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Les titres restaurant

Le titre restaurant est un titre de paiement, qui permet au salarié de payer ses repas à des conditions financières avantageuses (prise en charge conjointe employeur et salarié), si l’entreprise n’a pas de cantine ou de restaurant d’entreprise. Article L.3262-1 et suivants du Code du travail.

Pour rappel : si l’effectif de votre entreprise est inférieur à 50 salariés, vous avez l’obligation de prévoir un emplacement permettant à ces derniers de se restaurer, sans obligation d’équiper cet espace avec par exemple un micro-ondes, un réfrigérateur, tables et chaises, point d’eau…

Sachez qu’il est interdit aux salariés de prendre leur repas dans les locaux affectés au travail, sauf autorisation de l’inspecteur du travail et après avis du médecin du travail.

En complément de ce local repas, vous pouvez distribuer des titres restaurant aux salariés.

Est-ce obligatoire ?

Non, aucune obligation légale ne vous l’impose, il s’agit d’un avantage consenti aux salariés.

Si vous désirez en instaurer, il faudra passer par une décision unilatérale de l’employeur, en ayant réfléchi au préalable et en regard des exonérations patronales (voir ci-après) à : la valeur faciale du titre remis au salarié, au taux de participation employeur, au fournisseur, au  format des titres (papier, carte, application).

Sachez que le salarié n’est pas obligé d’accepter les titres-restaurant (sauf obligation par accord collectif), il devra dans ce cas vous faire un écrit indiquant son refus.

Pour qui ?

En général il s’agit des salariés de l’entreprise, soit ceux liés à l’entreprise par un contrat de travail. Les mandataires sont exclus, sauf si cumul de leur mandat avec un contrat de travail.

Pour les stagiaires (stage d’au moins 2 mois), ils ont accès au restaurant d’entreprise ou aux titres restaurant dans les mêmes conditions que les salariés de l’organisme d’accueil. Pour les stages inférieurs à 2 mois, vous pouvez volontairement participer à l’attribution de titres restaurant (tolérance de l’ACOSS).

Les télétravailleurs ne peuvent être exclus, au regard du principe général d’égalité de traitement entre salariés, qui est d’ordre public. Article L. 1222-9 du Code du travail.

Les salariés à temps partiel : peuvent se voir attribuer des titres restaurant que pour les jours où ils sont présents dans l’entreprise qui intègrent une pause déjeuner. Exemple : horaires de travail de 9h à 17h avec pause déjeuner de 12h à 13H.

Par conséquent, les salariés qui terminent leur travail quotidien en fin de matinée ou qui le commencent en début d’après-midi, et qui ont donc la possibilité de prendre leur repas après la fin de leur journée de travail ou avant le commencement de cette journée, ne peuvent bénéficier de titres restaurant.

Nombre de tickets par salarié ?

Un ticket par jour de travail effectué. Par conséquent, le congé maladie, congés annuels, congés RTT…ne donnent pas droit à l’attribution d’un titre restaurant. Mais un salarié, en formation professionnelle dans le cadre du plan de développement des compétences, peut en bénéficier car certes, il est absent de son poste de travail mais dans le cadre d’exécution de son contrat de travail.

Depuis 2022, des changements sur la réglementation des titres restaurant

Depuis le 18 août 2022, les titres restaurant peuvent être utilisés pour l’achat de tout produit alimentaire, qu’il soit ou non directement consommable, jusqu’au 31 décembre 2023.

La loi prolongeant leur utilisation pour tout produit alimentaire jusqu’au 31 décembre 2026 est parue – LOI n° 2025-56 du 21 janvier 2025 visant à prolonger la dérogation d’usage des titres restaurant

Par conséquent, jusqu’au 31 décembre 2026, il sera possible d’utiliser les titres restaurant pour acquitter en tout ou partie le prix de tout produit alimentaire, qu’il soit ou non directement consommable (riz, pâtes, farine, oeufs …).

Le plafond journalier d’utilisation des titres reste à 25 euros par jour.

Les avantages pour l’employeur

La participation de l’employeur au financement des titres restaurant constitue un avantage consenti au salarié en contrepartie de son travail qui entre en principe dans l’assiette des cotisations de sécurité sociale et contributions alignées, de la CSG et de la CRDS et de l’impôt sur le revenu.

Cependant, sous réserve de respecter certaines limites et plafond, la part contributive de l’employeur au financement des titres restaurant est exonérée de cotisations patronales (articles L 3262-1 du Code du travail et L 136-2, III du CSS) concernant :

  • La taxe sur les salaires, de la participation construction, de la participation formation continue, de la taxe d’apprentissage et sa contribution additionnelle, de l’impôt sur le revenu ;
  • Des cotisations salariales et patronales de sécurité sociale et contributions dont l’assiette est alignée sur celle de ces cotisations (cotisation solidarité autonomie, Fnal, versement transport, cotisations d’assurance chômage, cotisation AGS, cotisations de retraite complémentaire Agirc-Arrco, cotisation AGFF), de la CSG et de la CRDS.

La participation patronale au financement des titres, est exonérée de cotisations sociales et d’impôt sur le revenu à condition :

  • D’être comprise entre 50 et 60% de la valeur nominale du titre ;
  • Qu’elle soit inférieure à un certain montant.

Le plafond d’exonération

Au 1er janvier 2025, la participation de l’employeur au financement d’un titre restaurant est exonérée de cotisations sociales et des CSG et CDRS dans la limite de 7,26 €.

Le montant maximal de la participation patronale est passé 7,26 € au 1er janvier 2025 (VS 7,18 en 2024).

Par conséquent, la participation patronale 2025 est totalement exonérée de charges sociales jusqu’à 7,26 euros, lorsque la valeur du titre restaurant ouvrant droit à l’exonération maximale est comprise entre 12,10 euros pour une contribution patronale de 60 % de la valeur du titre (7,26/0.60) et de 14,52 euros (7,26/0.50) pour une contribution patronale de 50% de la valeur du titre.

Qu’en est il si la prise en charge employeur est inférieure à 50 % de la valeur du titre ? Le BOSS apporte une précision importante au regard de cette situation : dans ce cas, la totalité de la participation patronale est réintégrée dans l’assiette des contributions et cotisations.

Notez-le : si l’une de ces limites est dépassée, seule la partie excédentaire est réintégrée dans l’assiette des cotisations (sauf mauvaise foi ou agissements répétés).

Prime frais de repas

Une prime dont l’objet est de couvrir les frais de repas revêt la même nature que la contribution patronale aux titres restaurant et doit être ajoutée à cette dernière pour apprécier les limites d’exonération (cass. soc. 14 juin 1990, n° 87-18536, BC V n° 287). De même, lorsque le comité social et économique (CSE) participe conjointement avec l’employeur au financement des titres-res-taurant, il doit être fait masse des deux participations pour apprécier le droit à l’exonération.

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Contrat de travail à durée indéterminée – CDI

Synthèse des visites médicales

Fusion des documents Avis arrêt de travail, Certificat médical spécifique AT- MP

Convocation à entretien préalable à une éventuelle mesure pouvant aller jusqu’au licenciement

Nouvelle présentation du bulletin de paie version 2022

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Déclaration du statut de conjoint collaborateur

Convocation entretien préalable à sanction

Egalité professionnelle – femmes – hommes

Chèques cadeaux – bons d’achat

La retraite progressive des salariés et des indépendants au 1er septembre 2023

La mise à la retraite du salarié et la mise à la retraite d’office

Départ à la retraite anticipée pour carrière longue

Guide pratique de l’aide à l’embauche des alternants – janvier 2024

Modèle document unilatéral – APLD

Activité partielle de longue durée – APLD

L’indemnité inflation

Convocation entretien préparatoire en vue d’une rupture conventionnelle

Le pouvoir disciplinaire de l’employeur

Le précis de l’apprentissage

Mise à disposition de cabinets d’aisance

Chauffage des locaux -ambiance thermique

Faut il installer des lavabos et des douches dans l’entreprise ?

Les lavabos en entreprise

Les vestiaires dans l’entreprise

Durée légale et durée maximale du travail

Le temps de trajet

Le temps d’habillage

La clause de non concurrence

Epargne salariale, intéressement, participation

Résiliation des contrats de complémentaires santé (mutuelle)

Avenant dans le cadre d’un temps partiel thérapeutique

Le licenciement pour inaptitude d’origine non professionnelle – sans obligation de reclassement

Le cumul emploi retraite (salariés – indépendants) au 1er septembre 2023

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Déclaration et reconnaissance d’un accident du travail – accident du travail mortel

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Temps partiel thérapeutique – reconnaissance – mise en place

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La modification du contrat de travail

Les conséquences de la sous – qualification d’un salarié

La visite médicale de reprise et de pré reprise, et le rendez vous de liaison depuis la loi santé au travail

Le compte épargne temps

Travaux interdits et réglementés pour l’emploi des jeunes de 15 à 18 ans

Procédure de licenciement pour inaptitude non professionnelle sans reclassement

Modèle notification de licenciement pour faute grave dans le cas d’un abandon de poste

Aide au financement du permis de conduire des apprentis

Gérer les addictions en entreprise

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Conditions légales de départ à la retraite jusqu’au 1er septembre 2023

Le licenciement pour absences répétées et ou prolongées

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Rémunération du contrat d’apprentissage

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SMIC au 1er janvier 2015

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RGPD Note d’information aux salariés traitement des données personnelles

RGPD Note d’information aux salariés

RGPD Lettre confidentialité du salarié amené à manipuler des données à caractère personnel

La gestion des jours fériés

Le contrat d’apprentissage

Contrat d’apprentissage ou de professionnalisation

Affichage égalité de rémunération hommes femmes

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Loi de finances pour 2023 : principales mesures pour les entreprises

La loi de finances pour 2023 (loi 2022-1726 du 30/12/2022) est parue au Journal Officiel le 31 décembre 2022. Cette note vous présente une sélection des principales dispositions intéressant les entreprises.

Mesures en faveur de la transition énergétique

  • Réactivation du crédit d’impôt pour la rénovation énergétique des PME

La loi de finances pour 2021 prévoit un crédit d’impôt pour les dépenses de rénovation énergétique des bâtiments des PME industrielles, commerciales, artisanales, libérales ou agricoles soumises à l’IS ou à l’IR selon le régime du bénéfice réel (dépenses engagées entre le 1er octobre 2020 et le 31 décembre 2021).  Cette mesure est réactivée et trouve à s’appliquer au titre des dépenses engagées entre le 1er janvier 2023 et le 31 décembre 2024.

Plus d’information en cliquant sur ce lien.

  • Prorogation du crédit d’impôt pour acquisition et pose de systèmes de charge pour véhicules électriques

Les contribuables bénéficient d’un crédit d’impôt pour les dépenses relatives à l’acquisition et la pose d’un système de charge pour véhicule électrique dans leur habitation principale ou dans leur résidence secondaire. Le crédit d’impôt s’applique au taux de 75 % et dans la limite de 300 € par système de charge, pour le calcul de l’impôt dû l’année du paiement de la dépense.

Ce dispositif, qui s’appliquait aux dépenses supportées entre le 1er janvier 2021 et le 31 décembre 2023 a été prolongé de 2 ans et s’applique ainsi dans les mêmes conditions, aux dépenses supportées jusqu’au 31 décembre 2025.

  • Taux réduit de TVA (5,5 %)

⇒ Pour les prestation de pose, d’installation et d’entretien d’infrastructures de recharge pour les véhicules électriques, sous réserve du respect de certaines conditions. 

Le taux réduit s’applique aux prestations réalisées à compter du 1er janvier 2023 qui répondent aux conditions cumulatives suivantes :

-les infrastructures de recharge sont installées dans des locaux à usage d’habitation et sont destinées aux résidents ;

-la configuration des infrastructures de recharge répond aux exigences techniques fixées par arrêté conjoint des ministres chargés du budget et de l’énergie ;

-les prestations sont réalisées par une personne répondant à des critères de qualification définis par ce même arrêté.

⇒ Pour les prestations de rénovation énergétique, sous réserve du respect des conditions suivantes :

-les prestations sont effectuées dans des locaux achevés depuis au moins 2 ans ;

-ces locaux sont affectés ou destinés à être affectés, à l’issue des travaux, à un usage d’habitation ;

-les prestations portent sur la pose, l’installation, l’adaptation ou l’entretien de matériaux, d’équipements, d’appareils ou de systèmes ayant pour objet d’économiser l’énergie ou de recourir à de l’énergie produite à partir de sources renouvelables par l’amélioration de l’isolation thermique, du chauffage et de la ventilation, ainsi que de la production d’eau chaude sanitaire.

Nouvelle taxe sur les bureaux dans les départements des Bouches-du-Rhône, du Var et des Alpes-Maritimes

A l’instar de la taxe sur les bureaux qui existe déjà dans la région Ile de France, il est créé une nouvelle taxe sur les locaux à usage de bureaux, les locaux commerciaux, les locaux de stockage et les surfaces de stationnement situés dans les départements des Bouches-du-Rhône, du Var et des Alpes-Maritimes, à compter du 1er janvier 2023.

La TSB (Taxe sur les bureaux) est due par les personnes privées ou publiques, propriétaires de locaux imposables ou titulaires d’un droit réel sur des locaux taxables. Elle s’applique pour les locaux supérieurs à une certaine limite (exemple: bureaux > 100 m2 / locaux commerciaux > 2500 m2 / locaux de stockage > 5000 m2 / surfaces de stationnement > 500 m2)

Plus d’information en cliquant sur ce lien.

Crédit d’impôt formation des dirigeants prolongé

Les entreprises relevant d’un régime réel d’imposition des bénéfices qui forment leurs dirigeants peuvent bénéficier d’un crédit d’impôt. Le montant de ce crédit d’impôt est égal au produit du nombre d’heures de formation par le taux horaire du SMIC, dans la limite de 40 heures par année civile et par entreprise.

Initialement réservé aux heures de formation effectuées jusqu’au 31 décembre 2022, ce crédit d’impôt est étendu aux heures de formation effectuées jusqu’au 31 décembre 2024.

Consultez la note FNA en cliquant ici.

Nouvelles exonérations à la taxe sur la masse en ordre de marche (TMOM ou « malus au poids »)

La taxe sur la masse en ordre de marche (TMOM) est due sur le premier certificat d’immatriculation délivré en France dès lors que le véhicule a fait l’objet d’une première immatriculation en France ou à l’étranger à compter du 1er janvier 2022. La TMOM (taxe sur la masse en ordre de marche), s’applique dès lors que la masse du véhicule excède le seuil de 1800 kg et le tarif applicable est de 10€/kg.

Un certain nombre d’exonérations sont prévues. A compter du 1er janvier 2023,  sont désormais exonérés les véhicules hors route exclusivement affectés aux besoins :

– Des services d’incendie et de secours (SDIS) pour la réalisation des missions de protection des personnes, des animaux, des biens et de l’environnement contre les accidents, les sinistres et les catastrophes ;

– Des associations agréées aux opérations de secours (participation aux opérations de secours et à l’encadrement des bénévoles dans le cadre des actions de soutien aux populations, mise en place des dispositifs de sécurité civile dans le cadre de rassemblements de personnes, assurer des actions d’enseignement et de formation en matière de secourisme).

La même exonération est prévue pour les véhicules soumis au malus sur les émissions polluantes.

Consultez la note FNA en cliquant ici.

Suppression de la CVAE sur 2 ans

La contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) est supprimée totalement à partir du 1er janvier 2024. La première étape de cette suppression sera la réduction de moitié de la CVAE en 2023. Ainsi, l’ensemble des taux d’imposition de la CVAE sera divisé par 2.

Plus d’information en cliquant sur ce lien.

Hausse des prix de l’énergie

Maintien du bouclier tarifaire en 2023

Le bouclier tarifaire est une mesure qui vise à protéger les ménages français contre les augmentations successives des tarifs de l’électricité et du gaz, et qui a été mis en place en 2021. Le bouclier tarifaire a été étendu aux petites entreprises de moins de 10 salariés réalisant un chiffre d’affaires inférieur à 2 M€ et dont le compteur électrique est d’une puissance inférieure à 36 kVA.

La loi de finances pour 2023 maintient le bouclier tarifaire électricité en 2023 dans la limite de 15 %. Pour bénéficier du bouclier tarifaire, les entreprises doivent se rapprocher de leur fournisseur d’énergie et lui transmettre une attestation sur l’honneur d’éligibilité à cette aide.

Consultez la note FNA en cliquant ici.

Amortisseur électricité

Pour aider les PME et les autres entités non éligibles au bouclier tarifaire sur l’électricité, un amortisseur électricité est mis en place en 2023. L’amortisseur électricité va prendre effet à compter du 1er janvier 2023, jusqu’au 31 décembre 2023. Il concernera l’ensemble des contrats de fourniture en cours pour l’année 2023, y compris ceux déjà signés en 2022, et ceux qui seront signés en cours d’année 2023. Pour bénéficier de l’amortisseur électricité, les entreprises doivent se rapprocher de leur fournisseur d’énergie et lui transmettre une attestation sur l’honneur d’éligibilité à cette aide.

Consultez la note FNA en cliquant ici.

Titres-restaurant

La participation de l’employeur au financement des titres-restaurant est exonérée de cotisations et d’impôt sur le revenu lorsque son montant :

  • est compris entre 50 % et 60 % de la valeur libératoire du titre
  • et ne dépasse pas une valeur forfaitaire maximale par titre-restaurant, revalorisée à 5,92 € au 1er septembre 2022. Cette limite est revalorisée à un montant fixé à 6,50 € à compter du 1er janvier 2023.

 

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La taxe annuelle sur les véhicules de tourisme 2024 (ex-TVS)

Arnaques concernant vos véhicules et ceux de vos clients : Soyez vigilants

Comment se termine un bail commercial

Accompagnement fiscal des PME

Taxe sur les surfaces commerciales – TaSCom

Loi d’adaptation au droit européen (loi DADUE) : dispositions intéressant les entreprises

Vous vous demandez si votre entreprise est à jour de ses principales obligations? La FNA vous donne une check liste pour vous aider!

Taxe Foncière : Mécanisme de la revalorisation de la valeur locative des locaux professionnels

Délestage électrique pour les entreprises : comment l’anticiper ?

La FNA propose à ses adhérents une protection juridique adaptée

Disparition des tickets de caisse : application reportée au 1er août 2023

A qui incombent les dépenses de travaux ?

Limitation de la hausse des loyers commerciaux

La taxe annuelle sur les véhicules de tourisme 2023 (ex-TVS)

Règles de plafonnement et de déplafonnement du loyer

Arnaques et pratiques frauduleuses : Guide de prévention

Signalement des anomalies dans la formation des prix – DGCCRF

Dispositif d’accompagnement individualisé pour les indépendants

Aides au financement de la transition écologique des entreprises

Causes de révision du loyer d’un bail commercial

Négocier son bail commercial

Renouvellement du bail commercial

Déclaration Européenne de Services (DES)

Que faire en cas de cyberattaque ?

Simplification des démarches des entreprises

La taxe annuelle à l’essieu pour les véhicules de plus de 12 tonnes

Tutoriel pour partager des articles sur les reseaux sociaux facebook / twitter / linkedin

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Restriction de l’eclairage nocturne des commerces

Conditions d’utilisation du w garage et démarches pour l’obtenir

Contravention pour non designation du conducteur : seules les personnes morales sont concernees

Equipement obligatoire d’un ethylotest

Fichier des Véhicules Assurés (FVA) : Quels véhicules doivent-être déclarés par les professionnels de l’automobile ?

Infractions au Code de la route : Le chef d’entreprise doit désigner le conducteur auteur de l’infraction commise avec un véhicule de l’entreprise

Le véhicule de démonstration

Contribution sociale de solidarite

Cotisation fonciere des entreprises

Cotisation sur la valeur ajoutee des entreprises

Droit a l’erreur Loi pour un Etat au Service d’une Société de Confiance

Loi de finances pour 2019

Prestations de services hors de France : quelle TVA appliquer ?

Taxe sur les véhicules de société (TVS 2021)

Protection des données personnelles (RGPD) : le registre des traitements des données

Alerte vigilance arnaque RGPD

LE RGPD Règlement Européen sur la Protection des Données Personnelles

Obligation de déclarer les bénéficiaires effectifs des sociétés

Obligation d’utiliser un logiciel de caisse conforme

Durée de conservation des documents d’entreprise

Confidentialité des comptes des micro-entreprises et des petites entreprises

Alerte sur les e-mail frauduleux

Les aides pour l’entreprise

Le nantissement du fonds de commerce

La caution personnelle du chef d’entreprise

Mise en garde contre les registres, annuaires et sites de référencement professionnels

Accessibilité, Démarchage ABUSIF

COVID 19 : Plan de règlement des dettes fiscales

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Aide a l’achat d’un véhicule peu polluant : bonus écologique, prime a la conversion et prime au rétrofit du 1er janvier 2023 au 14 février 2024

Afin d’accélérer le renouvellement du parc Automobile Français, l’Etat a mis en place des aides à l’acquisition de véhicules propres : Un bonus écologique, une prime à la conversion et une prime au rétrofit. Découvrez ici les barèmes applicables du 1er janvier 2023 au 14 février 2024.

Attention, depuis le 10 octobre 2023, un nouveau critère d’éligibilité est entré en compte pour le bonus écologique : le score environnemental. En dessous d’un certain score (60/100), le véhicule ne peut pas être éligible au bonus écologique. Cliquez ici pour tout comprendre concernant ce nouveau critère. 

 

 

Nouveautés au 1er janvier 2023 :

    • Augmentation du montant maximal du bonus écologique (VP et camionnettes) pour les ménages des cinq premiers déciles de revenus.
    • Augmentation du montant maximal de la prime à la conversion/prime au rétrofit (VP et camionnettes) pour les ménages des deux premiers déciles de revenus et les ménages des cinq premiers déciles de revenus gros rouleurs.
    • Suppression de la prime à la conversion et la prime au rétrofit pour les ménages des deux derniers déciles de revenus.
    • Suppression de la condition d’attribution d’une aide ayant le même objet par une collectivité locale pour l’octroi d’une surprime ZFE, portant son montant à 3 000 € en cas d’attribution d’une aide locale d’au moins 2 000 €.
    • Modification des montant du bonus taxis PMR Franciliens à 15 000 € pour un véhicule CRIT’AIR 1 et 22 000 € pour un véhicule électrique, et extension de son périmètre d’application aux collectivités accueillant des épreuves des JOP 2024 (Jeux Olympiques et Paralympiques).
    • Diminution de 1 000 € du barème de bonus écologique pour les voitures particulières dont le prix d’acquisition est inférieur à 47 000€ et les camionnettes, sauf pour les ménages des cinq premiers déciles de revenus.
    • Limitation à un maximum, par période de trois ans, du nombre de bonus écologique pouvant être respectivement octroyés à une personne physique pour l’acquisition d’une voiture particulière, d’une camionnette, ou d’un véhicule à moteur à deux trois roues ou quadricycle à moteur neufs.
    • Suppression du bonus écologique et de la prime à la conversion pour les voitures particulières dont le prix d’acquisition est supérieur à 47 000€ ou dont la masse en ordre de marche est supérieur à 2.4 tonnes.
    • Suppression du bonus écologique pour les véhicules lourds, à l’exception des véhicules de catégorie M2 et N2 bénéficiant d’une dérogation de poids.
    • Suppression de la prime au rétrofit électrique pour les véhicules lourds, à l’exception des petits trains routiers touristiques et des véhicules de catégories M2 et N2 bénéficiant d’une dérogation de poids.
    • Actualisation des valeurs des revenus fiscaux de référence par part et des taux d’émission de dioxyde de carbone intervenant dans la détermination des montants d’aides.

LE BONUS ECOLOGIQUE 2023

Bonus écologique pour l’achat d’un véhicules neufs :

Qui peut en bénéficier ?

Le bonus écologique pour l’achat d’un véhicule neuf permet au particulier (majeur) ou à l’entreprise justifiant d’un domicile ou d’un établissement en France qui acquiert ou prend en location (avec option d’achat ou pour une durée minimale de 2 ans), un véhicule particulier, un véhicule appartenant à la catégorie M2 et N2 bénéficiant d’une dérogation de poids (inférieur ou égal à 3.5 tonnes), une camionnette, un vélo électrique, certains 2 ou 3 roues, électrique et/ou hydrogène, de bénéficier d’une aide financière.

 

Nouveauté 2023 : Le bonus écologique est majoré lorsque la personne physique est en dessous d’un certain revenu fiscal de référence.

Revenu fiscal de référence, qu’est-ce que c’est ?

– Revenu fiscal de référence (RFR)

Le revenu fiscal de référence est calculé par l’administration, à partir de plusieurs éléments du foyer. Il est visible sur l’avis d’imposition dans le cadre « Vos références ».

– Revenu fiscal de de référence par part fiscales

Le Revenu fiscal de référence doit être rapporté (divisé) au nombre de parts fiscales du bénéficiaire. Il se trouve au verso de l’avis d’imposition, rubrique « nombre de parts ».

 

Conditions d’obtention :

  • Les véhicules de démonstration ouvrent droit au versement de l’aide s’ils sont vendus ou loués à un consommateur final dans les 12 mois suivant leur première immatriculation.

Par exemple : Un professionnel de l’automobile qui acquiert un véhicule pour l’affecter à l’usage « démonstration », ne peut pas bénéficier du bonus lors de son achat. Cependant, le particulier ou l’entreprise qui acquiert ce véhicule de démonstration pour l’immatriculer définitivement à son nom, pourra bénéficier du bonus si le véhicule est acheté entre ses 3 et 12 mois (durée de validité d’un VD) ;

  • Les loueurs longue durée, loueurs avec option d’achat ou négociants ne peuvent percevoir l’aide pour les véhicules qu’ils acquièrent en vue d’une vente ou d’une location. En effet, seul l’utilisateur final est susceptible d’en bénéficier ;
  • Les véhicules importés sont éligibles au bonus écologique à condition qu’ils n’aient jamais été immatriculés dans leur pays d’origine.
  • Le véhicule neuf ne doit pas être cédé par l’acquéreur ou le titulaire d’un contrat de location dans l’année suivant sa première immatriculation, ni avant d’avoir parcouru au moins 6 000 kilomètres. Pour les 2 ou 3 roues et quadricycles à moteur, il doit également s’écouler 12 mois, entre la première immatriculation et la cession et le véhicule doit avoir parcouru au moins 2 000 km.
  • Une personne physique ne peut bénéficier du bonus écologique (pour les véhicules VP, M2, Camionnettes et N2) qu’une fois tous les trois ans.
  • Les cycles, cycles à assistance électrique ou les remorques électriques pour cycle ne doivent pas être cédés par l’acquéreur dans les 12 mois et doivent être identifiés : Identifiant de 10 caractères alphanumériques mis en place sur le cadre du cycle (sauf circonstances particulières) et il est lisible sans difficulté sur un cycle en stationnement (cliquez ici pour en savoir plus).

Quels véhicules ?

Le bonus « véhicules neufs » concerne les véhicules électriques, ou hydrogènes et ceux utilisant une combinaison de ces deux énergies

Attention, depuis le 10 octobre 2023, un nouveau critère d’éligibilité est entré en compte pour le bonus écologique : le score environnemental. En dessous d’un certain score (60/100), le véhicule ne peut pas être éligible au bonus écologique. Cliquez ici pour tout comprendre concernant ce nouveau critère. 

Sont concernés :

  • Les véhicules particuliers (M1)
  • Les véhicules M2 (véhicule conçu et construit pour le transport de personnes, comportant, outre le siège du conducteur, plus de huit places assises) bénéficiant d’une dérogation de poids (prévue au IV de l’article R. 312-4 du code de la route), d’un poids total autorisé en charge inférieur ou égal à 3.5 tonnes.
  • Les camionnettes (N1)
  • Les véhicules N2 (véhicule conçu et construit pour le transport de marchandises) bénéficiant d’une dérogation de poids (prévue au IV de l’article R. 312-4 du code de la route), d’un poids total autorisé en charge inférieur ou égal à 3.5 tonnes.
  • Les 2 ou 3 roues et quadricycles motorisés
  • Les cycles, cycles à assistance électrique qui n’utilisent pas de batterie au plomb ou les remorques électriques pour cycle

Nouveauté au 1er janvier 2023

1.  Pour bénéficier du bonus écologique, les véhicules particuliers et véhicules M2 éligibles doivent répondre à deux conditions :

  • Coût d’acquisition inférieur à 47 000€ TTC (incluant le cas échéant, le cout d’acquisition ou de location de la batterie).
  • Masse en ordre de marche inférieure à 2 400 kg. La masse en ordre de marche, correspond à la « masse du véhicule en service avec carrosserie et dispositif d’attelage en cas de véhicule tracteur de catégorie autre que M1 (en kg) ». Elle se trouve au point G. du certificat d’immatriculation.

 

2. Une personne physique ne peut bénéficier du bonus écologique (pour les véhicules VP, M2, Camionnettes et N2) qu’une fois tous les trois ans.

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Bonus écologique pour l’achat d’un véhicule d’occasion :

Qui peut en bénéficier ?

Bénéficie du bonus écologique pour l’achat d’un véhicule d’occasion, le particulier (personne physique majeure) justifiant d’un domicile ou en France qui acquiert ou prend en location (dans le cadre d’une durée supérieure ou égale à 2 ans), un véhicule automobile déjà immatriculé depuis 2 ans, circulant à l’électricité et/ou l’hydrogène.

Conditions d’obtention :

  • Le modèle et la version doivent être inscrits sur la liste des véhicules ayant bénéficié d’un bon score environnemental : cliquez ici pour accéder à cette liste.
  • Le véhicule doit avoir fait l’objet d’une première immatriculation depuis au moins deux ans à la date de facturation du véhicule ou de versement du premier loyer
  • Le véhicule doit être immatriculé en France dans une série définitive
  • Le véhicule ne doit pas être cédé par l’acquéreur ou le titulaire d’un contrat de location dans les 2 ans suivant sa date de facturation ou de versement du premier loyer
  • Le véhicule acquis ne doit pas appartenir à un membre du même foyer fiscal
  • L’acheteur ne peut bénéficier du bonus « véhicule d’occasion » qu’une fois tous les trois ans

Quels véhicules ?

Le bonus « véhicule d’occasion » concerne les véhicules utilisant l’électricité, l’hydrogène ou une combinaison des deux comme source exclusive d’énergie.

Sont concernés :

  • Les véhicules particuliers (M1)
  • Les camionnettes (N1)
  • Les véhicules N2 (véhicule conçu et construit pour le transport de marchandises) et M2 (véhicule conçu et construit pour le transport de personnes, comportant, outre le siège du conducteur, plus de huit places assises)  bénéficiant d’une dérogation de poids (prévue au IV de l’article R. 312-4 du code de la route), d’un poids total autorisé en charge inférieur ou égal à 3.5 tonnes.

 

Le modèle et la version de ces véhicules doivent être inscrits sur la liste des véhicules ayant bénéficié d’un bon score environnemental : cliquez ici pour accéder à cette liste

 

Montants du bonus écologique (neuf et occasion) accordés pour la période du 1er janvier 2023 au 31 décembre 2023

Un bonus supplémentaire de 1 000 € est accordé aux bénéficiaires du bonus pour les véhicules neufs (VP, camionnettes, 2/3 roues et quad) des personnes physiques et personnes morales domiciliées en Guadeloupe, Réunion, Guyane, Martinique et à Mayotte. Le véhicule doit circuler dans ces zones au minimum 6 mois suivant son acquisition.

 

  • Les 2 ou 3 roues ou quadricycles motorisés électriques :

Depuis le 1er janvier 2017, un bonus écologique a été créé pour l’achat des 2 ou 3 roues et quadricycles motorisés électriques NEUFS. Le montant de l’aide dépend de la puissance maximale nette du moteur.

– Si leur moteur est doté d’une puissance maximale nette supérieure ou égale à 2 kilowatts (ou à 3 kilowatts en application de la directive 2002/24/ CE du Parlement européen et du Conseil du 18 mars 2002)  et s’ils ne sont pas dotés d’une batterie au plomb, le montant du bonus est de 250 € par kWh d’énergie de la batterie, sans être supérieur au plus faible des deux montants suivants : 27 % du coût d’acquisition TTC OU 900 .

– Si leur moteur est doté d’une puissance maximale nette inférieure à 2 kilowatts et s’ils ne sont pas dotés d’une batterie au plomb,  le montant du bonus est fixé à 20% du coût d’acquisition TTC, sans être supérieur à 100 €.

 

  • Cycles électriques :

L’aide à l’acquisition d’un cycle (« bonus vélo ») neuf est réservée aux seules personnes physiques dont le revenu fiscal de référence par part est inférieur ou égal à 14 089 € ou à toute personne morale justifiant d’un établissement en France. Les personnes en situation de handicap, titulaires de la carte mobilité inclusion comportant la mention « invalidité » ou les titulaires de la carte « d’invalidité militaire » peuvent également en bénéficier (sans condition de revenu).  

 

Conditions d’obtention : 

Le vélo électrique ou la remorque électrique pour cycle doit obligatoirement être identifié.

Le vélo neuf ne doit pas être cédé par son acquéreur dans l’année suivant son acquisition.

Une personne physique ne peut en bénéficier qu’une fois.

 

    • Pour les cycles à pédalage assisté acquis par une personne physique :

Le montant du bonus est fixé à 40% du coût d’acquisition, dans la limite de : 

        • 400 € si il est acquis par une personne physique dont le revenu fiscal de référence par part est inférieur ou égal à 6 358 € ou par une personne en situation de handicap ou titulaire d’une carte d’invalidité ou d’invalidité militaire.
        • 300 € pour les autres cas.

 

 

    •  Pour les cycles aménagés, (pour permettre le transport de personnes ou de marchandises à l’arrière ou l’avant du conducteur ou pour répondre aux besoins de personnes en situation de handicap), pour les vélos pliants et pour les remorques électriques pour cycle :

Le montant du bonus est fixé à 40% du coût d’acquisition dans la limite de :

        • 2 000 € si le cycle est acquis par une personne physique dont le revenu fiscal de référence par part est inférieur ou égal à 6 358 € ou par une personne en situation de handicap ou titulaire d’une carte d’invalidité ou d’invalidité militaire.
        • 1 000 € pour les autres cas.

 

  • Vélos non électriques

L’aide à l’acquisition d’un cycle sans assistance électrique neuf est réservée aux seules personnes physiques dont le revenu fiscal de référence par part est inférieur ou égal à 6 358 €. Les personnes en situation de handicap, titulaires de la carte mobilité inclusion comportant la mention « invalidité » ou les titulaires de la carte « d’invalidité militaire » peuvent également en bénéficier.

Le montant de l’aide est fixé à 40% du cout d’acquisition, dans la limite de 150 €.

 

Cliquez ici pour télécharger l’infographie du ministère des transports concernant le bonus écologique et la prime à la conversion pour l’achat d’un vélo.

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Quelles démarches pour percevoir le bonus écologique ?

Deux solutions s’offrent à l’acquéreur du véhicule pour recevoir le bonus écologique :

  • Soit le professionnel accepte de déduire directement le bonus à l’achat du véhicule

Si le professionnel accepte d’avancer le montant du bonus, celui-ci sera déduit du prix d’achat TTC.

Le bonus et sa majoration éventuelle doivent être identifiés et visibles sur la facture : il y aura une ligne spécifique indiquant le montant du bonus accordé.

Attention: Il faut absolument indiquer le montant exact du bonus écologique sur la facture (en le retranchant du TTC) avec la mention « Bonus écologique-Aide à l’acquisition et à la location de véhicules peu polluants »En cas de versement simultanée d’une prime à la conversion, la facture doit faire apparaître distinctement le montant des deux aides. Plusieurs professionnels ont été épinglés pour n’avoir pas respecté ces conditions (l’ASP leur a demandé le remboursement des montants versés).

Le vendeur sera directement remboursé par l’État des avances qu’il a consenties, à condition qu’il ait conclu une convention spécifique avec l’Agence de Services et de Paiement (ASP).

Comment faire pour être conventionné ?

1. Télécharger la convention sur le site de l’ASP (https://www.asp-public.fr/bonus-ecologique-et-prime-la-conversion-lespace-des-professionnels-pour-les-vehicules-immatricules)

2. Remplir et signer la convention ainsi que ses annexes

3. Joindre un extrait K-bis de moins de 3 mois et un RIB

 Attention : la convention prend effet à sa date de signature avec l’ASP. Pour pouvoir procéder à l’avance du Bonus et/ou de la prime à la conversion, le professionnel doit attendre le retour de la convention signée.

Les professionnels conventionnés bénéficient d’un extranet qui leur est dédié : https://www.asp-public.fr/bonus-ecologique-et-prime-la-conversion-lespace-des-professionnels-pour-les-vehicules-immatricules

Attention :

Le professionnel titulaire de la convention avec l’ASP s’assure de l’éligibilité du dossier constitué sous sa responsabilité.

Il réunit la liste des pièces justificatives mentionnées à l’annexe 1 de la  convention, s’assure de leur validité et de leur conformité à cette annexe. Il est également responsable de leur conservation pendant une durée de trois ans, en plus de l’année de la demande de remboursement.

Le titulaire de la convention est responsable des données qu’il enregistre et transmet à l’ASP via l’Extranet mis à sa disposition, en vue du remboursement des avances consenties aux bénéficiaires finaux ou du versement de l’aide lorsqu’il en est lui-même le bénéficiaire.

Il ne peut demander à l’ASP de procéder à des saisies complémentaires pour les dossiers gérés sous sa responsabilité.

Cliquez ici pour consulter un courrier de l’ASP : Rappels sur les modalités de mise en œuvre de la convention avec l’ASP.

  • Soit l’acquéreur fait personnellement sa demande de bonus

Si le professionnel n’avance pas le montant du bonus, pour bénéficier de l’aide, l’acheteur doit formuler sa demande en ligne sur le téléservice suivant :  https ://www.primealaconversion.gouv.fr/dboneco/#/home.

Le dossier de demande doit être déposé dans les 6 mois maximum à compter de la date de facturation du véhicule, ou dans le cas d’une location, à compter de la date du 1er versement du loyer prévue par l’échéancier.

Cette demande devra être accompagnée des pièces justificatives suivantes :

  • Copie de la pièce d’identité du demandeur ;
  • Un justificatif de domicile, en France, de moins de 3 mois ;
  • Un relevé d’identité bancaire ou postal au nom du bénéficiaire ;
  • Une copie du certificat, même provisoire, d’immatriculation ;
  • La date d’immatriculation et la date de la première immatriculation ;
  • Le genre national ;
  • Le taux d’émissions de CO2 par km ;
  • Les caractéristiques du véhicule, notamment l’appellation commerciale complète et le numéro de série ;
  • La valeur vénale de la batterie ou, à défaut, sa valeur assurée ;
  • L’engagement sur l’honneur :
    • Pour un véhicule acquis, à ne pas revendre le véhicule et à fournir la preuve, à toute demande de l’ASP, de la possession du véhicule pour une durée de 6 mois suivant son acquisition, ni avant d’avoir parcouru 6 000 km ;
    • Pour un véhicule loué, à ne pas modifier la durée du contrat et à fournir la preuve, à toute demande de l’ASP, de la possession du véhicule pour une durée de deux ans suivant la conclusion du contrat.

 

  • S’il s’agit d’un véhicule de démonstration, une copie du certificat de première immatriculation en France ou, pour un véhicule de démonstration acquis à l’étranger, tout document du constructeur, importateur, concessionnaire attestant que le véhicule a été affecté, pour une durée comprise entre 3 mois minimum et un an maximum, à des opérations de présentation et d’essai auprès de leur clientèle.

Si le dossier est incomplet, l’ASP en informe le demandeur par lettre simple et l’invite à compléter son dossier dans un délai de 30 jours. À défaut de régularisation, la demande d’aide est refusée et l’organisme en informe le demandeur par lettre simple.

Attention : en cas de cumul du bonus et de la prime de conversion (pour la mise à la casse d’un vieux véhicule diesel), il faudra adresser un seul dossier pour les 2 aides car leur paiement est simultané. Cependant, si le vendeur ou le loueur de véhicules n’avance que l’une ou l’autre des aides, deux demandes de versement distinctes pourront être présentées.

La liste des pièces justificatives nécessaires à l’acquisition ou à la location d’un 2 ou 3 roues, quad ou d’un vélo électrique diffère un peu. Pour connaître les pièces exactes exigées, voir arrêté du 29 décembre 2017, article 1, 2° et 3°.

 

 

Bonus écologique « jeux olympiques et paralympiques » pour les taxis transportant des personnes à mobilité réduite :

Une aide dite « bonus JOP 2024 » est attribuée pour un chauffeur de taxis (les VTC sont exclus) qui acquiert ou prend en location (avec option d’achat ou pour une durée minimale de 2 ans), un véhicule à moteur.

Qui peut en bénéficier ?

Peuvent bénéficier de cette aide, les taxis titulaires d’une autorisation de stationnement sur la voie publique, en attente de la clientèle, afin d’effectuer, à la demande de celle-ci et à titre onéreux, le transport particulier des personnes et de leurs bagages.

L’autorisation de stationnement doit être : 

  • Soit délivrée par le préfet de police de Paris
  • Soit porter sur tout ou partie du territoire de la communauté d’agglomération Châteauroux Métropole, de l’une des métropoles de Bordeaux, de Lyon, d’Aix-Marseille-Provence, de Nantes, de Nice Côte d’Azur et Saint-Étienne ou de la métropole européenne de Lille.

Pour être éligible à l’aide, le titulaire de l’autorisation de stationnement doit avoir conclu une convention relative au transport par taxi de personnes à mobilité réduite et d’utilisateurs de fauteuils roulants avec le préfet de police de Paris ou avec le préfet du département concerné.

Quels véhicules ?

A la date de facturation ou de versement du premier loyer, le véhicule acquis ou loué doit répondre à certaines conditions :

  • Emettre une quantité de CO2 inférieure ou égale à 170g/km ;
  • Utiliser :
    • Soit l’électricité, l’hydrogène ou une combinaison des deux comme source exclusive d’énergie ;
    • Soit l’essence, le gaz naturel, le GPL, l’éthanol ou le superéthanol comme source partielle ou exclusive d’énergie ;
  • Être un véhicule de transport de personnes équipé pour être accessible aux personnes à mobilité réduite et comportant, outre le siège du conducteur, huit places assises au maximum ;

  • Répondre aux caractéristiques techniques particulières d’accessibilité aux personnes à mobilité réduite et aux utilisateurs de fauteuils roulants ;

  • Être un véhicule neuf : ne pas faire l’objet précédemment d’une première immatriculation en France ou à l’étranger

  • Être immatriculé en France dans une série définitive ;

  • N’est pas être cédé par l’acquéreur ou le titulaire du contrat de location dans les quatre ans suivant sa première immatriculation et justifier de l’exploitation effective et continue de l’autorisation de stationnement, pendant quatre ans suivant sa première immatriculation sur le territoire de l’Île-de-France ;

Quels montants ?

Pour les véhicules utilisant l’électricité, l’hydrogène ou une combinaison des deux comme source exclusive d’énergie : 40% du coût d’acquisition dans la limite de 22 000 €.

Pour les véhicules utilisant l’essence, le gaz naturel, le GPL, l’éthanol ou le superéthanol comme source partielle ou exclusive d’énergie : 40% du coût d’acquisition dans la limite de 15 000 €.

Conditions particulières : 

  • Pour être éligibles, les demandeurs n’ont pas de dette fiscale ou sociale impayée au 31 décembre 2019, à l’exception de celles qui, à la date de dépôt de la demande d’aide, ont été réglées ou sont couvertes par un plan de règlement. Il n’est pas tenu compte des dettes fiscales inférieures ou égales à un montant de 1500 euros ni de celles dont l’existence ou le montant font l’objet, au 1er mai 2022, d’un contentieux pour lequel une décision définitive n’est pas intervenue.

 

  • L’aide JOP 2024 n’est pas cumulable avec le bonus écologique et la prime à la conversion pour voiture particulière et camionnette.

 

  • Les demandes d’aide devront être déposées avant le 31 décembre 2024.

 

  • Cette aide est attribuée dans la limite des 1 000 premiers dossiers complets et éligibles

Quelle démarche pour l’obtenir ? 

Les dossiers sont à déposer sur un téléservice dédié : https://puma.asp-public.fr/puma/aide/52.

Pour tout renseignement ou demande d’aide, veuillez prendre contact par mail à l’adresse bonus-taxi-PMR@asp-public.fr ou par téléphone au 0800 74 74 00 (service et appel gratuits).

Les taxis doivent déclarer leur intention de commander un véhicule éligible sur le portail : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/aide-taxis-pmr

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LA PRIME A LA CONVERSION 2023

Pour bénéficier de la prime à la conversion il faut détruire un véhicule ancien (véhicule particulier uniquement) et acheter un véhicule moins polluant répondant à certaines conditions.

Un particulier (personne physique) ne peut en bénéficier qu’une fois (quelque soit le nombre de véhicules remis pour destruction) sauf pour les cycles (une prime « vélo » par membre d’un même foyer fiscal peut être versée pour la mise en destruction d’un même véhicule).

Une personne morale et une administration de l’Etat peuvent en bénéficier autant de fois que de véhicule remis pour destruction.

Qui peut en bénéficier ?

Peuvent bénéficier de la prime à la conversion :

  • Les personnes physiques majeures dont le revenu fiscal de référence par part est inférieur ou égal à 22 983 €;
  • Les personnes morales (entreprises);
  • Les administrations de l’Etat (mairies, collectivités territoriales…) qui justifient d’un domicile ou d’un établissement en France;

Les conditions tenant à l’ancien véhicule détruit

La prime à la conversion ne peut être attribuée que si l’ancien véhicule remplit les conditions suivantes :

  • Appartenir à la catégorie des voitures particulières ou des camionnettes;
  • Être immatriculé en France dans une série normale ou avec un numéro d’immatriculation définitif ;
  • Être un véhicule diesel (carburant principal) dont la date de 1ère mise en circulation est antérieure au 01/01/2011 ou, être un véhicule n‘utilisant pas le diesel comme carburant principal (un véhicule essence ou autre) dont la date de 1ère mise en circulation est antérieure au 01/01/2006;
  • Appartenir au bénéficiaire de l’aide ;
  • Avoir été acquis depuis au moins 1 an par ce même bénéficiaire ;
  • Ne pas être gagé ;
  • Ne pas être considéré comme un véhicule endommagé ou faire l’objet d’un contrat d’assurance en cours de validité depuis au moins un an à la date de sa remise pour destruction ou à la date de facturation du véhicule acquis ou loué ;
  • Être remis pour destruction à un centre « véhicules hors d’usage » (VHU) agrée, dans les 3 mois avant ou 6 mois après la date de facturation du véhicule acquis ou loué ;

Les conditions tenant au véhicule acquis ou loué

La prime à la conversion peut être versée pour l’achat ou la location (dans le cadre d’un contrat d’une durée supérieure ou égale à deux ans) d’un véhicule répondant aux conditions suivantes :

Comprendre le mécanisme de l’aide

Le montant de la prime à la conversion dépend à la fois du véhicule acheté et des conditions de ressources (revenu de référence fiscal).

Revenu fiscal de référence, qu’est-ce que c’est ?

– Revenu fiscal de référence (RFR)

Le revenu fiscal de référence est calculé par l’administration, à partir de plusieurs éléments du foyer. Il est visible sur l’avis d’imposition dans le cadre « Vos références ».

– Revenu fiscal de de référence par part fiscales

Le Revenu fiscal de référence doit être rapporté (divisé) au nombre de parts fiscales du bénéficiaire. Il se trouve au verso de l’avis d’imposition, rubrique « nombre de parts ».

Du 1er janvier au 31 décembre  2023, les montants de la prime à la conversion sont les suivants :

¹ Gros rouleur : Personne dont la distance entre son domicile et son lieu de travail est supérieur à 30 km ou effectuant plus de 12 000 km par an dans le cadre de son activité professionnelle avec son véhicule personnel.

² Le seuil de 132 g/km de CO2 WLTP est remplacé par le seuil de 104 g/km de CO2 et le seuil de 122 g/km de CO2 WLTP est remplacé par le seuil de 94 g/km de CO2 lorsque que le véhicule est homologué sous la norme NEDC (1ère mise en circulation avant le 01/03/2020) ou lorsque celui-ci est accessible en fauteuil roulant.

³ Classe I : Camionnette (N1) dont la masse de référence est inférieure ou égale à 1305 kg.

Classe II : Camionnette (N1) dont la masse de référence est supérieur à 1305 kg et inférieure ou égale à 1760 kg.

Classe III : Camionnette (N1) dont la masse de référence est supérieure à 1760 kg.

Masse de référence = Consultez le champ G du certificat d’immatriculation du véhicule (CIV) et ajoutez 25 kg.

 

 

La prime à la conversion pour l’achat d’un VP ou d’un vélo est majorée dans les cas suivants :

  • Le bénéficiaire est une personne physique dont le domicile ou le lieu de travail est situé dans une commune dont une partie du territoire est située dans une zone à faibles émissions mobilité (ZFE-m).

ou

  • Le bénéficiaire est une personne morale justifiant d’un établissement dans une commune dont une partie du territoire est située dans une zone à faibles émissions mobilité (ZFE-m).

Le montant de la majoration est de 1 000 €.

Lorsqu’une aide ayant le même objet a été attribuée par la collectivité territoriale ou un groupement de collectivités territoriales sur lequel se trouve la zone à faible émissions mobilité (ZFE-m) le montant de 1 000 € est augmenté du montant de l’aide attribuée par la collectivité ou le groupement de collectivités, dans la limite de 2 000 €.

 

.

Retrouvez les barèmes détaillés de bonus et de prime à la conversion sur le site  https://www.primealaconversion.gouv.fr/dboneco/accueil/.

 

..

Pour les cycles à pédalage assisté (sauf batterie au plomb), le montant de la prime à la conversion est fixé à 40% du coût d’acquisition dans la limite de :

 

  • 3 000 € par acquisition de cycle si les véhicules sont acquis par une personne physique dont le revenu fiscal de référence par part est inférieur ou égal à 6 358 € ou par une personne en situation de handicap, titulaire de la carte mobilité inclusion comportant la mention « invalidité » ou le titulaire de la carte « d’invalidité militaire ».

 

  • 1 500€ pour les autres cas (personne physique ou morale).

 

Cliquez ici pour télécharger l’infographie du ministère des transports concernant le bonus écologique et la prime à la conversion pour l’achat d’un vélo.

 

Comment bénéficier de la prime à la conversion ?

A noter :

  • Un particulier (personne physique) ne peut en bénéficier qu’une fois (quelque soit le nombre de véhicules remis pour destruction).

Les démarches à suivre, les délais et, le cas échéant, le formulaire à remplir pour bénéficier de cette prime sont les mêmes que pour bénéficier du bonus écologique (cf. ci-dessus « quelles démarches pour percevoir l’aide ? »).

Pour bénéficier de la prime à la conversion, lorsque l’acquéreur fait lui-même sa demande, il doit formuler sa demande en ligne sur le téléservice suivant https ://www.primealaconversion.gouv.fr/dboneco/#/home (s’il demande le bonus et la prime, il devra télétransmettre les documents demandés pour les deux types d’aides) :

 

  • Informations relatives au demandeur: copie d’une pièce d’identité, preuve de sa domiciliation en France, relevé d’identité bancaire et, le cas échéant, un avis d’imposition de l’année passée prouvant l’absence de cotisation à l’impôt sur le revenu. Si gros rouleur : une attestation d’employeur sur laquelle figure son adresse de lieu de travail pour vérifier si la distance entre son domicile et son lieu de travail est supérieure à 30 kms (60 kms aller-retour).

 

  • Informations relatives au véhicule acquis ou loué(le nom du demandeur doit figurer sur l’ensemble des documents) :
    • Preuve de propriété ;
    • Preuve d’acquisition et date d’acquisition (si véhicule loué, date de versement du 1er loyer) ;
    • Dans le cas d’un véhicule neuf, la date de commande si elle est différente de la date d’acquisition ou dans le cas d’une location, la date du contrat de location ;
    • Une preuve d’immatriculation, la date d’immatriculation et la date de la première immatriculation ;
    • Le coût d’acquisition et la valeur vénale de la batterie, le cas échéant ;
    • Le genre national ;
    • Pour les véhicules particuliers et les camionnettes : le taux d’émission de CO2 par km et la classification en fonction du niveau d’émission de polluants atmosphériques ;
    • Pour les 2 et 3 roues motorisés et les quads : la source d’énergie, la quantité d’énergie du moteur, la composition chimique de la batterie, la puissance max. nette du moteur (en Kw), les caractéristiques du véhicule (appellation commerciale complète et numéro de série) ;
    • Pour le véhicule acquis : l’engagement sur l’honneur à ne pas revendre, et à fournir la preuve sur demande, dans les 6 mois ou avant d’avoir parcouru 6 000 km (voitures et camionnettes) ou dans les 12 mois ou avant d’avoir parcouru 2 000 km (2 et 3 roues et quads).
    • Pour le véhicule loué : l’engagement sur l’honneur de ne pas modifier le contrat et à fournir la preuve de la possession du véhicule à l’ASP, sur toute demande.

 

  • Informations sur le véhicule ancien mis au rebut:
    • Une copie du certificat d’immatriculation du véhicule ancien retiré de la circulation. La carte grise doit avoir préalablement été barrée et revêtue par son titulaire de la mention « vendu le … (date de la mutation) pour destruction » ou « cédé le … (date de la mutation) pour destruction », suivie de sa signature (ne pas empiéter sur la zone imprimée du certificat d’immatriculation)
    • Une copie du certificat de destruction du véhicule ancien (incluant la déclaration d’achat pour destruction), conforme au formulaire Cerfa 14365*01 – (https ://www.formulaires.modernisation.gouv.fr/gf/cerfa_14365.do )
    • En cas de remise du véhicule ancien auprès d’un démolisseur agréé dans un autre Etat membre de l’Union européenne selon la procédure d’autorisation en vigueur, une traduction certifiée conforme doit être jointe à l’original.
    • Une attestation d’assurance pour le véhicule ancien, en cours de validité à la date de sa remise pour destruction ou à la date de facturation du véhicule neuf.
    • Un certificat de non-gage pour le véhicule ancien, établi par les services préfectoraux, datant de moins d’un mois à la date de remise du véhicule pour destruction.
    • S’il y a lieu, une copie de l’avis d’impôt sur le revenu de l’année précédant l’acquisition du véhicule neuf ou des éléments pouvant justifier une cotisation nulle d’impôt sur le revenu précédant l’acquisition du véhicule.

 

A retenir : Le propriétaire du véhicule ancien doit être l’acquéreur du véhicule neuf. Si le nom ou la raison sociale de l’acquéreur du véhicule neuf, demandeur de l’aide, et celui du titulaire du certificat d’immatriculation du véhicule ancien retiré de la circulation sont différents, il sera nécessaire de fournir la copie d’une pièce officielle prouvant qu’il s’agit de la même personne. (Par exemple : extrait K-bis pour les sociétés).

 

Nous attirons votre attention sur la nécessité d’être extrêmement rigoureux dans la démarche de demande de bonus / prime à la conversion auprès de l’ASP. Le professionnel conventionné par l’ASP procède à une avance du montant du bonus et/ou de la prime à la conversion pour le compte de son client. Il ne faut pas hésiter à demander au client l’ensemble des documents justificatifs et à utiliser le simulateur avant de lancer la demande : https://www.primealaconversion.gouv.fr/dboneco/accueil/

En cas de doute sur l’éligibilité d’un dossier, n’hésitez pas à appeler l’ASP au 0 800 74 74 00.

En effet, des contrôles sur pièces sont réalisés par l’ASP a posteriori : en cas de demande indue de bonus et/ou de la prime à la conversion, c’est-à-dire si la prime n’était pas due, l’ASP demandera au professionnel de rembourser le montant perçu à tort.

 

LA PRIME AU RETROFIT ELECTRIQUE

Une aide dite rétrofit électrique est attribuée à toute personne physique majeure justifiant d’un domicile en France ou à toute personne morale (entreprise) justifiant d’un établissement en France et à toute administration de l’Etat (mairies, collectivités territoriales …) qui est propriétaire d’un véhicule automobile terrestre à moteur qui :

  • Appartient à la catégorie des véhicules particuliers (M1), des camionnettes (N1), des véhicules N2 (véhicule conçu et construit pour le transport de marchandises) et M2 (véhicule conçu et construit pour le transport de personnes, comportant, outre le siège du conducteur, plus de huit places assises)  bénéficiant d’une dérogation de poids (prévue au IV de l’article R. 312-4 du code de la route), d’un poids total autorisé en charge inférieur ou égal à 3.5 tonnes, des véhicules à moteur à deux ou trois roues,  quadricycles à moteur ou des tracteurs d’un petit train routier touristique ;
  • A fait l’objet d’une transformation de véhicule à motorisation thermique en motorisation électrique à batterie ou à pile à combustible, selon les conditions définies par arrêté rétrofit ;
  • N’est pas cédé par ce même bénéficiaire :
    • Pour les voitures particulières ou camionnettes : dans l’année suivant sa transformation ni avant d’avoir parcouru au moins 6 000 kilomètres.
    • Pour les 2 ou 3 roues et quadricycles à moteurdans l’année suivant sa transformation ni avant d’avoir parcouru au moins 2 000 kilomètres.
    • Pour les véhicules tracteurs d’un petit train routier touristiques : dans l’année suivant sa transformation ni avant d’avoir parcouru au moins 10 000 kilomètres.

Montant de la prime attribuée pour la transformation du véhicule :

* Gros rouleur : Personne dont la distance entre son domicile et son lieu de travail est supérieur à 30 km ou effectuant plus de 12 000 km par an dans le cadre de son activité professionnelle avec son véhicule personnel.

** Classe I : Camionnette (N1) dont la masse de référence (poids à vide) est inférieure ou égale à 1305 kg.

** Classe II : Camionnette (N1) dont la masse de référence (poids à vide) est supérieur à 1305 kg et inférieure ou égale à 1760 kg.

** Classe III : Camionnette (N1) dont la masse de référence (poids à vide) est supérieure à 1760 kg.

 

Les demandes de l’aide au rétrofit doivent être déposées au plus tard dans les 6 mois suivant la facturation de l’installation du dispositif de conversion électrique.

 

La prime au rétrofit pour la transformation d’un VP ou d’un 2/3 roues et quadricycle est majorée dans les cas suivants :

  • Le bénéficiaire est une personne physique dont le domicile ou le lieu de travail est situé dans une commune dont une partie du territoire est située dans une zone à faibles émissions mobilité (ZFE-m).

ou

  • Le bénéficiaire est une personne morale justifiant d’un établissement dans une commune dont une partie du territoire est située dans une zone à faibles émissions mobilité (ZFE-m).

Le montant de la majoration est de 1 000 €.

Lorsqu’une aide ayant le même objet a été attribuée par la collectivité territoriale ou un groupement de collectivités territoriales sur lequel se trouve la zone à faible émissions mobilité (ZFE-m) le montant de 1 000 € est augmenté du montant de l’aide attribuée par la collectivité ou le groupement de collectivités, dans la limite de 2 000 €.

 

Dispositions transitoires

Lorsqu’elles sont plus avantageuses, les dispositions relatives au bonus, à la prime à la conversion et au rétrofit qui étaient applicables jusqu’au 31 décembre 2022, s’appliquent aux véhicules neufs (qui n’ont pas fait l’objet précédemment d’une première immatriculation en France et à l’étranger) commandés ou dont le contrat de location a été signé avant le 31 décembre 2022 inclus, à condition que leur facturation ou le versement du premier loyer intervienne au plus tard :

    • Le 31 décembre 2023 si le véhicule appartient aux catégories M2, M3, N2 ou N3;
    • Le 30 juin 2023 dans les autres cas.

Le montant des aides cumulées (bonus + prime) ne peut pas dépasser le coût d’acquisition TTC du véhicule.

 

Pour guider les professionnels de l’automobile dans les modalités de traitements des dossiers d’aide Bonus et Prime à la conversion, téléchargez ci-dessous (documents complémentaires) une communication qui précise :

– le calendrier de la nouvelle version de l’extranet ;

– un rappel des références réglementaires ;

– des consignes sur des points d’attention.

Nous vous rappelons que l’assistance dédiée aux professionnels est à votre disposition au 0.800.74.74.00 pour tout complément d’information.

 

 

Consultez les barèmes 2023 et 2022 dans l’onglet « documents complémentaires » ci-dessous. 

 

Le site de l’ASP va évoluer : 

Le Ministère de la Transition Energétique et l’Agence de Services et de Paiement (ASP) nous a fait part des évolutions de l’outil de remboursement « extranet bonuseco » utilisé par les professionnels conventionnés avec l’ASP pour les demandes de bonus et de prime à la conversion.

L’infographie ci-dessous permet de découvrir les nouveautés à venir. Un tutoriel vidéo sera également mis à votre disposition avant la mise en œuvre des nouveautés.

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Modèle convocation entretien préalable à sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement

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SMIC AU 1ER JANVIER 2018

Salaires minima conventionnels 2018 au 1er Janvier 2018

Revalorisation du SMIC au 1er janvier 2021

Reçu pour solde de tout compte

Licenciement pour motif économique

Le licenciement pour inaptitude d’origine professionnelle (suite AT ou maladie pro) – avec reclassement

Les réunions à distance du CSE pendant l’état d’urgence sanitaire

Elections des représentants au CSE MAJ 2021

Calendrier électoral CSE

Les Sanctions disciplinaires

Discrimination sur l’apparence physique au travail

Questionnaire Accords d’entreprise et actions spécifiques

Lettre fédérale n° 10-19 Questionnaire accord d’entreprise et actions spécifiques

L’année 2020 et le casse-tête des entretiens professionnels

Jobs d’été

Embauche d’un salarié majeur : les formalités à effectuer

Modèle Accord annualisation du temps de travail

Voiture de service ou véhicule de fonction – Avantage en nature

Modèle convention forfait jours

Modèle compte-rendu entretien professionnel bilan 6 ans

Modèle de clause de confidentialité

Indemnité de congés payés

Fermeture de l’entreprise pour congés

Congé parental d’éducation

Congé Maternité et indemnités journalières pour les travailleuses indépendantes

RPCS dispenses d’affiliation

Modèle DUE frais santé

Rupture du contrat d’apprentissage

Rémunération du contrat de professionnalisation

Rémunération du contrat d’apprentissage

Rupture de la période d’essai de l’apprenti par l’employeur

Emploi des jeunes de 15 à moins de 18 ans

Congé pour examen accordé aux apprentis

Les registres obligatoires et conseillés en entreprise

Affichages ou diffusions obligatoires

Affichage obligatoire à l’attention du personnel

Affichage harcèlement

Affichage Egalité professionnelle hommes femmes

Les vêtements de travail et le temps d’habillage

Charges sociales janvier 2018

Bulletin de paie simplifié janv 2018

SMIC au 1er janvier 2017

Salaires minima au 1er janvier 2017

SMIC au 1er janvier 2016

Salaires minima au 1er janvier 2016

SMIC au 1er janvier 2015

Salaires minima au 1er janvier 2015

RGPD Note d’information aux salariés traitement des données personnelles

RGPD Note d’information aux salariés

RGPD Lettre confidentialité du salarié amené à manipuler des données à caractère personnel

La gestion des jours fériés

Le contrat d’apprentissage

Contrat d’apprentissage ou de professionnalisation

Affichage égalité de rémunération hommes femmes

retour à l’accueil de la base documentaire

SMIC au 1er janvier 2023

A compter du 1er janvier 2023, le SMIC subit une augmentation automatique de 1,8 %, sans coup de pouce supplémentaire.

Pour rappel, la dernière revalorisation date du 1er août 2022.

Par conséquent, dès le 1er janvier 2023, suite au Décret n° 2022-1608 du 22 décembre 2022 portant relèvement du salaire minimum de croissance, le montant du salaire minimum de croissance est porté de 11,07 € à 11,27 € de l’heure (+1,8%,  + 20 centimes) en métropole, Guadeloupe, Guyane, Martinique, à La Réunion, à Saint-Barthélemy, à Saint-Martin et à Saint-Pierre-et-Miquelon, soit 1 709,28 €.

A Mayotte, il passe de 8,35 € à 8,51 €, soit 1.290,68 € bruts mensuels pour 35 heures hebdomadaires.

Le SMIC mensuel brut pour 35 heures de travail par semaine est égal à 11,27 € x 151,667 H = 1.709,28 € à compter du 1er janvier 2023.

Le montant du minimum garanti (MG) passe de 3,94 € à 4,01 €.

Le minimum garanti est la valeur de référence pour le calcul de l’avantage en nature qui consiste dans la fourniture ou la mise à disposition d’un bien ou service (repas, logement…) permettant au salarié de faire l’économie de frais. Un tel avantage doit être soumis à cotisations, selon un barème forfaitaire avec le MG comme référence.

INCIDENCE SUR LES SALAIRES DES CONTRATS EN ALTERNANCE

Les rémunérations des bénéficiaires de contrats en alternance, basées sur le SMIC, devront être revalorisées : contrat de professionnalisation, contrat d’apprentissage et CPF de transition.

INCIDENCE DU SMIC SUR LES SALAIRES MINIMA CONVENTIONNELS

Selon le principe de faveur, si le minimum conventionnel est inférieur au SMIC, il faudra appliquer le SMIC ; si le minimum conventionnel est supérieur au SMIC, c’est le minimum conventionnel qu’il faut retenir.

Au regard de l’avenant N°102 relatif aux minima garantis, applicable au 1er janvier 2023, l’échelon 1 est un peu en deçà du SMIC (-28 centimes). Par conséquent, il faudra le rémunérer à hauteur de 1 709,28 € au 1er janvier 2023. 

PLAFOND DE LA SECURITE SOCIALE 2023

Pour les rémunérations ou gains versés à compter du 1er janvier et jusqu’au 31 décembre 2023, le plafond mensuel de la sécurité sociale est fixé à 3 666 € (3.428 € en 2022), soit une augmentation de 6,9%  :  Arrêté du 9 décembre 2022 portant fixation du plafond de la sécurité sociale pour 2023

Plafond annuel SS : 43 992

Plafond mensuel SS : 3 666

Valeur journalière : 202

INCIDENCES DE L’AUGMENTATION DU SMIC

Réduction générale des cotisations patronales (loi FILLON)

Le seuil à partir duquel les rémunérations n’ouvrent plus droit à la réduction FILLON est fixé à 1,6 * Smic mensuel.

Réduction du taux patronal maladie 

Par principe, le taux est fixé à 13 % mais pour les salariés dont la rémunération brute est inférieure à 2,5 SMIC, ce taux est diminué de 6 points soit 7%.

Le seuil à partir duquel les rémunérations n’ouvrent plus droit à l’application du taux réduit maladie est fixé à 2,5 Smic mensuel.

Par conséquent, au 1er janvier 2023, pour un salarié exerçant son activité sur la base de la durée légale, présent tout le mois :

La rémunération est supérieure à 2,5 SMIC : 

    • rémunération mensuelle > 2,5 *[(35*52)/12]* 11,27 € soit > 4 273,21 € (valeur mensuelle) ou 51.278,50 € (valeur annuelle)
  • Taux applicable = 13 %

La rémunération est inférieure ou égale à 2,5 SMIC : 

    • rémunération mensuelle ≤ 2,5 *[(35*52)/12]* 11,27 € soit ≤ 4 273,21 € (valeur mensuelle) ou 51.278,00 € (valeur annuelle)
  • Taux applicable = 7% 

Revalorisation des salaires minima au 1er janvier 2023

L’Avenant N° 102 (1) à la Convention collective relatif aux salaires minima, signé le 13 octobre 2022, étendu au JO du 23 décembre 2022, s’applique à compter du 1er janvier 2023.

Arrêté du 12 décembre 2022 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale des services de l’automobile

 MINIMA GARANTIS BRUTS POUR 151,67 H PAR MOIS (35 heures / semaine) 

Ouvriers Employés

  Maîtrise   Cadres
Echelons 2023   Echelons

MG 35 h

  Niveaux/Degrés MG 35 h
12 2 091 € 25 2 631 € V 5 485 €
11 2 041 € 24 2 494 € IV C 4 939 €
10 1 990 € 23 2 358 € IV B 4 665 €
9 1 948 € 22 2 225 € IV A 4 395 €
8 1 890 € 21 2 153 € III C 4 123 €
7 1 846 € 20 2 091 € III B 3 851 €
6 1 814 € 19 2 086 € III A 3 578 €
5 1 781 € 18 2 076 € II C 3 308€
4 1 764 €

17

2 058€ II B 3 036 €
3 1 742 €       II A 2 765 €
2 1 726 €       I C 2 630 €
1 1 709 €       I B 2 494 €
SMIC 2023       1 709,28 €       I A 2 358 €

Pour rappel : 

Le salaire minimum est calculé au prorata en cas d’horaire hebdomadaire inférieur à 35 heures.

Lorsqu’un vendeur, salarié relevant du chapitre VI est rémunéré par un fixe et des primes, la partie fixe doit être au moins égale, pour un mois complet, à 50 % du barème ci-dessus, conformément à l’article 6-04 de la convention collective nationale des Services de l’automobile.

PRIME DE FORMATION -QUALIFICATION

La valeur du point de formation – qualification visé à l’article 2-05 de la convention collective est portée à 3,47 €.

 TRAVAIL DE NUIT

Le montant de l’indemnité de panier visée à l’article 1-10 d) 6 et 8 de la convention collective, est fixé à 6,09 €.

CONTRATS EN ALTERNANCE

APPRENTIS

Age de l’apprenti

1erannée de contrat 2ème année de contrat 3ème année de contrat
 

 

21 ans et +

 

53 % du SMIC ou du salaire minimum conventionnel correspondant à l’emploi occupé, s’il est supérieur

 

61 % du SMIC ou du salaire minimum conventionnel correspondant à l’emploi occupé, s’il est supérieur 78 % du SMIC ou du salaire minimum conventionnel correspondant à l’emploi occupé, s’il est supérieur
26 ans et plus 100 % du SMIC ou, s’il est supérieur, du salaire minimum conventionnel correspondant à l’emploi occupé

 

CONTRATS DE PROFESSIONNALISATION

Age

 
Demandeurs d’emplois de 26 ans et plus

 

Bénéficiaires du RSA, de l’allocation de solidarité spécifique ou de l’AAH ou aux bénéficiaires d’un CUI

Au moins 85 % du minimum conventionnel

 

 (1) Avenant n° 102 SALAIRES MINIMA signé

La démission du salarié

Elle a été définie par la jurisprudence comme la manifestation d’une volonté claire et non équivoque du salarié de mettre fin à son contrat de travail. Il s’agit d’un acte unilatéral par lequel le salarié manifeste de façon claire et non équivoque sa volonté de rompre le contrat de travail – Cass. soc, 9 mai 2007.

Tout salarié peut donc présenter sa démission à tout moment, sans que l’employeur n’ait à donner son accord. La seule obligation du salarié étant de respecter un préavis.

La présente note ne concerne que la démission du salarié hors période d’essai.

Les conditions de validité d’une démission

La démission doit résulter d’une volonté claire et non équivoque du salarié de rompre son contrat de travail (en principe un CDI), car elle ne se présume pas.

Concrètement : un salarié sur un coup de tête ou de façon précipitée, dit oralement « je démissionne » sans que cela ne soit suivi d’un courrier de sa part indiquant clairement sa volonté de quitter l’entreprise. Il ne faut surtout pas le considérer comme étant démissionnaire, mais avoir une discussion avec lui afin de connaitre les raisons de ses propos.

A la différence du licenciement qui suit un certain formalisme, la démission n’est soumise à aucune procédure particulière.

Par conséquent, si un de vos salariés démissionne, il vaut mieux que cela soit accompagné d’un courrier manuscrit exprimant sa volonté claire et non équivoque de démissionner.

Le courrier doit en général comporter les éléments suivants :

  • Si c’est un courrier simple, indiquez la date de réception de celui-ci ou faites une copie du courrier avec la mention reçu le ;
  • Si c’est un recommandé, gardez l’enveloppe afin de connaître la date de première présentation du courrier par la poste ;
  • Le courrier doit indiquer qu’il s’agit d’une démission avec des termes clairs et non équivoques ;
  • Si le salarié ne veut pas effectuer son préavis ou le réduire, il doit en faire état dans son courrier.

Les obligations du salarié démissionnaire

 Le préavis de démission 

Tout salarié démissionnaire doit en principe respecter un préavis, sauf certaines catégories de salariés  :

  • Les femmes en état de grossesse apparente peuvent quitter leur travail sans préavis et sans avoir à payer une indemnité de rupture. C. trav., art. L. 1225-34 ;
  • A l’expiration du congé de maternité ou d’adoption, les salariés peuvent, rompre le contrat de travail en se réservant une priorité de réembauchage, sans être tenu de respecter le délai de préavis, mai un délai d’information – C. trav., art. L. 1225-66 ;
  • Le salarié qui désire rompre son contrat de travail à l’issue de son congé pour création d’entreprise doit en informer son employeur au moins 3 mois avant la fin de son congé ; ce délai se substitue à la durée de préavis, même si celle-ci est plus longue.

Durée du préavis

Tout salarié démissionnaire doit respecter un préavis dont la durée est indiquée dans la Convention collective des services de l’automobile :

ARTICLE 2.12 – PRÉAVIS – ouvriers et salariés

Echelons 1 ou 2 : 2 semaines ;

Echelons 3 à 12 : 1 mois.

ARTICLE 4.10 – PRÉAVIS – agents de maîtrise – cadres

  • Echelons 17, 18, 19 agent de maîtrise : 2 mois ;
  • Echelon 20 à 25 : 3 mois ;
  • Cadres : 3 mois.

Point de départ du préavis

Le point de départ du préavis se situe au jour de la notification de la démission, Cass. soc., 5 déc. 1974.

Par conséquent, si le salarié remet sa démission en main propre ou verbalement (mais d’une manière non équivoque), le préavis débutera le jour j.

Exemple : si votre salarié vous remet sa démission par courrier le 10 décembre 202X, les points à vérifier sont les suivants :

  • Le courrier est daté ;
  • Il est signé par le salarié,
  • Son objet est bien une démission claire et non équivoque.

Après vérification, faites une copie du courrier, sur les 2 documents vous indiquez courrier remis/reçu en main propre le XXXX, vous datez et signez, cela correspond à un accusé de réception qui vous permettra de prouver la date réelle de la présentation de la démission. Vous gardez l’original et vous remettez la copie signée au salarié.

Si le salarié vous remet sa démission « non équivoque » oralement, faites un courrier accusant réception de sa démission orale et demandez lui un écrit pour confirmation.

Dans notre exemple, si le salarié vous présente le courrier le 10 décembre, c’est à compter du 10 décembre que le préavis va commencer à courrier, c’est le point de départ du préavis.

Si le salarié démissionne dans le cadre d’un courrier recommandé avec accusé de réception, le préavis commence à courir à la date de première présentation par la poste.

Le calcul du préavis

En principe, le préavis est un délai préfix qui se calcule de date à date et ne supporte ni suspension, ni interruption, sauf accord contraire des parties. Cass. soc., 16 juin 2004.

La durée du préavis s’apprécie en semaines civiles et en mois calendaires. Soit un salarié qui dépose son préavis le 4 décembre avec un préavis d’un mois, terminera son contrat le 3 janvier au soir.

Notez le : lorsque le préavis expire un samedi, un dimanche ou un jour férié ou chômé, il est prorogé jusqu’au premier jour ouvrable suivant.

Que se passe t’il en cas de suspension du contrat de travail en cours de préavis ?

Exemple : un salarié est en arrêt maladie (ordinaire) au cours de son préavis. Comme la maladie n’interrompt pas son déroulement, le contrat de travail prendra fin à la date initialement prévue, il n’y aura pas de report du préavis.

Exceptions au principe 

  • L’accident du travail ou la maladie professionnelle qui survient en période de préavis suspend le préavis pendant la durée de l’arrêt de travail. Le préavis est prolongé d’une durée équivalente à l’arrêt de travail. Cass. soc, 18 juill. 1996 ;
  • Incidence des congés payés : la période des CP ne peut être confondue avec celle du préavis.

Par conséquent, si le salarié est en congés payés au cours du préavis, la période de préavis sera prolongée de la durée de l’absence due aux CP. Sauf à ce que l’employeur, à la demande du salarié, accepte (par écrit) de dispenser le salarié d’effectuer le préavis restant à courir ;

  • La fermeture de l’entreprise pour congés payés n’a pas pour effet de suspendre, pour la durée de la fermeture, le préavis du salarié.

Par conséquent, le salarié ne pouvant exécuter son préavis, ne peut être privé de sa rémunération qu’il aurait perçu si il avait accompli son travail. Il percevra donc son indemnité de congés payés pour la fermeture de l’entreprise et son indemnité compensatrice de préavis pour la période de préavis qu’il aurait dû exécuter – Cass. Soc 21 nov 2001.

La dispense de préavis

  • Dispense à la demande du salarié

Le salarié démissionnaire indique dans son courrier qu’il demande à ne pas effectuer son préavis.

En tant qu’employeur vous pouvez :

  • Faire droit à la demande du salarié ;
  • Refuser ;
  • Négocier une date qui convient aux deux parties (réduire de 2 à 1 mois le préavis).

Sachez que dans le cas d’une demande de dispense de préavis par le salarié vous n’aurez aucune indemnité compensatrice à lui payer.

  • Dispense à la demande de l’employeur

Votre salarié démissionne et unilatéralement vous le dispensez d’effectuer son préavis. En l’espèce, il faudra payer l’indemnité compensatrice et laisser aux salariés tous les avantages qu’il aurait perçu si il avait continué de travailler.

Exemple : le salarié qui a une voiture de fonction peut la conserver ; si entre temps le salarié a trouvé un autre emploi, il pourra entrer au service de son nouvel employeur.

Conséquences de la dispense

Le contrat de travail se poursuit dans les conditions habituelles :

  • jusqu’à la date de fin convenue entre le salarié, qui a demandé à être dispensé de préavis et l’employeur qui a accepté ; mais la date de fin de contrat est celle de la fin du préavis. Le salarié peut se faire embaucher dans une autre entreprise ;
  • jusqu’à la date de fin de préavis, quand l’employeur prend l’initiative de la dispense.

 

Le non respect par le salarié de son préavis

La jurisprudence admet que la résiliation est abusive si le salarié démissionne brusquement dans le but de nuire à son employeur, entraînant notamment par son départ une désorganisation de l’entreprise.

La Cour de cassation rappelle que la non-exécution du préavis par le salarié n’est pas abusive par elle-même, car il dispose du droit de ne pas exécuter son préavis, à condition de verser en contrepartie à l’employeur une indemnité compensatrice correspondant aux salaires qu’il aurait perçus s’il avait travaillé. La CCNSA en ses articles 2.12 et 4.10, prévoit le cas de l’inobservation du préavis par l’une des deux parties.

L’autorisation d’absence pour recherche d’emploi

La CCNSA, en ses articles 2.12 – d) et 4.10 b) indique : « les salariés sont autorisés à s’absenter pour rechercher un emploi … ». Ces heures ne sont pas rémunérées en cas de démission.

La clause de  non concurrence

Si le contrat de travail de votre salarié comporte une clause de non concurrence, indiquez par écrit que vous renoncez à son application.

Vous trouverez dans documents compléments complémentaires, un modèle de courrier en réponse à la démission d’un salarié, à compléter en fonction de chaque cas d’espèce.

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Durée légale et durée maximale du travail

Le temps de trajet

Le temps d’habillage

La clause de non concurrence

Epargne salariale, intéressement, participation

Résiliation des contrats de complémentaires santé (mutuelle)

Avenant dans le cadre d’un temps partiel thérapeutique

Le licenciement pour inaptitude d’origine non professionnelle – sans obligation de reclassement

Le cumul emploi retraite (salariés – indépendants) au 1er septembre 2023

Le SMIC au 1er octobre 2021

Déclaration et reconnaissance d’un accident du travail – accident du travail mortel

Contribution à la formation professionnelle : acompte à régler avant le 15/09/2021

Le Capital de fin de carrière

Soyez prudent dans la gestion d’un abandon de poste

Le bulletin officiel de la sécurité sociale – BOSS

Le solde de tout compte

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Trame entretien professionnel

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La visite médicale de reprise et de pré reprise, et le rendez vous de liaison depuis la loi santé au travail

Le compte épargne temps

Travaux interdits et réglementés pour l’emploi des jeunes de 15 à 18 ans

Procédure de licenciement pour inaptitude non professionnelle sans reclassement

Modèle notification de licenciement pour faute grave dans le cas d’un abandon de poste

Aide au financement du permis de conduire des apprentis

Gérer les addictions en entreprise

Charges sociales au 1er janvier 2021

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L’entretien professionnel – L’entretien d’état des lieux récapitulatif

Les heures supplémentaires relatives au travail des vendeurs

L’astreinte

Les heures supplémentaires

Réduction du temps de travail et contrat de travail

Repos quotidien et repos hebdomadaire

Indemnisation du salarié cadre suite indisponibilité maladie ordinaire ou professionnelle, accident du travail

Arrêt maladie, accident de travail – ouvriers – employés – agents de maîtrise

Usage d’entreprise – engagement unilatéral de l’employeur

La gestion sanitaire des vagues de chaleur

Congés payés et maladie

Congés payés synthèse

Minima garantis 2021

Le temps de pause et de restauration

Travail de nuit

Travail le dimanche

Modèle de mise en demeure de présomption de démission en cas d’abandon de poste

Modèle convocation entretien préalable à sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement

La médaille d’honneur du travail

Convention collective services de l’automobile – CCNSA – Avril 2021

L’interdiction de vapoter – Cigarette électronique

L’interdiction de fumer

Affichage consigne incendie

Tarification accidents du travail / maladie professionnelles 2021

Les nouveaux critères de prise en charge du FAFCEA pour 2021

Contributions à la formation professionnelle et la taxe d’apprentissage 2020-2021

Aide à l’embauche : l’opération « emploi franc+ » et le dispositif « emploi franc »

Les attestations Pôle Emploi évoluent

Le report des visites médicales et examens médicaux des salariés

Le congé de paternité et d’accueil de l’enfant

FNE formation

Offre de contrat de travail ou promesse de contrat de travail

La vidéosurveillance / la géolocalisation

SMIC AU 1ER JANVIER 2018

Salaires minima conventionnels 2018 au 1er Janvier 2018

Revalorisation du SMIC au 1er janvier 2021

Reçu pour solde de tout compte

Licenciement pour motif économique

Le licenciement pour inaptitude d’origine professionnelle (suite AT ou maladie pro) – avec reclassement

Les réunions à distance du CSE pendant l’état d’urgence sanitaire

Elections des représentants au CSE MAJ 2021

Calendrier électoral CSE

Les Sanctions disciplinaires

Discrimination sur l’apparence physique au travail

Questionnaire Accords d’entreprise et actions spécifiques

Lettre fédérale n° 10-19 Questionnaire accord d’entreprise et actions spécifiques

L’année 2020 et le casse-tête des entretiens professionnels

Jobs d’été

Embauche d’un salarié majeur : les formalités à effectuer

Modèle Accord annualisation du temps de travail

Voiture de service ou véhicule de fonction – Avantage en nature

Modèle convention forfait jours

Modèle compte-rendu entretien professionnel bilan 6 ans

Modèle de clause de confidentialité

Indemnité de congés payés

Fermeture de l’entreprise pour congés

Congé parental d’éducation

Congé Maternité et indemnités journalières pour les travailleuses indépendantes

RPCS dispenses d’affiliation

Modèle DUE frais santé

Rupture du contrat d’apprentissage

Rémunération du contrat de professionnalisation

Rémunération du contrat d’apprentissage

Rupture de la période d’essai de l’apprenti par l’employeur

Emploi des jeunes de 15 à moins de 18 ans

Congé pour examen accordé aux apprentis

Les registres obligatoires et conseillés en entreprise

Affichages ou diffusions obligatoires

Affichage obligatoire à l’attention du personnel

Affichage harcèlement

Affichage Egalité professionnelle hommes femmes

Les vêtements de travail et le temps d’habillage

Charges sociales janvier 2018

Bulletin de paie simplifié janv 2018

SMIC au 1er janvier 2017

Salaires minima au 1er janvier 2017

SMIC au 1er janvier 2016

Salaires minima au 1er janvier 2016

SMIC au 1er janvier 2015

Salaires minima au 1er janvier 2015

RGPD Note d’information aux salariés traitement des données personnelles

RGPD Note d’information aux salariés

RGPD Lettre confidentialité du salarié amené à manipuler des données à caractère personnel

La gestion des jours fériés

Le contrat d’apprentissage

Contrat d’apprentissage ou de professionnalisation

Affichage égalité de rémunération hommes femmes

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Délestage électrique pour les entreprises : comment l’anticiper ?

Lorsque la situation électrique est très tendue sur le réseau électrique, il peut être nécessaire d’effectuer des coupures temporaires appelées délestages pour conserver l’intégrité du système électrique. Ces coupures maîtrisées sont généralement de courte durée (2 heures maximum consécutives) et permettent d’éviter un problème à plus grande échelle.

Comment anticiper ces coupures ?

Suite à la communication du ministère concernant le délestage d’électricité pour les stations-service, la FNA a sensibilisé le gouvernement sur l’inquiétude des entreprises de l’automobile déjà fortement impactées économiquement.

 

Le ministère nous a alors indiqué que la volonté est d’éviter et d’anticiper les coupures, notamment grâce à l’application ECOWATT que nous vous conseillons de télécharger :

 

Une  alerte à la possibilité de délestage en France sera signalée 72h avant, sur Ecowatt (signal Ecowatt rouge) puis confirmée 48h avant et enfin 24h avant la confirmation donnée à 17h (voire 15h) la veille.

Cette confirmation ferme ne peut pas intervenir avant car cela dépend du comportement des consommateurs dans les 72h après la 1ère alerte d’une part et de la météo d’autre part.

 

Le site coupures-temporaires.fr, qui n’est pas accessible aujourd’hui, permettra de savoir quels départements sont concernés par le délestage. L’accès à ce site serait ouvert en cas d’émission d’un signal écowatt rouge et le lien vers le site apparaitrait sur la plate forme ecowatt.

 

Le ministère précise que l’objectif est évidemment d’éviter tout délestage et donc de réduire la consommation électrique dès la 1ère alerte.

Coupures d’électricité et gestion des salariés

La France étant sous la menace de délestage, il vous appartient de chercher les solutions adéquates pour gérer les salariés au cours de cette période.

 

Faites un état des lieux de ce que vous avez mis en place afin de réduire votre consommation d’énergie :

  • Au niveau de l’éclairage, du chauffage…
  • Avez vous téléchargé l’application  ecowatt pour recevoir une alerte et informations sur les risques de coupure ?
  • Informez et sensibilisez les salariés sur le sujet.

 

Malgré vos efforts, vous allez subir une période de délestage (environ 2 heures) difficilement concevable avec les métiers de l’automobile, que pouvez vous faire ?

  • Prévoir la mise en place du télétravail quand c’est possible ;
  • Pour les autres salariés il faut anticiper : vous pouvez envisager une modification / un aménagement des horaires de travail qui par définition n’est qu’une modification des conditions de travail que vous pouvez imposer à vos salariés. Informez et affichez les modifications sur le panneau d’affichage.

 

Attention, si les horaires de travail de vos salariés sont contractualisés vous ne pouvez pas leur imposer cette modification sans leur accord, voir si une clause prévoit une modification et ses modalités.

  • Vous pouvez demander et non imposer aux salariés de poser un jour de congé ou de RTT.
  • Les écoles situées dans un secteur concerné par un délestage le matin n’accueilleront pas les enfants pour l’ensemble de la demi journée, certains salariés pourraient vous demander de déposer un CP ou un RTT.

 

À noter : le ministère du Travail a mis à jour son questions/réponses AP/APLD dans le contexte du conflit en Ukraine, et précise qu’il sera possible de recourir à l’activité partielle (AP), si une entreprise directement affectée par le délestage n’est pas en mesure d’aménager le temps de travail de ses salariés pour faire face à cette situation. Il faudra cocher le motif « délestage ».

 

L’indemnité versée est celle de droit commun :

  • Indemnité salariée = 60 % de sa rémunération brute antérieure ;
  • Allocation employeur = 36 % de la rémunération brute antérieure du salarié.

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Décret VHU: le texte décrypté

Le décret relatif à la gestion des VHU et à la responsabilité élargie du producteur a été publié au journal officiel le 1er décembre 2022. Ce texte plonge la filière dans l’inconnue.

Cadre Législatif renforçant la responsabilité élargie des producteurs de VHU

La Loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire Loi AGEC du 10 février 2020 poursuit plusieurs objectifs:

  • Lutter contre la filière illégale,
  • Améliorer la qualité et les performances du traitement des VHU
  • Résorber les véhicules abandonnés en Outre Mer

Les opérateurs de collecte, de dépollution et de traitement devront être en contrat avec les eco-organismes / systèmes individuels des constructeurs.

Les nouvelles définitions à connaître

Catégories de véhicules

  • Véhicules de catégorie M ou N ayant un poids maximal inferieur ou égal a3,5 tonnes,
  • Véhicules de catégorie L,
  • Véhicules d’intérêt général relevant de ces catégories

Nouvelle Définition élargie du véhicule hors d’usage

Tout véhicule qui constitue un déchet au sens de l’article L 541 -1-1 du code de l’environnement. Précision nouvelle : La circonstance qu’un véhicule conserve une valeur commerciale est sans incidence sur son statut de déchet.

L 541-1 code de l’environnement

Déchet : toute substance ou tout objet, ou plus généralement tout bien meuble, dont le détenteur se défait ou dont il a l’intention ou l’obligation de se défaire ;

“ Véhicule hors d’usage complet ”, tout véhicule hors d’usage qui n’est pas dépourvu de sa carrosserie, de son groupe motopropulseur, de son pot catalytique, de sa batterie de traction pour les véhicules qui en étaient équipés lors de leur mise sur le marché, qui ne renferme pas de déchets ou d’équipements non homologués qui lui ont été ajoutés et qui, par leur nature ou leur quantité, augmentent notablement son coût de traitement ;

Centre VHU : Définition élargie pour de nouveaux objectifs?

Toute personne physique ou morale qui assure

-la réception, et non plus la prise en charge

-l’entreposage, la dépollution,

-le démontage de pièces ou le désassemblage, y compris le découpage et le compactage, des véhicules hors d’usage en vue de leur traitement ultérieur ;

Gestion des véhicules hors d’usage – les centres VHU

La Réception du VHU par le centre 

  • Remise du VHU par son détenteur uniquement à un centre VHU y compris par le biais d’un collecteur
  • Réception sans frais des VHU qui leur sont remis ou cédés par les détenteurs y compris le cas échéant par les collecteurs
  • Réception quelque soit le producteur d’origine – ou à la demande du maire en vertu de ses pourvoir de police – ou des fourrières automobiles

Le sort des agréments 

Ils sont valables dans l’ensemble de leurs dispositions jusqu’au 31 décembre 2024. Au 1er janvier 2025: les dispositions législatives concernant les agréments et aux cahiers des charges associés sont abrogés.

Le sort des petits centres 

Les centres qui ne sont pas enregistrés au titre de la rubrique 2712 (de moins de 100 m2) ne peuvent plus prendre en charge des VHU.

Exception: Pour tous les centres de – de 100 m2 titulaires d’un agrément avant le 1er janvier2025 et ce jusqu’au retrait de leur agrément/suspension

La traçabilité des VHU

Les centres VHU assurent une traçabilité de chaque véhicule hors d’usage qu’ils réceptionnent jusqu’à son transfert vers un broyeur.

Les broyeurs confirment au centre VHU ayant assuré la réception initiale d’un véhicule hors d’usage, la destruction effective du véhicule dans un délai de quinze jours à compter de la date de broyage du véhicule.

Les pièces issues des VHU

Toute pièce issue des opérations de démontage et qui respecte les conditions d’une opération de valorisation/réutilisation, fait l’objet d’un marquage approprié apposé par le centre VHU afin d’en assurer la traçabilité.

Ces pièces sont conditionnées, entreposées et transportées selon des pratiques qui permettent de préserver leur intégrité et leur qualité.

Les producteurs (constructeurs)

Transmission des données

Dans les 6 mois de la date de réception d’un véhicule, le producteur fournit les informations et consignes en langue française. Cette obligation est valable pour les fabricants des pièces également. La mise à disposition est faite sans frais soit sous forme de manuels, soit par le canal des médias électroniques.

Les pièces issues de l’économie circulaire

Dans le cadre des opérations de réparation ou d’entretien des véhicules, les pièces usagées qu’un opérateur a trié afin qu’elles soient reconditionnées, au sens de l’article R. 122-4 du code de la consommation, et qui n’ont, ainsi, pas pris le statut de déchet font l’objet d’un marquage approprié, apposé par l’opérateur afin d’en assurer la traçabilité.

La filière REP – Les règles de fonctionnement

Eco organisme et systèmes individuels pourvoient ou contribuent financièrement à:

  • a la prévention
  • collecte sur le lieu de détention
  • Au transport
  • A la réception
  • Entreposage
  • Dépollution
  • Démontage
  • Désassemblage
  • Traitement

Ils doivent pouvoir intervenir sur l’ensemble du territoire national soit en collectant et transportant sans frais depuis le lieu de détention des VHU complets et des véhicules abandonnés à la demande du détenteur. Soit la réception sans frais des VHU complets et des véhicules abandonnés.

La contractualisation obligatoire 

S’ils contribuent financièrement aux coûts des opérations de gestion des VHU, ils doivent contractualiser avec les centres VHU. Il n’y a pas de date spécifique de mise sur le marché spécifique du véhicule. Toit doit pouvoir être traité.

Important: dans les contrats passés avec les centres VHU, pas le droit d’interdire le démontage de pièces de VHU en vue de leur réutilisation ou valorisation (sauf pyrotechniques).

Eco organisme et les Systèmes individuels doivent mettre en place des procédures pour s’assurer que les centres respectent les prescriptions législatives et réglementaires (gestion des déchets, fluides frigorigènes). Un dispositif de suivi de ces procédures incluant un droit de prendre des mesures correctives est également attendu.

Timing

Délai de 18 mois à compter du premier agrément pour justifier avoir signé suffisamment de contrats avec les centres en tenant compte de leur propre capacité d’absorption. 

Le parcours d’un VHU réceptionné – 1er janvier 2024

 

Bon à savoir:

Pas d’obligation pour un SI ou un eco organisme de contractualiser avec tous les centres.  Par ailleurs, ils ont 15 jours pour venir récupérer le VHU mis à leur disposition par le centre. Ils versent une compensation financière pour les opérations de réception et d’entreposage.

La location de véhicules à doubles commandes par des écoles de conduite

Depuis la loi Macron en 2015, les élèves ont désormais la possibilité dans l’apprentissage de la conduite des véhicules légers sur la voie publique, de louer des véhicules à doubles commandes en dehors du cadre de la conduite accompagnée ou supervisée établie à l’article L. 211-6 du code de la route. C’est le cas également des titulaires du permis de conduire qui souhaiterait se perfectionner à la conduite.

Cependant, la réglementation n’est pas claire et beaucoup d’entre vous se pose la question, est-ce que une école de conduite peut cumuler une activité d’enseignement de la conduite avec une autre de location de véhicules à double commandes. Les textes ne l’interdisent pas et par conséquent il est autorisé de cumuler une activité de location de véhicules à double commandes quand vous avez déjà une activité d’école de conduite. À la suite nombreuse question de votre part, nous avons demander une confirmation au Ministère, nous sommes en attente de leur réponse.

Dans cette note nous parlerons, uniquement de la location des véhicules dont le PTAC n’excède pas 3 500 kilogrammes.

 

Quelles démarches effectuer ?

 

•  Ajouter une activité supplémentaire à celle déjà exercée dans les statuts de l’entreprise

 

Pour commencer une activité de location de véhicule à double commandes en plus de votre activité d’école de conduite, vous devez ajouter cette nouvelle activité à celle déjà exercée par l’entreprise. Pour ce faire, vous devait modifier votre statut juridique de votre entreprise que vous avez rédigé au moment la création de votre entreprise. En effet, cette nouvelle activité doit être notifier dans l’objet social inscrit dans vos statuts. Cet ajout vous permettra d’étendre votre champ d’activité juridiquement. Une modification des statuts est une décision importante de la vie d’une entreprise, elle nécessitera donc une décision collective des associés ou actionnaires. Attention, les modalités sont différentes selon la forme juridique de votre entreprise (SAS, SARL…).

Veuillez trouver un lien vers le site Entreprendre.service-Public.fr qui vous guidera dans les modalités à effectuer étape par étape dans ce changement de statut.

 

•  L’assurance de la voiture double-commande

 

Vous avez l’obligation d’assurer votre ou vos véhicules de location à travers une assurance professionnelle afin de couvrir d’éventuels dommages (matériels et corporels), accidents ou encore vols.

Un loueur de voiture inclut généralement les assurances dans le contrat de location. Elles sont donc comprises dans le prix de location du véhicule. Généralement il s’agit :

  • De l’assurance de responsabilité civile
  • De l’assurance dommages et vol de la voiture en location
  • L’assistance en cas d’accident

A noter que vous disposez de plus de 4 véhicules dans votre école de conduite, vous pouvez souscrire à une assurance flotte auto pour couvrir votre parc automobile dans sa totalité.

Le loueur peut également proposer des garanties complémentaires en supplément des assurances de base tels que le rachat de franchise, assurance brise-glace et pneus, vol des effets personnels…

Pour plus d’informations à ce sujet, je vous invite à vous rapprocher de votre assureur.

 

•  Obtenir son autorisation de mise en circulation du véhicule

 

L’arrêté du 8 janvier 2001 relatif à l’exploitation des établissements d’enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière oblige que tous les véhicules à moteur destinés à l’enseignement professionnel de la conduite d’être pourvu d’une autorisation de mise en circulation délivrée sous la forme d’une mention spéciale portée sur le certificat d’immatriculation. Cette mention est constituée du texte suivant : Véhicule école.

Nous vous invitons à suivre les étapes recommandées par le site de l’ANTS via ce lien.

 

•  Une fois votre activité lancée, vous devrez :

 

Fournir à vos clients des indications sur les conditions générales de la location : Dans votre agence ou sur votre site internet, vous devez avoir un toutes informations à disposition de vos clients pour les renseigner sur les prix réalisés, les conditions qui encadrent la location du véhicule, les conditions d’assurances…

Donner un devis à vos clients avant la que le contrat de location est signé : Le devis doit reprendre toutes les informations qui régissent la location tel que le prix (HT et TTC) ou encore la durée de location du véhicule…

Réaliser un état des lieux du véhicule avant chaque location : identifier les défauts du véhicule pour les renseigner sur la fiche d’état du véhicule.

Demander un dépôt de garantie au client : Ce montant sera encaissé uniquement si un dommage arrive au véhicule.

Rappel du cadre juridique de la location de voiture d’école de conduite :

En vertu de l’article R317-25 du Code de la route : « Tout véhicule utilisé pour l’apprentissage de la conduite des véhicules à moteur, à l’exception des motocyclettes, doit être équipé d’un dispositif de double commande de frein et de débrayage. »

Le véhicule doit être équipé :

  • D’un dispositif de double commande de frein et d’embrayage ;
  • D’un dispositif de double commande d’accélération, neutralisable lorsque le véhicule est utilisé pour les épreuves de l’examen du permis ;
  • De 2 rétroviseurs intérieurs réglés pour l’élève et l’accompagnateur ;
  • D’un rétroviseur latéral extérieur gauche réglé pour l’élève et de 2 rétroviseurs latéraux extérieurs droits, l’un réglé pour l’élève et l’autre pour l’accompagnateur ;
  • D’un dispositif de double commande d’avertisseur sonore, de feux (position, croisement, route) et d’indicateur de changement de direction à portée immédiate de l’accompagnateur ;
  • D’un panneau portant la mention « apprentissage » placé sur le toit ou de l’inscription « apprentissage » placée à l’avant et à l’arrière de façon nettement visible pour les autres usagers de la route. Le panneau doit être perpendiculaire à l’axe longitudinal du véhicule et avoir les dimensions 40 x 12 centimètres au minimum et 50 x 15 centimètres au maximum.

Louer votre voiture d’auto-école, l’élève doit :

  • Être âgé de 16 ans au minimum ;
  • Être titulaire d’un formulaire de demande de permis de conduire (Cerfa n° 14866) ou d’une attestation d’inscription au permis de conduire dématérialisée ;
  • Être accompagné constamment d’un tuteur détenant le permis de conduire depuis au moins 5 ans sans interruption (fin du délai probatoire) correspondant au véhicule utilisé durant l’apprentissage ou étant titulaire d’une autorisation d’enseigner la conduite et la sécurité routière en cours de validité ;
  • Avoir effectué 20 h d’apprentissage dans une auto-école;
  • Détenir le livret d’apprentissage à la conduite ;
  • Respecter le Code de la route ;
  • Souscrire une assurance spécifique car l’individu qui enseigne est responsable en cas d’accident ;
  • Vous renseigner auprès de la mairie qu’il n’y a pas de zones interdites à l’apprentissage à la conduite.

Depuis l’arrêté du 28 juillet 2017, le tuteur accompagnateur n’est plus obligé d’être formé à l’utilisation du dispositif de double commande.

Enfin, votre tuteur est responsable de vos infractions : en cas d’infraction, c’est lui qui sera sanctionner par une perte de points de permis ou une par une amende.