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La FNA propose à ses adhérents une protection juridique adaptée

Plus de la moitié des professionnels de l’automobile ont été confrontés à un litige durant les trois dernières années. Le droit étant une matière complexe, évolutive et coûteuse, la FNA a négocié un contrat de protection juridique avec CFDP, exclusivement pour ses adhérents.

Pourquoi la protection juridique CFDP vous est-elle indispensable ?

Depuis plusieurs années déjà, la FNA vous permet grâce à votre adhésion de bénéficier, à un prix mutualisé et négocié, d’une assurance protection juridique adaptée à vos besoins. Le choix de la FNA s’est porté sur la CFDP pour ses nombreux points forts :

  • Spécialiste de la protection juridique ;
  • Experte des des litiges liés aux métiers de l’automobile ;
  • Indépendante de tout groupe d’assurance ;
  • Garantissant un interlocuteur dédié et une relation personnalisée.

Son métier

La protection juridique CFDP peut être sollicitée pour :

  • Des renseignements juridiques en prévention d’un litige ;
  • La gestion de vos litiges, en mettant tous les moyens en œuvre pour aboutir à une solution amiable auprès du tiers ;
  • La prise en charge des frais de la procédure amiable, et lorsqu’aucune issue amiable n’est trouvée, des frais judiciaires dus aux auxiliaires de justice (avocat, huissier, etc.), dans la limite des montants contractuels.

Les domaines du droit couverts

  • La protection pénale ;
  • La protection administrative ;
  • La protection sociale (organismes sociaux, caisses, cotisations…) ;
  • La protection prud’homale (salariés, inspection du travail…) ;
  • La protection commerciale (clients, prestataires, fournisseurs…) ;
  • La protection patrimoniale (locaux professionnels) ;
  • La protection fiscale.

La protection juridique CFDP ne prend pas en charge les recouvrements d’impayés. Pour ce type de dossier, n’hésitez pas à faire appel à recouvrer.fr, avec lequel la FNA a négocié un partenariat pour ses adhérents : Recouvrement de vos impayés – Partenariat FNA/Recouvrer.fr

Comment déclarer votre sinistre auprès de CFDP ?

Vous êtes adhérent en formule Platinium et souhaitez déclarer un litige à la protection juridique CFDP, voici les coordonnées :

Pour déclarer un sinistre, vous devez adresser à l’assureur :

  • La description de la nature et des circonstances du litige avec la plus grande précision et sincérité ;
  • Les éléments établissant la réalité du préjudice que vous alléguez ;
  • Les coordonnées de votre adversaire ;
  • Toutes les pièces et informations utiles à l’instruction de votre dossier telle que devis, factures, rapport d’expertise, lettres, convocations, avis, éventuelles assignations, etc.

Dans votre propre intérêt, ne prenez pas d’initiative sans concertation préalable avec l’assureur. Si vous prenez une mesure, de quelque nature qu’elle soit, si vous mandatez un avocat ou tout autre auxiliaire de justice, expert ou spécialiste, avant d’en avoir avisé l’assureur et obtenu son accord écrit, les frais exposés resteront à votre charge.

Conditions

La protection juridique est exclusivement réservée aux adhérents de la formule Platinium. Les adhérents « Formule Confort » et « Formule Essentielle » souhaitant bénéficier de la protection juridique doivent basculer en « Formule Platinium ». N’hésitez pas à nous contacter ou à contacter votre FNA de proximité pour toute information complémentaire.

Retrouvez dans la rubrique ci-dessous « documents complémentaires », les Conditions Générales de la protection juridique, précisant notamment le barème de prise en charge des frais de procédure.

Délestage électricité – Mesures à anticiper sur les carburants

L’approvisionnement de la France en électricité est sous très forte vigilance cet hiver et plus particulièrement pour le mois de janvier 2023. Dans ce contexte, la Direction Générale de l’Écologie et du Climat (DGEC) nous a transmis une information à communiquer à l’ensemble des acteurs de la distribution de carburants, dont les stations-services afin d’anticiper ces coupures et maintenir un niveau de service aux usager. Plus largement, le ministère nous a indiqué les mesures d’anticipation pour les entreprises ainsi que pour la gestion des salariés en cas de coupure, cliquez ici pour accéder à la note.

 

Voici les informations communiquées par le ministère pour les stations-service :

Contexte

  • L’approvisionnement de la France en électricité est sous très forte vigilance cet hiver et plus particulièrement pour le mois de janvier.
  • En cas de déséquilibre trop fort, la mise en place d’un plan national de délestage programmé permettra d’anticiper les coupures sur le réseau de distribution électrique avec une première indication à J-3 et une liste définitive transmise à J-1 l’après-midi.
  • Le délestage porte sur une durée de 2H, qui pourra être deux fois au maximum dans la journée sur une même zone (une fois le matin et une fois l’après midi).
  • Les préfectures établissent les listes des usagers du service prioritaire de l’électricité. Ceux qui sont sur ces listes ne seront pas concernés par les coupures programmées.

Objectifs

  • Il est primordial au niveau national d’être en mesure d’assurer la continuité d’approvisionnement en carburants malgré des délestages programmés.
  • Il est également nécessaire d’assurer la sécurité des personnes et des installations électriques (consignations) dans les infrastructures jugées sensibles le temps du délestage.
  • Enfin, il est nécessaire de rétablir les services des infrastructures pétrolières à l’issue du délestage et d’anticiper les mesures à prendre (réduire les temps de remise en œuvre, mobilisation des personnels compétents).

Actions attendues

  • Il est nécessaire que vous consolidiez vos plans de continuité d’activité, y compris en précisant les mesures prévues en mode dégradé en cas de coupure du réseau électrique sur les différents équipements. Ce plan pourra notamment prévoir une identification du correspondant délestage en Préfecture et du service du fournisseur électrique.
  • Nous souhaitons également que vous vous assuriez d’une bonne coordination entre les différents acteurs de la chaine logistique  (transporteurs vs stockistes, stockistes vs distributeurs) pour identifier toute action à mener au préalable ou en cas de délestage de certaines infrastructures.
  • Il es également nécessaire de veiller au bon fonctionnement des moyens de secours autonomes (onduleurs, batteries, groupes électrogènes) en particulier sur les infrastructures critiques (stations services structurantes, oléoducs, dépôts structurants par exemple).
  • Enfin, nous souhaitions que vous ayez étudié toutes les possibilités de maintenir le fonctionnement des infrastructures clés, y compris les stations-service après un délestage (remise en service en cas de délestage en soirée par exemple, mobiliser les personnes compétentes et adaptées).

 

La DGEC sera très attentive aux mesures prises et points d’attention, ainsi qu’aux remontées de difficulté d’application. Si vous rencontrez des problèmes dus au délestage d’électricité, remontez  votre témoignage via l’onglet contact.

 

Suite à un sondage réalisé auprès des adhérents FNA, nous avons sensibilisé le ministère sur les problèmes d’ordre économiques et sur le risque de dégradation du matériel que cela peut engendrer dans les stations. Le ministère a été sensible à ces remontées et espère que l’application ECOWATT permettra de soulager le réseau électrique et de fait, éviter les coupures.

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Aides à l’achat de bornes de recharges dans les stations-service

Dans le cadre de la Loi de Finances Rectificative de 2022, une aide exceptionnelle de 10 millions d’euros a été accordée pour accompagner les stations-services indépendantes dans leur transition énergétique. Cette aide, dont l’opération a été confiée à l’ADEME,  permet de cofinancer le déploiement de points de recharge pour les véhicules électriques dans les stations-service indépendantes.

 

Le programme d’aide est ouvert depuis le 1er décembre 2022 et se clôturait le 30 juin 2023. Il a été modifié (critères d’éligibilités et montants) et reconduit le 15 janvier 2024 et se clôture le 30 septembre 2024.

Qui est éligible ?

Sont éligibles, les stations-services indépendantes disposant d’un numéro de SIRET, dont les exploitants sont propriétaires de leur fonds de commerce. Leur chiffre d’affaires de l’année N-1 est au maximum de 1.2 millions d’euros. Ce chiffre d’affaires s’entend :

  • hors taxe hors carburant (y compris fioul, gasoil non routier livré ou à la pompe et recharge électrique éventuelle) pour les acheteurs fermes,
  • hors commission pour les commissionnaires,
  • hors vente de véhicules (neufs et occasion).

 

L’infrastructure de recharge électrique doit être installée dans une station service indépendante et localisée dans une commune de densité intermédiaire (« centres urbains intermédiaires« , « ceintures urbaines » et « petite ville« ) ou rurale (« bourgs ruraux« , »rural à habitat dispersé » et « rural à habitat très dispersé« ) selon la grille communale de densité à 7 niveaux de l’INSEE (retrouvez la grille dans l’onglet « documents complémentaires » ci-dessous).

 

Pour être éligible, la station ne doit pas déjà être équipée d’une installation de recharge opérationnelle de puissance DC (courant continu) cumulée au moins égale à 50 kW au moment du dépôt du dossier.

Installation éligible :

Est éligible par station, une installation composée au minimum de deux points de recharge avec connecteurs CCS haute puissance (24 kW minimum) en courant continu ainsi, que pour respecter la réglementation en vigueur, d’un connecteur de 22 Kw en courant alternatif. Si toutefois un point de recharge de 22 kW en courant alternatif confirme à la réglementation est déjà en place, le projet pourra ne pas en installer un supplémentaire. Les bornes doivent être connectées.

Au moins un des points de recharge doit être accessible aux personnes à mobilité réduite, sauf en cas d’impossibilités techniques qui devront être justifiées.

Ne sont pas éligibles au financement, les infrastructures déjà financées pour leur investissement via des aides publiques (Etat ou collectivité).

Montant de l’aide :

Les dépenses éligibles sont directement affectées au projet, elles rassemblent :

  • les coûts des infrastructures
  • les coûts de leurs installations, les coûts liés aux travaux d’aménagement (génie civil, travaux électriques, interventions sur la voirie et réseaux divers)
  • les coûts de raccordement au réseau public de distribution d’électricité

 

Les aides sont proposées sous la forme de subventions. Elles se composent de 2 parties cumulatives, avec les taux et plafonds suivants :

  • 1ʳᵉ partie : cette aide proposée sera fonction de la puissance cumulée en courant continu de l’installation.
    • Une prise en charge de 70 % des dépenses éligibles (hors coût de raccordement) de l’installation :
      • avec un plafond de 45 000 euros pour une installation de puissance cumulée inférieure à 75 kW.
      • avec un plafond de 105 000 euros pour une installation de puissance cumulée supérieure à 75 kW.

 

  • 2ᵉ partie : cette aide concerne le raccordement électrique de l’installation, indépendante de la puissance cumulée.
    • Une prise en charge de 70 % du coût de raccordement résiduel après réfaction du TURPE avec un plafond de 150 000 euros.

 

Le montant total des aides de minimis octroyées par Etat membre à une entreprise unique ne peut excéder 300 000 € pour une période de trois ans. Le candidat doit donc s’assurer que le cumul des aides « de minimis » n’excède pas le plafond de 300 000 € par entreprise unique au sens de la réglementation européenne pour une période de 3 années. Le candidat devra remplir une attestation « de minimis ».

Comment solliciter cette aide ?

Attention, pour solliciter cette aide, la station-service doit répondre à un cahier des charges bien précis (à consulter dans l’onglet « documents complémentaires » ci-dessous).

 

L’aide doit être demandée auprès de de l’Agence de la transition écologique (ADEME). Celle-ci a mis en place un dispositif de guichet ad hoc, ouvert depuis le 1er décembre 2022 sur la plateforme web AGIR : Cliquez ici pour y accéder.

 

Pour de plus amples informations, le cahier des charges en pièce jointe (onglet « documents complémentaires » ci-dessous) présente les critères d’éligibilité, le processus de dépôt, le processus d’instruction, la contractualisation,  les coûts éligibles ainsi que les aides proposées. 

 

Vérifiez votre éligibilité : Le site internet https://aides-stations-service.ademe.fr vous permet de réaliser votre fichier d’éligibilité qu’il faudra télécharger à la fin du processus de questions et de calcul de l’aide. Le fichier obtenu est dans un format CSV et devra être déposé avec les autres pièces constituant le dossier de candidature.

Durée du programme et étude des candidatures :

Le nouveau programme d’aides est ouvert depuis le 15/01/2024 et se clôture le 30/09/2024 à 17h00 (GMT+1).

Les candidatures déposées sont instruites au fur et à mesure qu’elles sont reçues, jusqu’à épuisement de l’enveloppe de crédits ouverts par la loi de finances rectificatives pour 2022 (10 millions d’euros).

Les candidatures peuvent être soumises pendant toute la période d’ouverture du programme. Toutefois, L’ADEME se réserve le droit de clore le programme avant cette date, notamment en raison du niveau de consommation de l’enveloppe allouée, ou de l’évolution du cadre légal ou réglementaire applicable au présent programme. Les informations actualisées seront publiées sur le site du programme.

 

Pour toutes informations complémentaires, vous pouvez adresser un mail à : aides-irve-ssi@ademe.fr

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Organisez les fêtes de fin d’année en toute sérénité

A l’approche des fêtes, les entreprises en profitent pour renforcer le lien social entre collègues en organisant des pots de fin d’année, qui malheureusement, ne sont pas sans risque en cas de forte consommation d’alcool. Il vaut mieux connaître vos obligations et les risques encourus en cas d’incidents engendrés par la consommation d’alcool en cette période.

Que ce soit à la demande des salariés ou sur proposition de l’employeur, la gestion des pots et repas de fin d’année doit être encadrée au regard des incidents qui peuvent arriver, il faut par conséquent, miser sur la prévention.

 

Est-il possible de consommer de l’alcool au cours d’un pot ou d’un repas de fin d’année ?

La loi n’interdit pas la consommation d’alcool sur le lieu de travail mais elle est limitée au vin, cidre, bière et poiré (article R 4228-20 du Code du travail), et sauf cas particulier lié aux conditions de travail, vous ne pouvez édicter une interdiction absolue de consommer de l’alcool en entreprise.

En tant employeur vous êtes tenu d’assurer la sécurité et la santé physique et mentale de vos salariés, en conséquence de quoi il faut encadrer, voire limiter la consommation d’alcool pendant les fêtes de fin d’année, mais aussi en cas de pot de départ d’un collègue, d’une soirée entreprise …

Votre règlement intérieur ou une note de service a peut-être prévu des mesures relatives à la consommation d’alcool.

Soyez extrêmement vigilant afin d’éviter tout risque, si un pot est organisé à l’initiative des salariés ou si vous organisez un repas. Edicter des règles de conduites claires pour vous prémunir contre l’ivresse en entreprise.

Si vous avez un comité social et économique qui gère l’organisation des pots de fin d’année ou autre festivité, sa responsabilité est également engagée.

Votre devoir d’information et de prévention

En amont, il est opportun de prendre les dispositions suivantes et d’informer au maximum et par tous moyens les salariés :

  • Limiter la quantité de bouteilles disponibles pour éviter les excès ;
  • Ne pas laisser les bouteilles en « libre-service » ;
  • Proposer des boissons non alcoolisées ;
  • Facilitez le retour des salariés : covoiturage, taxis, navettes ;
  • Avec leur accord, identifiez les salariés qui ne consomment pas d’alcool ;
  • Mettez à disposition des éthylotests ;
  • Informez les salariés sur les risques liés à l’alcool ;
  • Mettez en place une procédure, si d’avance un salarié est dans l’incapacité de conduire ou de reprendre son poste (si repas ou pot le midi) ;
  • Informez les salariés qu’en cas de faute et d’abus une sanction pourra être prise (comportement agressif…).

 

Soyez extrêmement vigilant, sensibilisez au maximum vos salariés sur les conséquences d’abus, car en cas d’accidents, la responsabilité civile et pénale des uns et des autres pourrait être engagée.

Si un accident survient pendant un évènement, il peut être considéré comme un accident du travail : ce fut le cas pour un salarié ayant reçu un bouchon de champagne dans l’œil, au cours d’un pot après le travail mais dans l’entreprise.

Si c’est en dehors du lieu de travail, le comportement déplacé d’un salarié pourra être sanctionné.

Pour en savoir plus sur les addictions, rendez-vous sur la base documentaire FNA : www.fna.fr

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Disparition des tickets de caisse : application reportée au 1er août 2023

En application de la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire (loi AGEC), les tickets de caisse et tickets de carte bancaire ne devront prochainement plus automatiquement être imprimés par le commerçant. Ce dernier ne devra les imprimer qu’à la demande du client.

Initialement prévue au 1er janvier 2023, puis au 1er avril 2023, la date d’entrée en vigueur a été repoussée par le ministère de l’économie et des finances au 1er août 2023 (décret du n° 2023-237 du 31 mars 2023)La raison invoquée par Bercy est d’une part l’inflation toujours présente, et d’autre part la nécessité pour les commerçants de se préparer. 

Un décret du 14 décembre 2022 précise les modalités d’application de cette disposition.

Quels sont les tickets concernés ?

Ne devront plus être systématiquement imprimés (sauf sur demande du client) :

  • les tickets de caisse produits dans les surfaces de vente et dans les établissements recevant du public ;
  • les tickets de carte bancaire ;
  • les tickets émis par des automates ;
  • les bons d’achat et tickets promotionnels ou de réduction d’articles de vente.

Pour obtenir un ticket de caisse imprimé, le client devra désormais le demander expressément au commerçant. Le commerçant peut également proposer à son client l’envoi de son ticket de caisse sous une forme dématérialisée (mail, SMS, QR Code) si son logiciel de caisse le lui permet. Toutefois, dans ce cas, le commerçant est dans l’obligation de respecter le RGPD et ne peut pas utiliser les coordonnées communiquées par le client pour une autre fin que celle de l’envoi du ticket (sauf accord express du client). Enfin, le commerçant ne peut pas imposer à son client l’envoi du ticket sous forme dématérialisée.

La DGCCRF indique que les stations-services sont bien concernées également : Les stations-services entrent dans les activités visées pour l’achat de carburants et autres produits (biens et services), même si elles ne sont pas stricto sensu des surfaces de vente (les stations-services relèvent des installations classées, s’agissant des espaces extérieurs non clos) ni des ERP (sauf lorsqu’elles comprennent un magasin de vente).

Une obligation d’affichage

Le professionnel doit afficher à l’endroit où s’effectue le paiement, l’information selon laquelle l’impression et la remise des tickets de caisse et de carte bancaire ne sont réalisés qu’à la demande du client. Cette information doit être facilement lisible et compréhensible de manière à ce que le consommateur comprenne qu’il est en droit d’exiger l’impression de ces tickets.

Nous vous conseillons d’apposer cette affiche dès que possible afin que les consommateurs soient informés bien en amont (affiche obligatoire à compter du 1er août 2023).

Exemple de message à afficher près des caisses 

Ticket de caisse sur simple demande à partir du 1er août 2023

Nous informons notre aimable clientèle qu’à compter du 1er août 2023, sauf exception légale, l’impression et la remise des tickets de caisse et des tickets de carte bancaire ne seront plus réalisés systématiquement.

Si vous souhaitez obtenir votre ticket de caisse ou de carte bancaire, n’hésitez pas à nous le demander, il vous sera remis sur simple demande au moment de l’achat.

Article L. 541-15-10 du code de l’environnement

Il est également conseillé aux commerçants de poser cette simple question « Souhaitez-vous le ticket ? » au moment du passage en caisse.

Des exceptions sont prévues 

Le décret prévoit également des exceptions au dispositif, c’est-à-dire les cas dans lesquels l’impression du ticket reste obligatoire.

Les tickets de caisse ou autres documents de facturation remis aux consommateurs sur lesquels sont mentionnées l’existence et la durée de la garantie légale de conformité.

⇒ Cela concerne les tickets de caisse relatifs à l’achat de biens dits « durables » tels que les appareils électroménagers, les équipements informatiques ou appareils de téléphonie par exemple. La liste complète des biens concernés se trouve à l’article D. 211-6 du code de la consommation.

les tickets de caisse ou autres documents de facturation, imprimés par les instruments de pesage à fonctionnement non automatique.

Les opérations de paiement par carte bancaire annulées, n’ayant pas abouti, ou soumises à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit, qui donnent lieu, pour raisons de sécurité, à l’impression d’un ticket remis au consommateur ;

⇒ Ainsi, les tickets de carte bancaire relatifs à des opérations annulées ou faisant l’objet d’un crédit feront, eux aussi, toujours l’objet d’une impression systématique.

Les tickets remis par des automates dont la conservation et la présentation sont nécessaires pour bénéficier d’un produit ou d’un service et permettre, le cas échéant, le calcul du montant dû en contrepartie.

 

Vous souhaitez savoir comment anticiper la suppression du ticket de caisse ? N’hésitez pas à consulter l’article suivant :  Comment transformer cette interdiction en opportunité ? 

La CNIL fait également le point sur les règles applicables et les bonnes pratiques : Fin de l’impression systématique du ticket de caisse : quelles solutions sont possibles et quelles sont les règles ?

 

N’hésitez pas à consulter la FAQ de la DGCCRF en cliquant sur ce lien  

Loi Rixain : depuis le 26 décembre 2022, interdiction de verser le salaire d’un salarié sur le compte d’un tiers

Afin d’accélérer l’égalité économique et professionnelle, la loi Rixain du 24 décembre 2021, ajoute de nouvelles dispositions concernant le versement du salaire et des prestations sociales, afin de s’assurer que le(s) salarié(s) perçoivent bien leur salaire et non une tierce personne.

Le paiement du salaire peut être effectué : en espèce, par chèque ou par virement sur un compte bancaire ou postal. L’espèce étant interdite dès que la somme à régler dépasse les 1 500 € (Article L. 3241-1 du code du travail).

En tant qu’employeur, il vous est possible de verser ladite rémunération au salarié ou, jusqu’à récemment, à une tierce personne expressément mandatée (via un écrit). Pour les personnes pacsées ou mariées non titulaire ou cotitulaire du compte, il en est de même.

Attention, depuis le 26 décembre 2022, pour lutter contre l’emprise que peut exercer une tierce personne sur le salaire d’autrui, le mandatement à une tierce personne n’est plus possible.

Par conséquent, lorsqu’un de vos salariés reçoit son salaire via un virement, celui-ci doit obligatoirement être fait sur un compte bancaire dont le salarié est titulaire ou cotitulaire.

Il va donc falloir en amont, vérifier les RIB en votre possession et les garder comme moyens de preuve, afin d’identifier si d’avance il existe à ce jour des versements effectués sur le compte d’un tiers existant.

Soyez vigilant sur le nom indiqué sur le RIB et celui mentionné sur le bulletin de salaire, notamment suite à un changement de nom dans le cadre d’un mariage … Vous devez vous assurer que le versement est conforme à la loi.

Pour les nouveaux embauchés, informez-les des modalités de paiement de la rémunération.

Les risques encourus ?

  • Ne pas respecter les modalités de paiement du salaire est puni par une contravention de 3ème classe ;
  • Si vous versez la paye du salarié sur le compte d’un tiers, vous pourriez, à titre de sanction, être dans l’obligation de verser une seconde fois le salaire à son bénéficiaire.

Quid du salaire pour les mineurs de moins de 18 ans ?

La loi permet le paiement à un tiers légalement autorisé : mineur non émancipé, décès du salarié, saisie sur rémunération.

Cette obligation concerne également les indemnités journalières de sécurité sociale qui seront payés sur un compte détenu par le bénéficiaire.

N’hésitez pas à communiquer auprès de vos salariés sur ce sujet afin de faire un état des lieux de ceux qui pourraient être concernés.

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Les heures supplémentaires

Minima garantis 2021

Tarification accidents du travail / maladie professionnelles 2021

SMIC AU 1ER JANVIER 2018

Salaires minima conventionnels 2018 au 1er Janvier 2018

Revalorisation du SMIC au 1er janvier 2021

Charges sociales janvier 2018

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SMIC au 1er janvier 2017

Salaires minima au 1er janvier 2017

SMIC au 1er janvier 2016

Salaires minima au 1er janvier 2016

SMIC au 1er janvier 2015

Salaires minima au 1er janvier 2015

retour à l’accueil de la base documentaire

La majoration tarification de la cotisation accidents du travail abrogée par le décret du 28 décembre 2023

Cette majoration forfaitaire applicable normalement au 1er janvier 2022 et a été reportée au 1er janvier 2023 – Décrets du 9 décembre 2021 et du 14 mars 2017, puis au 1er janvier 2024.

Le dispositif a été abrogé définitivement par le décret du 28 décembre 2023. Décret d’abrogation

Pour rappel : il existe 3 modes de tarification des accidents du travail (AT)

  • La tarification collective pour les entreprises de moins de 20 salariés dans le cas général, et celles de moins de 50 salariés en Alsace Moselle, avec un taux déterminé au niveau national ;
  • La tarification individuelle au réel pour les entreprises de 150 salariés et plus, 300 et plus pour l’Alsace Moselle, avec un taux déterminé en fonction du coût des AT et maladie professionnelle dans l’entreprise ;
  • La tarification mixe pour les entreprises de 20 à moins de 150 salariés, et de 50 à moins de 150 salariés en Alsace Moselle.

 Pour quelles entreprises ?

La majoration forfaitaire ne concerne que les entreprises soumises à la tarification collective et uniquement celles de 10 à moins de 20 salariés dans le cas général et de 10 à moins de 50 salariés pour l’Alsace Moselle.

Par conséquent, si vous relevez de la tarification collective avec l’effectif correspondant, le taux net collectif de l’établissement sera majoré forfaitairement dans la limite de 10 % du taux net moyen national, lorsqu’au moins un AT ayant entrainé un arrêt de travail est intervenu au cours de chacune des 3 dernières années connues, soit en pratique une majoration dès qu’il y a au moins un AT avec arrêt de travail par an.

Pour l’Alsace Moselle, notez que le taux net collectif est majoré forfaitairement dans la limite de 10 % du taux net moyen national lorsqu’il y a au moins un AT avec arrêt de travail par an au cours de chacune des 3 dernières années connues :

  • Pour les entreprises de 10 salariés et inférieur à 20, lorsque le total des AT est au moins égal à 3 sur cette période ;
  • Si effectif au moins égal à 20 et inférieur à 35, lorsque le total des AT est au moins égal à 7 sur cette période ;
  • Si effectif de 35 à moins de 50, lorsque le total des AT est au moins égal à 9 sur cette période.

 

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Les attestations Pôle Emploi évoluent

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Les réunions à distance du CSE pendant l’état d’urgence sanitaire

Elections des représentants au CSE MAJ 2021

Calendrier électoral CSE

Les Sanctions disciplinaires

Discrimination sur l’apparence physique au travail

Questionnaire Accords d’entreprise et actions spécifiques

Lettre fédérale n° 10-19 Questionnaire accord d’entreprise et actions spécifiques

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Jobs d’été

Embauche d’un salarié majeur : les formalités à effectuer

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Voiture de service ou véhicule de fonction – Avantage en nature

Modèle convention forfait jours

Modèle compte-rendu entretien professionnel bilan 6 ans

Modèle de clause de confidentialité

Indemnité de congés payés

Fermeture de l’entreprise pour congés

Congé parental d’éducation

Congé Maternité et indemnités journalières pour les travailleuses indépendantes

RPCS dispenses d’affiliation

Modèle DUE frais santé

Rupture du contrat d’apprentissage

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Rémunération du contrat d’apprentissage

Rupture de la période d’essai de l’apprenti par l’employeur

Emploi des jeunes de 15 à moins de 18 ans

Congé pour examen accordé aux apprentis

Les registres obligatoires et conseillés en entreprise

Affichages ou diffusions obligatoires

Affichage obligatoire à l’attention du personnel

Affichage harcèlement

Affichage Egalité professionnelle hommes femmes

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Bulletin de paie simplifié janv 2018

SMIC au 1er janvier 2017

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SMIC au 1er janvier 2016

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SMIC au 1er janvier 2015

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RGPD Note d’information aux salariés traitement des données personnelles

RGPD Note d’information aux salariés

RGPD Lettre confidentialité du salarié amené à manipuler des données à caractère personnel

La gestion des jours fériés

Le contrat d’apprentissage

Contrat d’apprentissage ou de professionnalisation

Affichage égalité de rémunération hommes femmes

retour à l’accueil de la base documentaire

Protocole de rupture amiable d’un CDD

Avec l’accord des deux parties employeur/salarié, il est toujours possible de rompre d’une manière anticipée un contrat à durée déterminée avant son échéance. 

Parmi les dispositifs de rupture anticipée d’un contrat de travail à durée déterminée, on trouve la rupture amiable du CDD. Cela permet aux 2 parties de rompre avant le terme initial le contrat.

Ce type de rupture anticipée fait souvent suite à une demande du salarié, mais peu aussi être le fait de l’employeur, mais c’est moins courant.

Si d’avance un de vos salariés vous demandait la mise en place de ce type de rupture, vous devriez :

  • obtenir un courrier daté et signé du salarié, par lequel il demande une rupture amiable de son CDD. En effet, il faut que vous ayez une preuve claire et non équivoque de sa demande. Le courrier devra aussi contenir une date de rupture effective du contrat demandée par le salarié (vous décidez si vous acceptez ou non ou en proposez une autre).
  • Si vous faites droit à sa demande, vous accusez réception du courrier et vous rédigez le protocole de rupture amiable (à compléter en fonction de la demande salarié ou employeur) dont un modèle se trouve dans documents complémentaires ; les 2 parties signent le document en 2 exemplaires originaux (un pour vous , un pour le salarié).

Notez que dans le cadre de cette rupture, le salarié est éligible à la prime de précarité de 10%.

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Les attestations Pôle Emploi évoluent

Le report des visites médicales et examens médicaux des salariés

Le congé de paternité et d’accueil de l’enfant

FNE formation

Offre de contrat de travail ou promesse de contrat de travail

La vidéosurveillance / la géolocalisation

SMIC AU 1ER JANVIER 2018

Salaires minima conventionnels 2018 au 1er Janvier 2018

Revalorisation du SMIC au 1er janvier 2021

Reçu pour solde de tout compte

Licenciement pour motif économique

Le licenciement pour inaptitude d’origine professionnelle (suite AT ou maladie pro) – avec reclassement

Les réunions à distance du CSE pendant l’état d’urgence sanitaire

Elections des représentants au CSE MAJ 2021

Calendrier électoral CSE

Les Sanctions disciplinaires

Discrimination sur l’apparence physique au travail

Questionnaire Accords d’entreprise et actions spécifiques

Lettre fédérale n° 10-19 Questionnaire accord d’entreprise et actions spécifiques

L’année 2020 et le casse-tête des entretiens professionnels

Jobs d’été

Embauche d’un salarié majeur : les formalités à effectuer

Modèle Accord annualisation du temps de travail

Voiture de service ou véhicule de fonction – Avantage en nature

Modèle convention forfait jours

Modèle compte-rendu entretien professionnel bilan 6 ans

Modèle de clause de confidentialité

Indemnité de congés payés

Fermeture de l’entreprise pour congés

Congé parental d’éducation

Congé Maternité et indemnités journalières pour les travailleuses indépendantes

RPCS dispenses d’affiliation

Modèle DUE frais santé

Rupture du contrat d’apprentissage

Rémunération du contrat de professionnalisation

Rémunération du contrat d’apprentissage

Rupture de la période d’essai de l’apprenti par l’employeur

Emploi des jeunes de 15 à moins de 18 ans

Congé pour examen accordé aux apprentis

Les registres obligatoires et conseillés en entreprise

Affichages ou diffusions obligatoires

Affichage obligatoire à l’attention du personnel

Affichage harcèlement

Affichage Egalité professionnelle hommes femmes

Les vêtements de travail et le temps d’habillage

Charges sociales janvier 2018

Bulletin de paie simplifié janv 2018

SMIC au 1er janvier 2017

Salaires minima au 1er janvier 2017

SMIC au 1er janvier 2016

Salaires minima au 1er janvier 2016

SMIC au 1er janvier 2015

Salaires minima au 1er janvier 2015

RGPD Note d’information aux salariés traitement des données personnelles

RGPD Note d’information aux salariés

RGPD Lettre confidentialité du salarié amené à manipuler des données à caractère personnel

La gestion des jours fériés

Le contrat d’apprentissage

Contrat d’apprentissage ou de professionnalisation

Affichage égalité de rémunération hommes femmes

retour à l’accueil de la base documentaire

Jurisprudence : attention à la possible requalification de l’astreinte en temps de travail effectif

Au sein de votre entreprise, et notamment au regard de votre activité de dépannage, vous avez peut être mis en place des astreintes. Attention à la potentielle requalification en temps de travail effectif.

Pour rappel, l’astreinte au regard de l’article L 3121-9 du Code du travail, est une période pendant laquelle le salarié, sans être sur son lieu de travail et sans être à la disposition permanente et immédiate de l’employeur, doit être en mesure d’intervenir pour accomplir un travail.

Par ailleurs, vu l’article L 3121-1 du Code du travail, la durée du travail effectif est le temps pendant lequel le salarié est à la disposition de l’employeur et se conforme à ses directives sans pouvoir vaquer librement à des occupations personnelles.

L’astreinte n’est pas considérée comme étant du travail effectif alors que l’intervention oui. Malheureusement, la frontière entre les deux n’est pas évidente à identifier et peut être sujette à requalification par les tribunaux.

Pour preuve, la décision récente de la Cour de cassation du 26 octobre 2022, N°21-14,178.

Les faits sont les suivants : un salarié engagé comme dépanneur, avec intervention sur une portion délimitée d’autoroute, devait se tenir dans, ou à proximité immédiate des locaux de l’entreprise, pour répondre sans délai à toute demande d’intervention.

L’une des réclamations du salarié était le paiement d’heures supplémentaires, car il considérait qu’il se trouvait en permanence à la disposition de son employeur et ne pouvait vaquer à ses occupations personnelles, transformant du coup son temps d’astreinte en temps de travail effectif.

La Cour d’appel rejette sa demande alors que la Cour de cassation lui donne raison, au motif que, puisque le salarié invoquait le court délai d’intervention qui lui était imparti pour se rendre sur place après l’appel de l’usager, la Cour d’appel aurait du vérifier si le salarié avait été soumis, au cours des périodes d’astreinte, à des contraintes d’une intensité telle qu’elles avaient affecté, objectivement et très significativement, sa faculté de gérer librement le temps pendant lequel ses services n’étaient pas sollicités et de vaquer à des occupations personnels.

La Cour de cassation pour rendre sa décision, reprend un principe posé par la Cour de juriste de l’union européenne (CJUE) dans un arrêt du 9 mars 2021 –  Aff C-344/19 et C-580/19 : une période d’astreinte doit être considérée comme du temps de travail effectif si elle soumet le salarié à des contraintes d’une intensité telle qu’elles affectent très significativement sa faculté de gérer son temps libre. Ce peut être le cas lorsque le délai imparti au salarié pour intervenir est trop court.

La qualification de l’astreinte dépend du niveau de disponibilité du salarié, les juges vont apprécier si celui-ci peut ou non vaquer à ses occupations personnelles et s’il est employé à un temps de travail professionnel. Les juges vont devoir faire une appréciation globale des modalités de l’astreinte.

La Cour de cassation ayant renvoyé l’affaire devant une autre cour d’appel et dans l’attente de sa décision, il faut être vigilant lors de la mise en place des astreintes dans votre entreprise.

Une autre décision de la Cour de Cassation en date du 21 juin 2023 N° 20-21843 reprend les mêmes arguments.

En l’espèce, un dépanneur autoroutier devait se ternir prêt avec un de ses collègues à intervenir dans le cadre d’astreintes, et devait garder sur lui nuit et jour, semaine et week end compris un téléphone de permanence afin d’intervenir dans les 30 minutes maximum (délai comprenant le temps de trajet nécessaire pour se rendre sur le lieu).

Il saisit la justice pour obtenir la requalification des astreintes en temps de travail effectif, vu le bref délai imposé pour effectuer le dépannage, mais aussi au regard du nombre élevé d’interventions réalisées au cours de la période d’astreinte.

La Cour d’appel le déboute, mais la Cour de cassation lui donne raison et renvoi l’affaire devant une autre Cour d’appel. 

La Cour de cassation retient comme argument, le court délai d’intervention imparti au salarié pour se rendre sur place, impactant sa faculté de vaquer à des occupations personnelles.

Les décisions des deux Cours d’appel, nous donnerons, on l’espère plus d’indications pour éviter une requalification.

La dernière décision de la Cour de cassation du 14 mai 2025, N°24-14.319, reprend le même argumentaire.

En l’espèce, un salarié d’un hôtel réclame le paiement d’heures supplémentaires correspondant à des astreintes de nuit, qu’il considère comme du temps de travail effectif. La Cour d’appel reconnait des interventions régulières, mais l’existence d’une borne d’accès autonome atténuait les contraintes du salarié. La Cour de cassation censure, et reproche aux juges d’avoir constaté que le salarié intervenait régulièrement pendant ses astreintes, sans pour autant examiner si les contraintes auxquelles il était soumis étaeient suceptibles de reqaulifier ces périodes en temps de tavail effectif.

L’affaire est renvoyée devant une autre cour d’appel.

 

QUELQUES CONSEILS ET PRECONISATIONS

Eviter d’imposer au salarié :

  • une réponse immédiate quand l’astreinte se déclenche mais laissez lui un délai entre pour répondre – cass soc 26 oct 2022 ;
  • concernant le délai d’intervention : un délai immédiat ou très bref ne convient pas, il faut mettre en place un délai d’intervention raisonnable supérieur à 30 minutes qui permettrait au salarié de vaquer librement à ses occupations ;
  • éviter les périodes d’astreinte trop longues et récurrentes en modifiant les plannings : une semaine par mois parait raisonnable ;
  • surtout ne pas mentionner que l’exécution de l’astreinte doit se faire depuis le domicile du salarié, ou d’un lieu proche et immédiat de celui-ci  ;

INSERER DANS LA CLAUSE D’ASTREINTE

  • la contrepartie financière ou sous forme de repos à la période d’astreinte ;
  • bien définir la programmation des périodes d’astreintes, ses modalités de mise en place, le délai de prévenance du salarié ;
  • indiquer le mode d’organisation de l’astreinte : service / atelier concernés, modalités d’intervention ;
  • ne pas oublier à chaque fin de mois pour les salariés ayant effectué une astreinte de leur remettre un document récapitulatif du nombre d’heures accomplies au cours du mois écoulé et la compensation qui en découle ;
  • préciser l’incidence du temps d’intervention pendant une astreinte sur le temps de repos des salariés et donc des limites qui permettent de garantir les temps de repos quotidien hebdomadaires à ne pas dépasser, ainsi que les durée maximales.

 

 

 

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Contrat de travail à durée indéterminée – CDI

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Convocation entretien préparatoire en vue d’une rupture conventionnelle

Le pouvoir disciplinaire de l’employeur

Le précis de l’apprentissage

Mise à disposition de cabinets d’aisance

Chauffage des locaux -ambiance thermique

Faut il installer des lavabos et des douches dans l’entreprise ?

Les lavabos en entreprise

Les vestiaires dans l’entreprise

Durée légale et durée maximale du travail

Le temps de trajet

Le temps d’habillage

La clause de non concurrence

Epargne salariale, intéressement, participation

Résiliation des contrats de complémentaires santé (mutuelle)

Avenant dans le cadre d’un temps partiel thérapeutique

Le licenciement pour inaptitude d’origine non professionnelle – sans obligation de reclassement

Le cumul emploi retraite (salariés – indépendants) au 1er septembre 2023

Le SMIC au 1er octobre 2021

Déclaration et reconnaissance d’un accident du travail – accident du travail mortel

Contribution à la formation professionnelle : acompte à régler avant le 15/09/2021

Le Capital de fin de carrière

Soyez prudent dans la gestion d’un abandon de poste

Le bulletin officiel de la sécurité sociale – BOSS

Le solde de tout compte

Temps partiel thérapeutique – reconnaissance – mise en place

Trame entretien professionnel

Trame entretien annuel d’évaluation

La modification du contrat de travail

Les conséquences de la sous – qualification d’un salarié

La visite médicale de reprise et de pré reprise, et le rendez vous de liaison depuis la loi santé au travail

Le compte épargne temps

Travaux interdits et réglementés pour l’emploi des jeunes de 15 à 18 ans

Procédure de licenciement pour inaptitude non professionnelle sans reclassement

Modèle notification de licenciement pour faute grave dans le cas d’un abandon de poste

Aide au financement du permis de conduire des apprentis

Gérer les addictions en entreprise

Charges sociales au 1er janvier 2021

Convention collective – janvier 2022

Conditions légales de départ à la retraite jusqu’au 1er septembre 2023

Le licenciement pour absences répétées et ou prolongées

Le dispositif de prime exceptionnelle de pouvoir d’achat – PEPA – « Prime Macron »

Les opérateurs de compétence (OPCO) – L’OPCO Mobilités

L’entretien professionnel – L’entretien d’état des lieux récapitulatif

Les heures supplémentaires relatives au travail des vendeurs

L’astreinte

Les heures supplémentaires

Réduction du temps de travail et contrat de travail

Repos quotidien et repos hebdomadaire

Indemnisation du salarié cadre suite indisponibilité maladie ordinaire ou professionnelle, accident du travail

Arrêt maladie, accident de travail – ouvriers – employés – agents de maîtrise

Usage d’entreprise – engagement unilatéral de l’employeur

La gestion sanitaire des vagues de chaleur

Congés payés et maladie

Congés payés synthèse

Minima garantis 2021

Le temps de pause et de restauration

Travail de nuit

Travail le dimanche

Modèle de mise en demeure de présomption de démission en cas d’abandon de poste

Modèle convocation entretien préalable à sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement

La médaille d’honneur du travail

Convention collective services de l’automobile – CCNSA – Avril 2021

L’interdiction de vapoter – Cigarette électronique

L’interdiction de fumer

Affichage consigne incendie

Tarification accidents du travail / maladie professionnelles 2021

Les nouveaux critères de prise en charge du FAFCEA pour 2021

Contributions à la formation professionnelle et la taxe d’apprentissage 2020-2021

Aide à l’embauche : l’opération « emploi franc+ » et le dispositif « emploi franc »

Les attestations Pôle Emploi évoluent

Le report des visites médicales et examens médicaux des salariés

Le congé de paternité et d’accueil de l’enfant

FNE formation

Offre de contrat de travail ou promesse de contrat de travail

La vidéosurveillance / la géolocalisation

SMIC AU 1ER JANVIER 2018

Salaires minima conventionnels 2018 au 1er Janvier 2018

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SMIC au 1er janvier 2017

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La gestion des jours fériés

Le contrat d’apprentissage

Contrat d’apprentissage ou de professionnalisation

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Contrôles DGCCRF : attention à vos obligations

La DGCCRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes) procède régulièrement à des vagues de contrôles des professionnels de l’automobile (entretien et réparation en 2021 / vente de véhicules et deux trois roues motorisés neuf ou d’occasion en 2021-2022) et relève à cette occasion l’absence partielle d’informations à destination des consommateurs.

Les consommateurs n’hésitent pas saisir les services de la répression de fraudes notamment par le biais de l’application Signal Conso : en 2021 ce sont près de 689 signalements qui ont été recensés.

Nous vous proposons de consulter les rapports de la DGCRF en cliquant sur ces liens :

Entretien et réparation automobile : les garagistes négligent encore trop souvent l’information du consommateur | economie.gouv.fr

Enquête de la DGCCRF sur les ventes de voitures et de deux-trois roues motorisés neufs ou d’occasion : 2/3 des établissements contrôlés en anomalie

Suite à un signalement, une enquête peut être diligentée au sein de l’établissement concerné. Même lorsque le signalement du consommateur porte sur un point précis (par exemple, absence de mention des coordonnées du médiateur), les agents de la Répression des fraudes ne sont pas tenus par ce seul signalement et ont un pouvoir de contrôle très large.

Quels sont les points de contrôle le plus généralement constatés ?

Entretien et réparation : Près de 700 signalements concernant la réparation automobile ont été recensés en 2021 par la DGCCRF, ce qui a conduit à une investigation d’envergure chez les professionnels : vérification de la bonne application de la réglementation, protection économique du consommateur et sanction des comportements déloyaux.

Vente VO/VN : Entre janvier 2021 et mars 2022, les services de la DGCCRF ont mené plus de 2 000 contrôles auprès d’établissements de vente de véhicule neuf et d’occasion, automobile ou deux-trois roues motorisés. Cette enquête avait pour but de contrôler le respect des dispositions protégeant le consommateur dans le secteur, notamment la conformité de l’information précontractuelle et la loyauté des contrats d’achat. La constatation d’anomalies dans près de deux tiers des établissements contrôlés (64 %) a conduit les services de la DGCCRF à engager de nombreuses actions pour mettre fin aux manquements et assurer la protection des consommateurs et de leur pouvoir d’achat.

 

*************************

Pour en savoir plus sur les pouvoirs d’enquête et de sanction de la DGCCRF, veuillez trouver dans la rubrique « documents complémentaires » en bas de page, le rapport téléchargeable en format PDF.

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Vous trouverez dans notre base documentaire un grand nombre d’informations sur vos obligations, en consultant les notes suivantes :

Information sur le médiateur

Tout professionnel, quel que soit son domaine d’activité, a l’obligation  de proposer à ses clients d’avoir recours à un médiateur de la consommation en lui communiquant les coordonnées du médiateur dont il relève. Les adhérents de la FNA sont automatiquement rattachés à notre médiateur et sont à jour de leurs obligations pendant la durée de leur adhésion. Mais attention, vous devez afficher un certain nombre d’information obligatoires sur le médiateur.

Retrouvez ces informations dans la note Médiateur auprès de la FNA – FNA

Informations précontractuelles

Avant la signature d’un contrat, les professionnels ont l’obligation de communiquer à leurs clients un certain nombre d’informations.

Retrouvez ces informations dans la noteInformations Précontractuelles obligatoires – FNA

Informations sur la PIEC 

Le réparateur a pour obligation de proposer à ses clients la possibilité d’opter pour l’utilisation de pièces issues de l’économie circulaire (PIEC), quelle que soit l’intervention sur le véhicule : entretien du véhicule, panne mécanique, travaux de carrosserie, etc.

Il doit prévoir un affichage dans son établissement et sur son site Internet.

Retrouvez ces informations dans la noteObligation de proposer une Pièce Issue de l’Economie Circulaire (PIEC) (anciennement appelées pièces de réemploi) – FNA

Obligation d’affichage des tarifs

Dans le secteur de l’automobile, c’est l’arrêté du 27 mars 1987 qui précise les conditions d’application et impose de procéder à un affichage des tarifs du professionnel afin que la clientèle soit parfaitement informée.

Retrouvez ces informations dans la note : Obligation d’affichage des tarifs – FNA

Obligation de délivrance d’une note 

Les prestations de service réalisées pour un client « consommateur » doivent donner lieu à la remise obligatoire d’une « note » avant le paiement du prix, lorsque la prestation est supérieure à 25 € TTC. En deçà de 25 €, la remise de la note est facultative mais elle doit être délivrée si le client en fait la demande.

En outre le professionnel doit prévoir un affichage obligatoire au lieu d’accueil de la clientèle (lieu du paiement de la prestation) informant cette dernière des conditions de remise de la note.

Retrouvez ces informations dans la note : Délivrance obligatoire d’une note à partir de 25 € – FNA

Informations sur la garantie légale de conformité

La garantie légale de conformité a été renforcée depuis le 1er janvier 2022. De nouvelles dispositions viennent renforcer les obligations d’information du consommateur : depuis le 1er octobre 2022, les conditions générales du vendeur et les contrats de garantie commerciale devront comporter des mentions supplémentaires relatives à la garantie légale de conformité pour les biens et les services numériques.

Retrouvez ces informations dans la noteGarantie légale de conformité : nouveaux encadrés obligatoires à compter du 1er octobre 2022 – FNA

Tenue du livre de police

Les professionnels de l’achat/revente (véhicules d’occasion, pièces d’occasion) doivent tenir un registre de police et le présenter à toute réquisition (Police, Gendarmerie, Douanes, DDPP, Services fiscaux…).

Retrouvez ces informations dans la note : Le livre de police

Conditions de location d’un véhicule (courte durée)

Les professionnels de la location de véhicules doivent respecter les dispositions de l’arrêté du 17 mars 2015 relatif à l’information précontractuelle des consommateurs et à la publicité des prix des prestations de location de véhicules. Il est obligatoire d’informer les consommateurs sur les conditions générales de la location (obligation d’information précontractuelle) et de remettre un devis avant toute signature du contrat de location.

Retrouvez ces informations dans la note : Location de véhicules de courte durée

Remise du rapport de contrôle technique

Selon l’article R.323-22 du code de la route, en cas de vente d’un véhicule de moins de 3,5 tonnes, mis en circulation pour la première fois depuis plus de quatre ans, le vendeur doit remettre à l’acquéreur non professionnel du véhicule, avant la conclusion du contrat, le procès-verbal de la visite technique établi depuis moins de six mois.

Le rapport de contrôle technique ne doit en aucun cas être remis au client le jour de la livraison du véhicule ou lors de l’établissement de la facture. Vous seriez dans ce cas en infraction.

En effet, présenté avant la conclusion du contrat, le PV contribue à permettre à l’acheteur de s’engager en toute connaissance de cause.

Retrouvez ces informations dans la note Vente VO : la remise du rapport de contrôle technique

Informations sur le démarchage téléphonique (Bloctel)

Les professionnels doivent informer leurs clients de la possibilité qu’ils ont de s’inscrire sur la liste Bloctel. Cette mention figure généralement dans les conditions générales dans réparation ou les conditions générales de vente.

Retrouvez ces informations dans la note : Démarchage téléphonique et prospection commerciale – FNA

Contrôle sur le site internet du professionnel

Les agents de la répression des fraudes peuvent être amenés à réaliser des contrôles sur le site internet du professionnel, notamment des vendeurs automobiles.

Pour ces professionnels de l’automobile, le site internet constitue une vitrine mettant en avant leurs prestations et les véhicules en vente. Le site internet inclut souvent la possibilité de réserver un véhicule en payant un acompte en ligne. Dans ce cas, le site internet constitue un site marchand et doit répondre aux obligations relatives à la vente à distance, notamment l’obligation d’information sur l’exercice du droit de rétractation.

 

Par ailleurs, le site internet doit obligatoirement contenir :

  • les mentions légales
  • la politique de confidentialité et de gestion des cookies
  • les conditions générales de vente (s’il s’agit d’un site marchand)

 

Retrouvez toutes les informations sur la vente en ligne dans les notes suivantes :

Vente sur Internet aux consommateurs

L’exercice du droit de rétractation en cas de vente à distance d’un véhicule

 

Contrôle des diplômes pour les activités artisanales réglementées

Les agents de la répression des fraudes sont également habilités à demander la communication des diplômes pour les activités réglementées : entretien et réparation mécanique, carrossier, contrôleur technique …

Pour rappel : le code de l’artisanat prévoit les qualifications à respecter dans certaines professions artisanales.

Principe : l’activité d’entretien et réparation des véhicules terrestres à moteur et des machines agricoles, forestières et de travaux publics ne peut être exercée que par une personne qualifiée professionnellement ou sous le contrôle effectif et permanent de celle-ci (article L. 121-1-1° du code de l’artisanat)

Cette personne, soit lorsqu’elle exerce elle-même tout ou partie de cette activité d’entretien et réparation, soit lorsqu’elle contrôle l’exercice par des personnes non qualifiées, doit être titulaire :

– d’un certificat d’aptitude professionnelle,

– ou d’un brevet d’études professionnelles

–  ou d’un diplôme ou titre de niveau égal ou supérieur homologué ou enregistré lors de sa délivrance au répertoire national des certifications professionnelles institué par l’article L. 6113-1 du code du travail.

Ces diplômes ou titres doivent attester d’une qualification dans le métier ou dans la partie d’activité en cause (Article R. 121-1 du code de l’artisanat)

A défaut de diplômes ou de titres cette personne doit justifier d’une expérience professionnelle de trois années effectives sur le territoire de la République, de l’Union européenne ou d’un autre Etat partie à l’accord sur l’Espace économique européen, acquise en qualité de dirigeant d’entreprise, de travailleur indépendant ou de salarié dans l’exercice du métier ou de la partie d’activité en cause.