreprise, dans la limite maximale d’un mois. »

Durée du préavis

  • échelons 1 à 2 = 2 semaines ;
  • échelons 3 à 12 = 1 mois ;
  • échelons 17, 18 et 19 de la maîtrise = 2 mois ,
  • au delà = 3 mois.

Indemnité de départ à la retraite

Indemnité légale de départ volontaire à la retraite (à la demande du salarié) : 1/2 mois de salaire entre 10 et 15 ans d’ancienneté, 1 mois entre 15 et 20 ans d’ancienneté, 1 mois ½ entre 20 et 30 ans d’ancienneté, 2 mois après 30 ans d’ancienneté.

 

 

Modèle de demande par le salarié 

 

Nom / prénom                                                 Représentant employeur

Adresse salarié                                                    Adresse employeur

                                                                              À …, le …

 

Lettre recommandée avec AR ou remise en main propre contre décharge

Objet : Notification de départ volontaire à la retraite

Madame, Monsieur …,

Je vous informe que je remplis les conditions pour bénéficier d’une pension de retraite . J’ai donc décidé de faire valoir mes droits à la retraite à l’issue de mon préavis d’une durée de               au regard de la Convention collective des service de l’automobile, soit le …

Je vous prie de bien vouloir préparer pour cette date les documents afférents à la rupture du contrat de travail.

Veuillez agréer, Madame, Monsieur le directeur, l’expression de mes sentiments distingués.

Signature

De votre côté, en tant qu’employeur n’hésitez pas à faire un courrier au salarié prenant acte de sa décision de mettre fin au contrat de travail à la date du …..

Capital de fin de carrière

Si le salarié est éligible, faire la demande auprès de l’organisme compétent.

 

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La protection des salariés lors des périodes de chaleur intense : nouvelles obligations pour l’employeur au 1er juillet 2025

Les frais de transport des salariés

Tarification des accidents du travail / maladies professionnelles 2025

IJSS maladie non professionnelle : baisse de l’indemnisation des arrêts au 1er avril 2025

Les aides à l’embauche des apprentis reconduites mais réduites en 2025

L’aide exceptionnelle à l’embauche des apprentis prolongée en 2024

Jurisprudence : le licenciement du salarié qui n’a pas reçu sa convocation à l’entretien est il régulier ?

L’entretien d’évaluation

Charges sociales année 2025

Avenant contrat de travail

Convention collective des services de l’automobile – Janvier 2025

Fin de la tolérance « week end » pour les IJSS maladie

Mesures de soutien économique et social prises par le gouvernement en aide à Mayotte

Revalorisation des salaires minima au 1er avril 2024

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Régimes de protection sociale complémentaire : vous avez jusqu’au 31 décembre 2024 pour mettre à jour les catégories objectives

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Convention collective des services de l’automobile – Avril 2024

L’aide exceptionnelle pour l’embauche d’un salarié en contrat de professionnalisation disparaît à compter du 1er mai 2024 !

Modèle de notification de licenciement pour faute grave

L’engagement de la procédure de licenciement pour faute grave : jurisprudence du 20 mars 2024

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Les aides à l’embauche

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Charges sociales année 2024

Convention collective des services de l’automobile – Janvier 2024

Tarification des accidents du travail / maladies professionnelles 2024

Le refus par un salarié d’une proposition de CDI à l’issue d’un CDD ou d’une mission d’intérim

SMIC au 1er Janvier 2024

La PPV et la loi partage de la valeur

Le licenciement pour inaptitude d’origine non professionnelle avec reclassement

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Jurisprudence : la forme de la preuve du paiement du salaire ?

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Tout savoir sur l’obligation de loyauté et de fidélité du salarié 

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Revalorisation des salaires minima au 1er mai 2023

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Loi DDADUE : les mesures en droit social

Notification de licenciement absences répétées et désorganisation de l’entreprise

Le dispositif « emplois francs » prolongé jusqu’au 31 décembre 2024 n’est pas reconduit

Jurisprudence : informer oralement le salarié de l’envoi de la notification de licenciement : bonne ou mauvaise idée ?

Le passeport de prévention

Le bulletin de paie version 2024

Modèle mise à pied à titre disciplinaire

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Convention collective des services de l’automobile – Janvier 2023

SMIC au 1er janvier 2023

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Revalorisation des salaires minima au 23 juillet 2022

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Déclaration du statut de conjoint collaborateur

Convocation entretien préalable à sanction

Egalité professionnelle – femmes – hommes

Chèques cadeaux – bons d’achat

La retraite progressive des salariés et des indépendants au 1er septembre 2023

La mise à la retraite du salarié et la mise à la retraite d’office

Départ à la retraite anticipée pour carrière longue

Guide pratique de l’aide à l’embauche des alternants – janvier 2024

Modèle document unilatéral – APLD

Activité partielle de longue durée – APLD

L’indemnité inflation

Convocation entretien préparatoire en vue d’une rupture conventionnelle

Le pouvoir disciplinaire de l’employeur

Le précis de l’apprentissage

Mise à disposition de cabinets d’aisance

Chauffage des locaux -ambiance thermique

Faut il installer des lavabos et des douches dans l’entreprise ?

Les lavabos en entreprise

Les vestiaires dans l’entreprise

Durée légale et durée maximale du travail

Le temps de trajet

Le temps d’habillage

La clause de non concurrence

Epargne salariale, intéressement, participation

Résiliation des contrats de complémentaires santé (mutuelle)

Avenant dans le cadre d’un temps partiel thérapeutique

Le licenciement pour inaptitude d’origine non professionnelle – sans obligation de reclassement

Le cumul emploi retraite (salariés – indépendants) au 1er septembre 2023

Le SMIC au 1er octobre 2021

Déclaration et reconnaissance d’un accident du travail – accident du travail mortel

Contribution à la formation professionnelle : acompte à régler avant le 15/09/2021

Le Capital de fin de carrière

Soyez prudent dans la gestion d’un abandon de poste

Le bulletin officiel de la sécurité sociale – BOSS

Le solde de tout compte

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Trame entretien professionnel

Trame entretien annuel d’évaluation

La modification du contrat de travail

Les conséquences de la sous – qualification d’un salarié

La visite médicale de reprise et de pré reprise, et le rendez vous de liaison depuis la loi santé au travail

Le compte épargne temps

Travaux interdits et réglementés pour l’emploi des jeunes de 15 à 18 ans

Procédure de licenciement pour inaptitude non professionnelle sans reclassement

Modèle notification de licenciement pour faute grave dans le cas d’un abandon de poste

Aide au financement du permis de conduire des apprentis

Gérer les addictions en entreprise

Charges sociales au 1er janvier 2021

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Conditions légales de départ à la retraite jusqu’au 1er septembre 2023

Le licenciement pour absences répétées et ou prolongées

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L’entretien professionnel – L’entretien d’état des lieux récapitulatif

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La gestion sanitaire des vagues de chaleur

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Modèle de mise en demeure de présomption de démission en cas d’abandon de poste

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Les attestations Pôle Emploi évoluent

Le report des visites médicales et examens médicaux des salariés

Le congé de paternité et d’accueil de l’enfant

FNE formation

Offre de contrat de travail ou promesse de contrat de travail

La vidéosurveillance / la géolocalisation

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Revalorisation du SMIC au 1er janvier 2021

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Elections des représentants au CSE MAJ 2021

Calendrier électoral CSE

Les Sanctions disciplinaires

Discrimination sur l’apparence physique au travail

Questionnaire Accords d’entreprise et actions spécifiques

Lettre fédérale n° 10-19 Questionnaire accord d’entreprise et actions spécifiques

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Modèle Accord annualisation du temps de travail

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Fermeture de l’entreprise pour congés

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Rémunération du contrat d’apprentissage

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Affichage harcèlement

Affichage Egalité professionnelle hommes femmes

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Charges sociales janvier 2018

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SMIC au 1er janvier 2016

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La gestion des jours fériés

Le contrat d’apprentissage

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Guide pratique pour la gestion des contrats au sein d’une entreprise

Pour l’exercice de votre activité vous êtes amené à conclure un certain nombre de contrats : contrat de bail commercial, contrat d’assurance, contrat de vente, contrat de fourniture de service, de location financière etc. De ces contrats découlent divers documents tels que les devis, factures et propositions commerciales.

Les contrats étant au cœur du fonctionnement de votre entreprise, il est fondamental de maitriser les différentes relations commerciales que vous tissez au fil du temps. Pour cela, il est nécessaire de maitriser le cycle de vie de vos contrats.

Le cycle de vie des contrats désigne les différentes étapes de la « vie » d’un contrat de sa négociation jusqu’à son terme.

La négociation :

La négociation (la phase précontractuelle) désigne les échanges préalables qui amèneront à la conclusion du contrat. Durant cette phase précontractuelle, vous discutez des modalités du contrat à venir avec votre futur partenaire, vous définissez ainsi l’objet, le prix, les prestations, etc.

Cependant, pour la conclusion de certains contrats, il n’est pas toujours possible de négocier l’ensemble des stipulations. En effet, des contrats tels que les contrats de fourniture de service (téléphonie, internet) ou d’assurance sont des contrats dit « d’adhésion »  comportant des clauses non négociables et déterminées à l’avance. De la même manière, les conditions générales de vente disposent de stipulations qui s’imposent aux contractants.

Dans ce cas, n’hésitez pas à demander au démarcheur ou au commercial, de vous fournir une copie de leurs conditions générales afin que vous puissiez en prendre connaissance avant la conclusion du contrat.

De plus, si vous êtes une TPE de moins de 5 salariés et que la conclusion du contrat se fait à la suite d’un démarchage à domicile, le démarcheur est tenu d’une obligation précontractuelle d’information conformément à l’article L. 221-3 du Code de la consommation. Il est tenu de vous remettre d’office un exemplaire du contrat et ses conditions générales.

La rédaction et la relecture du contrat :

Les engagements négociés lors de la phase précontractuelle sont retranscrit dans un document écrit. C’est ce qui compose le contrat.

La phase de relecture du contrat est très importante et ne doit pas être négligée. Cette étape doit vous permettre de prendre connaissance de vos obligations et celles de votre co-contractant. Il s’agit de s’assurer que les engagements négociés lors de la phase contractuelle ont bien été intégrés dans le contrat final.

La signature du contrat :

Après avoir pris connaissance des stipulations du contrat, la signature apposée sur l’acte manifeste le consentement des parties aux obligations qui en découlent.  La signature permet également d’identifier son auteur et constitue un élément de preuve en cas de litige.

La signature peut être effectuée par voie électronique via un procédé fiable d’authentification qui garantit l’intégrité du document.

Il est indispensable de conserver un exemplaire original de vos contrats.

L’exécution du contrat :

A compter de la prise d’effet du contrat, chaque partie est tenue d’exécuter les engagements dans les conditions fixées au contrat.

Il est important de s’assurer que les engagements sont bien respectés afin d’éviter les coûts supplémentaires engendrés par un manquement de vos obligations : frais d’impayés, clause pénale, etc.

La fin du contrat :

Au  terme du contrat, la relation contractuelle prend fin, les parties ne sont plus liées.

Certains contrats à durée déterminée stipulent une tacite reconduction, permettant un renouvellement automatique du contrat à son terme initial. Il est donc important d’avoir connaissance des dates de fin de contrat, délais de préavis et période de la tacite reconduction.

 

Conseils : 

Il convient de mettre en place un outil de suivi adapté à votre activité pour avoir une visibilité sur vos engagements, identifier le nombre de contrat en cours, leur date d’échéance, délai de préavis.

Pour vous aider à constituer votre propre outil de gestion de contrat, vous trouverez dans la rubrique « documents complémentaires » un modèle de fichier de suivi de contrat.

Aussi, vous trouverez dans cette même rubrique un modèle de contrat et le descriptif des différentes clauses.

 

Jurisprudence : le licenciement du salarié qui n’a pas reçu sa convocation à l’entretien est il régulier ?

Tout licenciement d’un salarié répond à une procédure stricte qu’il faut appliquer à la lettre.

Outre le fait que le licenciement doit être motivé et justifié par une cause réelle et sérieuse, il doit être précédé d’un entretien préalable dans le cadre d’un courrier de convocation.

Ne prenez pas à la légère la convocation de l’intéressé pour entretien, la Cour de cassation dans son arrêt du 11 décembre 2024 a sanctionné l’employeur pour non respect de la procédure – Cass. soc., 11-12-2024, n° 22-18.362

Rappel de la procédure

  • La convocation du salarié peut se faire par lettre remise en main propre contre décharge ou courrier recommandé avec avis de réception ;
  • La convocation doit mentionner : qu’un licenciement est envisagé, la date, l’heure et lieu de l’entretien, l’interlocuteur qui va mener l’entretien, la possibilité pour le salarié de se faire assister ;
  • Délai entre la convocation et l’entretien 

C’est sur point de droit que la Cour de cassation a rendu son jugement.

Il faut impérativement respecter un délai de 5 jours ouvrables (tous les jours sauf dimanche et jours fériés), entre la remise du courrier de convocation et le jour de l’entretien. Article. L. 1232-2232-2 du Code du travail.

Le point de départ du délai débute le lendemain du jour de la remise de la convocation en main propre ou de la 1er première présentation du courrier recommandé au domicile du salarié.

Si le calcul est aisé dans le cas d’une remise en main propre, cela est plus difficile dans le cadre d’un envoi en recommandé car les délais postaux peuvent être longs.

Il faut donc avoir à l’esprit que si vous envoyez le courrier lundi en recommandé, il ne sera pas nécessairement présenté le lendemain ou le surlendemain, il faut prévoir une date d’entretien vous permettant de respecter le délai. Le salarié doit pouvoir disposer de 5 jours ouvrables pleins pour pouvoir préparer sa défense, à défaut de respecter le délai, il y aura une irrégularité de procédure.

Par exemple : le courrier part lundi en recommandé, vous ne savez pas réellement s’il sera présenté mardi ou mercredi (jours ouvrables) ; si c’est jeudi, le point de départ pour calculer le délai débutera le lendemain soit vendredi.

A partir de vendredi vous comptez 5 jours ouvrables pleins : vendredi ok, samedi ok, dimanche non, lundi ok, mardi ok, mercredi ok. L’entretien ne pourra avoir lieu que le jeudi à condition qu’il n’y ait pas de jours fériés dans la semaine.

Il faut indiquer une date d’entretien assez lointaine entre l’envoi du courrier en recommandé et la date de présentation au domicile du salarié. Le calcul est plus facile en cas de remise en main propre contre décharge.

Dans le cas qui nous intéresse, c’est la première fois que la Cour de cassation répond à la question suivante : y a t’il irrégularité de procédure si le salarié n’a jamais reçu le courrier de convocation en recommandé du fait d’une erreur de la poste ?

En l’espèce, la salariée a qui le courrier en recommandé à été adressé ne la jamais reçu car elle était absente de son domicile au moment de sa présentation et aucun avis de passage ne lui a été délivré pour lui indiquer qu’elle pouvait retirer la convocation à la poste.

Elle est licenciée pour faute grave et saisit les prud’hommes pour non respect de la procédure de licenciement. Elle fait valoir que n’ayant jamais reçu la lettre de convocation à entretien, le délai de 5 jours ouvrables n’a pas été respecté par l’employeur.

Si la Cour d’appel reconnait l’erreur de la poste et non de l’employeur et déboute la salariée, la Cour de cassation n’est pas de cet avis et censure les juges du fond. Elle considère que la lettre recommandée n’a pas été présentée à la salariée même si l’erreur ne vient pas de l’employeur mais de la poste.

La décision de la Cour de cassation est sévère car pour information le courrier est revenu à l’employeur avec la mention « pli avisé et non réclamé ». Les juges n’ont retenu que le non respect du délai de 5 jours ouvrables et l’impossibilité pour la salariée de préparer sa défense.

Les conséquences pour l’employeur peuvent être les suivantes : 

  • Le licenciement n’est pas nécessairement sans cause réelle et sérieuse, mais il est entaché d’une irrégularité de procédure.

  • Le salarié peut prétendre à une indemnité pour non-respect des formalités, pouvant aller jusqu’à un mois de salairearticle L. 1235-2 du Code du travail.

Sachez que si le courrier est présenté au domicile du salarié absent et qu’un avis de passage est déposé, la procédure est régulière.

Mais si la lette n’est jamais présentée il y aura toujours irrégularité, elle sera automatiquement caractérisée.

Nous ne pouvons que vous conseiller de vous assurer du suivi du courrier sur le site de la poste.

 

 

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La mise à la retraite du salarié et la mise à la retraite d’office

Départ à la retraite anticipée pour carrière longue

Guide pratique de l’aide à l’embauche des alternants – janvier 2024

Modèle document unilatéral – APLD

Activité partielle de longue durée – APLD

L’indemnité inflation

Convocation entretien préparatoire en vue d’une rupture conventionnelle

Le pouvoir disciplinaire de l’employeur

Le précis de l’apprentissage

Mise à disposition de cabinets d’aisance

Chauffage des locaux -ambiance thermique

Faut il installer des lavabos et des douches dans l’entreprise ?

Les lavabos en entreprise

Les vestiaires dans l’entreprise

Durée légale et durée maximale du travail

Le temps de trajet

Le temps d’habillage

La clause de non concurrence

Epargne salariale, intéressement, participation

Résiliation des contrats de complémentaires santé (mutuelle)

Avenant dans le cadre d’un temps partiel thérapeutique

Le licenciement pour inaptitude d’origine non professionnelle – sans obligation de reclassement

Le cumul emploi retraite (salariés – indépendants) au 1er septembre 2023

Le SMIC au 1er octobre 2021

Déclaration et reconnaissance d’un accident du travail – accident du travail mortel

Contribution à la formation professionnelle : acompte à régler avant le 15/09/2021

Le Capital de fin de carrière

Soyez prudent dans la gestion d’un abandon de poste

Le bulletin officiel de la sécurité sociale – BOSS

Le solde de tout compte

Temps partiel thérapeutique – reconnaissance – mise en place

Trame entretien professionnel

Trame entretien annuel d’évaluation

La modification du contrat de travail

Les conséquences de la sous – qualification d’un salarié

La visite médicale de reprise et de pré reprise, et le rendez vous de liaison depuis la loi santé au travail

Le compte épargne temps

Travaux interdits et réglementés pour l’emploi des jeunes de 15 à 18 ans

Procédure de licenciement pour inaptitude non professionnelle sans reclassement

Modèle notification de licenciement pour faute grave dans le cas d’un abandon de poste

Aide au financement du permis de conduire des apprentis

Gérer les addictions en entreprise

Charges sociales au 1er janvier 2021

Convention collective – janvier 2022

Conditions légales de départ à la retraite jusqu’au 1er septembre 2023

Le licenciement pour absences répétées et ou prolongées

Le dispositif de prime exceptionnelle de pouvoir d’achat – PEPA – « Prime Macron »

Les opérateurs de compétence (OPCO) – L’OPCO Mobilités

L’entretien professionnel – L’entretien d’état des lieux récapitulatif

Les heures supplémentaires relatives au travail des vendeurs

L’astreinte

Les heures supplémentaires

Réduction du temps de travail et contrat de travail

Repos quotidien et repos hebdomadaire

Indemnisation du salarié cadre suite indisponibilité maladie ordinaire ou professionnelle, accident du travail

Arrêt maladie, accident de travail – ouvriers – employés – agents de maîtrise

Usage d’entreprise – engagement unilatéral de l’employeur

La gestion sanitaire des vagues de chaleur

Congés payés et maladie

Congés payés synthèse

Minima garantis 2021

Le temps de pause et de restauration

Travail de nuit

Travail le dimanche

Modèle de mise en demeure de présomption de démission en cas d’abandon de poste

Modèle convocation entretien préalable à sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement

La médaille d’honneur du travail

Convention collective services de l’automobile – CCNSA – Avril 2021

L’interdiction de vapoter – Cigarette électronique

L’interdiction de fumer

Affichage consigne incendie

Tarification accidents du travail / maladie professionnelles 2021

Les nouveaux critères de prise en charge du FAFCEA pour 2021

Contributions à la formation professionnelle et la taxe d’apprentissage 2020-2021

Aide à l’embauche : l’opération « emploi franc+ » et le dispositif « emploi franc »

Les attestations Pôle Emploi évoluent

Le report des visites médicales et examens médicaux des salariés

Le congé de paternité et d’accueil de l’enfant

FNE formation

Offre de contrat de travail ou promesse de contrat de travail

La vidéosurveillance / la géolocalisation

SMIC AU 1ER JANVIER 2018

Salaires minima conventionnels 2018 au 1er Janvier 2018

Revalorisation du SMIC au 1er janvier 2021

Reçu pour solde de tout compte

Licenciement pour motif économique

Le licenciement pour inaptitude d’origine professionnelle (suite AT ou maladie pro) – avec reclassement

Les réunions à distance du CSE pendant l’état d’urgence sanitaire

Elections des représentants au CSE MAJ 2021

Calendrier électoral CSE

Les Sanctions disciplinaires

Discrimination sur l’apparence physique au travail

Questionnaire Accords d’entreprise et actions spécifiques

Lettre fédérale n° 10-19 Questionnaire accord d’entreprise et actions spécifiques

L’année 2020 et le casse-tête des entretiens professionnels

Jobs d’été

Embauche d’un salarié majeur : les formalités à effectuer

Modèle Accord annualisation du temps de travail

Voiture de service ou véhicule de fonction – Avantage en nature

Modèle convention forfait jours

Modèle compte-rendu entretien professionnel bilan 6 ans

Modèle de clause de confidentialité

Indemnité de congés payés

Fermeture de l’entreprise pour congés

Congé parental d’éducation

Congé Maternité et indemnités journalières pour les travailleuses indépendantes

RPCS dispenses d’affiliation

Modèle DUE frais santé

Rupture du contrat d’apprentissage

Rémunération du contrat de professionnalisation

Rémunération du contrat d’apprentissage

Rupture de la période d’essai de l’apprenti par l’employeur

Emploi des jeunes de 15 à moins de 18 ans

Congé pour examen accordé aux apprentis

Les registres obligatoires et conseillés en entreprise

Affichages ou diffusions obligatoires

Affichage obligatoire à l’attention du personnel

Affichage harcèlement

Affichage Egalité professionnelle hommes femmes

Les vêtements de travail et le temps d’habillage

Charges sociales janvier 2018

Bulletin de paie simplifié janv 2018

SMIC au 1er janvier 2017

Salaires minima au 1er janvier 2017

SMIC au 1er janvier 2016

Salaires minima au 1er janvier 2016

SMIC au 1er janvier 2015

Salaires minima au 1er janvier 2015

RGPD Note d’information aux salariés traitement des données personnelles

RGPD Note d’information aux salariés

RGPD Lettre confidentialité du salarié amené à manipuler des données à caractère personnel

La gestion des jours fériés

Le contrat d’apprentissage

Contrat d’apprentissage ou de professionnalisation

Affichage égalité de rémunération hommes femmes

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Conduite et handicap : identification des auto-écoles adaptées et extension d’usage des véhicules aménagés (Permis B et B1)

Pour favoriser l’inclusion et l’autonomie, des dispositifs existent afin de faciliter l’apprentissage de la conduite pour les personnes en situation de handicap.
L’identification des auto-écoles adaptées et l’utilisation prolongée des véhicules aménagés en font partie.

Identification facilitée des écoles de conduite adaptées aux personnes en situation de handicap

Les écoles de conduite spécialisées dans la formation pour les personnes en situation de handicap moteur ou auditif sont désormais identifiables sur la carte officielle des écoles de conduite.

Conçue pour accompagner les usagers dans le choix d’un établissement adapté à leurs besoins, cette carte interactive référence l’ensemble des écoles de conduite agréées, et permet désormais d’identifier au sein de l’ensemble des écoles agréées celles adaptées à l’apprentissage de la conduite en situation de handicap locomoteur et/ou auditif.

En répondant à un enjeu fondamental d’autonomie et d’inclusion, cet outil donne accès à une information fiable, gratuite et transparente, facilitant ainsi les démarches des futurs conducteurs en situation de handicap et les accompagnant dans leur parcours de formation.

Ces deux nouveaux critères de recherche sont signalisés ainsi :

Outre ces éléments, la carte fournit des informations essentielles telles que :
• le type d’écoles de conduite (traditionnelle, associative, en ligne),
• les modes d’apprentissage proposés (conduite accompagnée, supervisée),
• les taux de réussite (par écoles de conduite et par département),
• les dispositifs de financement disponibles, comme le permis à un euro par jour.
Ces critères permettent au futur apprenti d’affiner la sélection de l’école de conduite adaptée à sa préparation de l’examen du permis du conduire.

La carte est accessible sur ce lien : https://autoecoles.securite-routiere.gouv.fr/#/

 

Extension de la durée d’utilisation des véhicules d’enseignement de la conduite aménagés pour les personnes handicapées (Permis B et B1)

Un nouvel arrêté du 28 janvier 2025, entré en vigueur le 3 février 2025, modifie la durée d’utilisation des véhicules spécialement aménagés pour la formation et l’examen du permis de conduire des personnes handicapées. Arrêté du 28 janvier 2025

Ainsi, l’arrêté prolonge la durée d’utilisation des véhicules dédiés aux examens des permis B et B1. La période maximale d’utilisation passe de 10 à 16 ans, à compter de leur première mise en circulation. Cette mesure a pour objectif de faciliter l’accès à la conduite pour les personnes handicapées et de permettre aux établissements de mieux gérer l’amortissement de ces véhicules.

Pour toute question, n’hésitez pas à nous contacter.